L’informatique, un enfer pour les femmes ?
Selon une récente étude menée au Royaume-Uni, les femmes travaillant dans le secteur IT déplorent un manque de flexibilité.
Selon une étude publiée au Royaume-Uni la semaine dernière, la majorité des femmes travaillant dans le secteur informatique estiment qu’il leur est difficile de concilier vie familiale et vie professionnelle.
Si les employeurs disent défendre un travail flexible, la plupart des femmes considèrent que la réalité est bien différente. L’étude portant sur plus de 200 femmes a été réalisée par Womenintechnology.co.uk, un portail d’informations dédié aux femmes, lors d’un événement co-organisé par Microsoft.
Si, d’après cette étude, 55 % des femmes interrogées estiment être parvenues à un équilibre entre travail et vie personnelle, la plupart d’entre elles ont émis des réserves dans leurs réponses.
« Il faut jongler pour y parvenir », explique l’une des personnes interrogées. « J’ai dû me battre tout au long de ma carrière. C’est vraiment quelque chose que vous devez faire vous-même, sans attendre l’aide de qui que ce soit. »
Certaines expliquent que l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle peut varier d’un travail à un autre. « A chaque fois que je change de travail, j’ai peur que l’entreprise remette en cause cet équilibre », ajoute une autre.
Plus des trois quarts des personnes interrogées affirment que leur employeur actuel défend la flexibilité au travail, mais bon nombre d’entre elles précisent que cette flexibilité est en réalité limitée. Malgré un soutien théorique, la réalité est bien différente.
Certaines ajoutent que les heures de travail flexibles sont vues d’un mauvais oeil par leurs collègues et que la discrétion des responsables demeure un facteur déterminant.
L’une des femmes interrogées explique que son entreprise défend la flexibilité au travail mais « que dans la réalité, tous les responsables n’autorisent par leurs équipes respectives à y participer ».
L’événement a été organisé dans le but de sensibiliser le public sur ce mécontentement généralisé. « Notre principale intervenante a été le Dr Suzanne Doyle-Morris, venue parler de ce qui permet aux employés de travailler plus intelligemment pour parvenir à un équilibre entre travail et vie personnelle qui leur ressemble », a déclaré Maggie Berry, directrice de Womenintechnology.co.uk.
« Le nombre de femmes travaillant dans le secteur informatique est en chute libre et ce déséquilibre est souvent cité comme l’une des raisons majeures », précise la responsable. « Heureusement, cet événement a été l’occasion de montrer aux femmes comment elles pouvaient travailler ‘plus intelligemment, sans se tuer à la tâche’ et trouver le moyen d’équilibrer leurs vies professionnelle et personnelle. »
Selon une étude publiée au Royaume-Uni la semaine dernière, la majorité des femmes travaillant dans le secteur informatique estiment qu’il leur est difficile de concilier vie familiale et vie professionnelle.
Si les employeurs disent défendre un travail flexible, la plupart des femmes considèrent que la réalité est bien différente. L’étude portant sur plus de 200 femmes a été réalisée par Womenintechnology.co.uk, un portail d’informations dédié aux femmes, lors d’un événement co-organisé par Microsoft.
Si, d’après cette étude, 55 % des femmes interrogées estiment être parvenues à un équilibre entre travail et vie personnelle, la plupart d’entre elles ont émis des réserves dans leurs réponses.
« Il faut jongler pour y parvenir », explique l’une des personnes interrogées. « J’ai dû me battre tout au long de ma carrière. C’est vraiment quelque chose que vous devez faire vous-même, sans attendre l’aide de qui que ce soit. »
Certaines expliquent que l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle peut varier d’un travail à un autre. « A chaque fois que je change de travail, j’ai peur que l’entreprise remette en cause cet équilibre », ajoute une autre.
Plus des trois quarts des personnes interrogées affirment que leur employeur actuel défend la flexibilité au travail, mais bon nombre d’entre elles précisent que cette flexibilité est en réalité limitée. Malgré un soutien théorique, la réalité est bien différente.
Certaines ajoutent que les heures de travail flexibles sont vues d’un mauvais oeil par leurs collègues et que la discrétion des responsables demeure un facteur déterminant.
L’une des femmes interrogées explique que son entreprise défend la flexibilité au travail mais « que dans la réalité, tous les responsables n’autorisent par leurs équipes respectives à y participer ».
L’événement a été organisé dans le but de sensibiliser le public sur ce mécontentement généralisé. « Notre principale intervenante a été le Dr Suzanne Doyle-Morris, venue parler de ce qui permet aux employés de travailler plus intelligemment pour parvenir à un équilibre entre travail et vie personnelle qui leur ressemble », a déclaré Maggie Berry, directrice de Womenintechnology.co.uk.
« Le nombre de femmes travaillant dans le secteur informatique est en chute libre et ce déséquilibre est souvent cité comme l’une des raisons majeures », précise la responsable. « Heureusement, cet événement a été l’occasion de montrer aux femmes comment elles pouvaient travailler ‘plus intelligemment, sans se tuer à la tâche’ et trouver le moyen d’équilibrer leurs vies professionnelle et personnelle. »