Le concept » LibreOffice Enterprise » est à l’étude mais ne changera rien à la disponibilité, aux fonctionnalités et aux usages autorisés de la suite bureautique.
La Document Foundation a jugé bon de le rappeler face à l’inquiétude de certains utilisateurs. En l’occurrence, ceux qui testent la prochaine version (7.0) du logiciel. Ils ont pu constater l’apparition d’une mention « Personal Edition », laissant augurer un changement de modèle économique.
Il y aura bien, dans l’absolu, un changement de modèle, dans le cadre d’un plan sur 5 ans. Mais la démarche ne remettra pas en cause l’existant. Elle devra permettre de constituer un écosystème de fournisseurs de services autour de la « marque ombrelle » LibreOffice Enterprise.
La première Release Candidate de LibreOffice 7.0 est accessible depuis ce 6 juillet. Il ne devrait plus y avoir beaucoup de modifications d’ici à la sortie de la version finale.
Au niveau graphique, on aura noté le remplacement du back-end OpenGL par la bibliothèque Skia, qui ouvre la voie à Vulkan. Autres ajouts : les effets de lueur et de bord doux (illustré ci-dessous) sur les objets.
Côté interface utilisateur, le thème Tango est retiré du noyau. Il reste disponible en tant qu’extension. Le thème Sukapura, aligné sur la palette de couleurs de macOS, fait son entrée en parallèle.
Dans le Navigateur, tous les objets (titres, tableaux, cadres, images, etc.) ont désormais leurs propres éléments de menu contextuel. Parmi ces éléments, il y en a un nouveau pour les tableaux : « Insérer une légende ». À souligner également : les catégories qui ne comportent aucun élément sont grisées.
Au niveau des options de configuration, il est désormais possible de :
Concernant l’aide, les pages ont maintenant la couleur de la marque du module dans l’en-tête. La documentation des instructions du langage Basic commencent par ailleurs à être documentées à l’aide de diagrammes syntaxiques.
Qu’en est-il du tableur Calc ?
La gestion du texte semi-transparent fait également son entrée sur Impress et Draw.
En parallèle, le positionnement automatique des indices et des exposants est réajusté. Et les pages de taille supérieure à 200 pouces (508 cm) sont désormais prises en charge lors de l’export au format PDF (en utilisant le balisage PDF 1.6). Les performances s’améliorent sur deux points : le délai de frappe dans les listes de texte animées et l’entrée en mode édition d’un tableau.
Illustration principale © The Document Foundation
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