Sous l’impulsion de Google, le « Niantic Project » est sorti des limbes.
Il consiste à exploiter les réseaux informatiques dit « neuronaux » pour redéfinir le principe de la recherche contextuelle.
En se basant sur la géolocalisation, Google compte délivrer continûment et automatiquement l’information pertinente à l’utilisateur, sans qu’il ait à la solliciter.
Cette finalité implique de supprimer l’étape de la requête. A cet effet, un algorithme va recueillir des données depuis de nombreuses bases de connaissances, notamment les plates-formes communautaires et les guides locaux.
L’expérience utilisateur s’articulera autour de l’application FieldTrip, liée à ce moteur de recherche d’un nouveau genre.
Cette « intelligence artificielle » qui n’est pas sans rappeler les Google Goggles tourne constamment en arrière-plan, « sans impacter démesurément l’autonomie de la batterie« , selon le groupe Internet de Mountain View.
Ce concept devrait initialement concerner les smartphones, mais il pourrait à terme constituer une pièce maîtresse de la voiture autonome Google Car ou des lunettes à réalité augmentée Google Glasses.
Il s’agit de « rapprocher l’utilisateur de la réalité », voire de l’aider à « passer de l’autre côté du miroir ».
Telle est tout du moins la promesse des Niantic Labs, une entité dédiée, fondée en 2011 et placée sous la houlette de John Hanke, dont la société Keyhole, passée dans le giron de Google, est à la base de l’outil de modélisation 3D Google Earth.
La communication à l’entour du projet est bien huilée, comme le suggère Forbes.
Un compte Twitter @NianticProject actif depuis cet été, un site Internet ouvert le 1er novembre, un certain Ben Jackland relatant sur Google+ ses exploits avec un mystérieux smartphone : les leviers de promotion sont nombreux.
Embarqué dans un véritable jeu de piste, l’internaute est initié aux rudiments de la réalité augmentée, au gré de vidéos et de tweets qui laissent entrevoir les capacités insoupçonnées de cette technologie.
Un wiki s’est constitué pour compiler les infos distillées çà et là. Il est question de délivrer des services sans carte SIM, y compris sur un mobile éteint.
Faut-il prévoir des révélations à la fin du mois, lorsque sortira la première version des Google Glasses ?
Crédit photo : Igor Zh. – Shutterstock.com
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