La version finale d’Office 2013 est disponible… à l’évaluation.
Non restreinte dans ses fonctionnalités, mais limitée dans le temps (60 jours), cette ultime démo replace la Customer Preview déployée jusqu’alors.
Basée sur la mouture Professionnel Plus, elle inclut toutes les composantes de la suite : Word, Excel, PowerPoint, OneNote, Outlook, Access, et Publisher.
Cet avant-goût laisse augurer d’un produit fini dont le lancement commercial pourrait intervenir à la mi-janvier, à s’en fier au timing.
Le téléchargement (pour les PC et tablettes Windows 7/8) s’effectue sur le réseau TechNet, via une page accessible à quiconque dispose d’un compte Microsoft. La langue française est désormais prise en charge.
Office 2013 s’inscrit dans la stratégie « Devices et Services » de Microsoft.
Si l’ergonomie n’est pas sans rappeler la version 2010, l’interface est pensée pour s’ouvrir au monde des tablettes tactiles Windows 8, avec une présentation par volets et des icônes distinctives.
Dans ce même esprit de conquête de nouvelles plates-formes essentiellement mobiles, Office puise son potentiel dans une intégration renforcée vis-à-vis des réseaux sociaux et des solutions de communications unifiées (Outlook, Lync).
Les efforts se sont également portés sur les paramètres de sécurité, voulus plus complets et accessibles aux PME.
La date de sortie officielle reste inconnue, mais il est d’ores et déjà question de déclinaisons pour iOS (février-mars) et Android (mai), lesquelles viendraient compléter les clients OneNote et SkyDrive déjà disponibles sur ces supports.
Il s’agirait de versions gratuites, mais aux fonctionnalités limitées, à enrichir par l’achat de modules complémentaires, dans le cadre d’une version hébergée destinée à supplanter, à terme, celle distribuée au format physique.
Ce tournant vers le cloud (en mode SaaS – « Software as a Service ») impose une confrontation avec Google Drive, mais aussi un nouveau modèle de facturation : l’abonnement mensuel, à partir de 8,30 euros par mois pour 5 euros.
Pour se différencier, Microsoft mise sur l’écosystème des Web Apps, des maillons rattachés à SkyDrive et dotés d’API permettant notamment la prise en charge du contrôle tactile ou encore l’utilisation d’un profil unique d’utilisateur.
Crédit photo : Stuart Miles – Shutterstock.com
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