Les pages Web infectées par des malwares sont de plus en plus nombreuses. Les liens piégés cèdent aujourd’hui la place à une technique consistant à utiliser du code malicieux écrit en JavaScript, lequel est chargé d’exploiter les faiblesses des navigateurs Web, souligne Silicon.fr.
La réponse s’organise face à cette nouvelle menace. Ainsi, de nombreux butineurs intègrent dorénavant un filtre permettant d’éviter les sites dangereux.
Certains proposent même un bac à sable sophistiqué qui isole l’application du système d’exploitation, ou même la page Web des autres éventuellement chargées.
Les équipes de Microsoft Research travaillent aujourd’hui à la mise au point d’un nouvel outil : Zozzle.
Une information dévoilée par le site Threatpost de Kaspersky Lab. Ce logiciel s’intègre au sein du navigateur Web et permet de tester la dangerosité du code JavaScript présent dans les pages visitées par l’internaute.
À cet effet, il s’appuie sur une base de données des malwares les plus courants. Si cet outil est flexible et rapide, il ne sera pas à 100 % efficace, le code JavaScript pouvant être rendu très difficile à étudier.
Cette approche pro-active sera donc complémentaire aux techniques utilisées actuellement. Elle n’est en tout cas pas dénuée d’intérêt et pourrait donner des idées aux autres concepteurs de navigateurs. Plus de détails sur Zozzle sont disponibles au sein de ce PDF.
L’IA générative excelle dans plusieurs cas d’usage, notamment dans l’analyse, la recherche et la synthèse…
Trop tôt pour envisager d'acquérir un PC Copilot+ ? Les roadmaps d'Intel et d'AMD peuvent…
Dévoilés lors du CES 2025, les PC Copilot+ au format convertible restent encore limitée dans…
Les fonctionnalités de Gemini sont intégrées dans la suite bureautique Google Workspace. Conséquence : les…
Au CES 2025, les principaux constructeurs ont annoncé l'arrivée des ordinateurs de bureau dotés de…
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…