« Pas d’échéance précise. On se lancera au moment opportun ».
Cette déclaration faite à Forbes, on la doit à Matt Mills.
Ancien d’Oracle, l’intéressé dirige, depuis environ un an, la société MapR, à laquelle on prête de longue date des ambitions d’introduction en Bourse.
Son prédécesseur John Schroeder avait en l’occurrence évoqué l’éventualité d’une IPO dès 2014. Mais depuis lors, l’aventure s’est poursuivie à l’appui de financements privés.
Le dernier tour de table officialisé remontait à l’été 2016, pour un montant de 50 millions de dollars et la participation remarquée du fonds souverain australien.
Les principaux actionnaires historiques, dont Google Capital, Lightspeed Venture Partners et New Enterprise Associates, avaient remis au pot à cette occasion.
Les voilà qui renouvellent leur confiance dans le cadre d’un nouvel apport de capital : 56 millions de dollars.
MapR compte exploiter cette enveloppe pour élargir sa présence commerciale en Australie, au Japon et en Corée du Sud. En toile de fond, un objectif : arriver à l’équilibre en 2018 avec son produit phare : une plate-forme big data.
Cette dernière se base sur le framework open source Hadoop, destiné à faciliter la création d’applications distribuées et échelonnables. Elle y associé un système de fichiers POSIX, une base de données NoSQL, un moteur de gestion d’événements, ainsi que deux autres projets Apache : Spark pour le calcul distribué et Drill pour les requêtes SQL.
MapR dit être parvenu à traiter 1,5 To de données en moins d’une minute en déployant, sur Google Compute Engine, cette architecture récemment agrémentée d’un module qui permet de mettre en œuvre une « data fabric », couche virtuelle pour combiner les différentes ressources de stockage.
Achevé le 31 juillet dernier, le 2e trimestre de l’exercice fiscal 2018 aura aussi été marqué par l’annonce d’une offre commune avec Talend en prévision de l’entrée en vigueur du règlement européen sur la protection des données (GDPR).
MapR dit avoir enregistré, sur cette période, des facturations en hausse annuelle de 100 %. Et assure, par la voie de Matt Mills, que sa valorisation « augmente » à l’issue de ce nouveau tour de table.
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