Megaupload : contrecoups et bataille judiciaire

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La chute de l’empire Megaupload fait des vagues : son co-fondateur Kim Schmitz tente de sortir de prison, les attaques Anonymous se poursuivent et des plates-formes similaire prennent peur

Anonymous : la riposte continue

La conséquence la plus directe se traduit par les assauts d’Anonymous au niveau mondial.

Les cyberactivistes sont mobilisés pour dénoncer la coupure de Megaupload mais aussi pour les textes de loi antipiratage numérique perçus comme liberticides (SOPA, PIPA).

Lundi matin, le site institutionnel du groupe français de communication Vivendi était fermé en raison d’une attaque (c’est encore le cas lors de la pause déjeuner).

Anonymous a pris aussi pour cible des sites Internet officiels en Pologne.

Une action visant à dénoncer la volonté de cet Etat de  signer un traité international pour renforcer les droits de propriété intellectuelle (Accord commercial anti-contrefaçon ou ACTA) .

Enfin, plusieurs services similaire à Megaupload proposant des fonctions de streaming, de partage et de coffre-fort numérique ont fortement limité leurs activités. Par peur de représailles judiciaires.

Des plates-formes comme Fileserve, Uploaded.to ou FileSonic.com auraient fait du ménage en supprimant des comptes douteux. Ce dernier a même désactivé son option de partage de fichiers.

Les quatre accusés devant le juge en Nouvelle Zélande :

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