Microsoft lève le voile sur Windows Phone 8 et décrète son arrivée avant la fin de l’année.
Les innovations sont bel et bien au rendez-vous. Mais les apparences ne sauraient tromper : la nouvelle version de cet OS pour téléphones mobiles partage l’ADN de Windows 8.
Du noyau aux pilotes en passant par l’explorateur de fichiers, la gestion du réseau et des composantes primordiales tel Internet Explorer 10, les deux systèmes d’exploitation convergent.
Plus globalement, se dessine en toile de fond une convergence logicielle avec en point de mire une stratégie multi-écrans ponctuée d’une interaction entre ordinateurs, smartphones et tablettes… notamment les nouvelles Microsoft Surface.
Dans cet esprit, les développeurs sont invités à communier sous une même bannière, celle d’un parc applicatif unifié (App Marketplace) dont il convient d’escompter une croissance exponentielle.
L’occasion rêvée de corriger ce vide logiciel qui règne pour l’heure, avec quelque 80 000 titres au compteur, quand Google Play (Android) a dépassé les 500 000 et l’App Store (Apple iOS), les 600 000.
Pour simplifier la tâche des développeurs, Microsoft lève certaines limitations techniques inhérentes à l’actuel Windows Phone Mango.
Les processeurs double coeur et les cartes multimédia microSD sont désormais pris en charge, au même titre que trois résolutions d’écran : le WVGA (800 x 480 points), le WXGA (1280 x 720) et la 720p (1280 x 720).
Pas de signe de la recharge par induction un temps évoquée, mais une avancée notable sur le front du sans contact.
Le support des puces NFC (Near Field Communication) est censé diversifier les usages des smartphones et en faire de véritables coffres-forts numériques destinés à regrouper cartes de fidélité, factures dématérialisées, relevés bancaires et autres documents administratifs.
Laissés-pour-compte de cette évolution, les terminaux qui embarquent la version originelle de Windows Phone 7 ne seront pas éligibles à la transition.
C’est semble-t-il le prix à payer pour enfin initier la convergence et ainsi suivre le chemin d’iOS, qui peuple les téléphones, les tablettes, les baladeurs et les décodeurs TV d’Apple. Même constat pour Android, qui s’exporte même sur les ordinateurs munis de puces ARM.
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