Aux Etats-Unis, c’était le choc : MySpace a annoncé son intention de réduire de 30% son effectif. La plate-forme communautaire, filiale du groupe de communication de News Corporation (propriété du magnat australo-américain Rupert Murdoch), pourrait étendre son plan de rigueur au niveau international.
Quid des branches à l’international ? Les premiers signes d’inquiétude sont apparus dans la presse britannique avant l’annonce officielle de MySpace. Ainsi, selon une contribution en date du 12 juin sur le blog « Technology » du Guardian, des cadres dirigeants de MySpace plancheraient sur des mesures visant à réduire la voilure en Italie, en Espagne…et en France.
Contacté par ITespresso.fr (ex-Vnunet.fr), un porte-parole de la branche française de MySpace s’est refusé à tout commentaire sur le sujet. Néanmoins, selon nos informations, un salarié sous le couvert de l’anonymat a indiqué qu’il s’attendait « à ce type de mesures prochainement ». Actuellement, MySpace France emploie une trentaine de personnes.
Il est vrai que la concurrence est rude face à des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Selon un contact issu du monde de la production musicale, la force de MySpace reste sa capacité à fédérer des communautés musicales et d’être incontournable pour la promotion de nouveaux talents. Mais, pour générer du buzz, les plates-formes communautaires concurrentes seraient plus efficaces.
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