Nokia met à jour son écosystème d’applications Windows Phone
Nokia met à jour ses outils Drive, Maps et Transport, trois composantes de son écosystème d’applications Windows Phone. Les smartphones de la gamme Lumia en tireront les fruits.
Nokia met à jour son écosystème d’applications mobiles (Drive, Maps et Transport) pour Windows Phone.
Principaux bénéficiaires de la démarche, les smartphones de la gamme Lumia se muent en systèmes GPS autonomes avec notamment un mode hors connexion.
Une plus-value non négligeable alors que le bien-nommé Mango, en dépit de la fraîcheur caractéristique de son interface bariolée tant vantée de Microsoft, pâtit d’un Marketplace aux airs de désert logiciel.
Passé en version 2.0, Nokia Drive, emblème d’une offre aux rouages bien huilés qui a contribué à séduire plus d’un million de mobinautes acquéreurs d’un Lumia, remplit toujours son office de guidage par satellite, avec quelque 190 pays à son catalogue.
Les cartes restent téléchargeables sans frais sinon ceux liés à l’éventuel recours au réseau mobile 3G.
Pour adresser cette problématique et gagner en autonomie, l’application dispose désormais d’un mode hors ligne, qui permet de se dispenser d’une quelconque connexion sans fil à Internet.
Au rang des fonctionnalités annexes, la mémorisation des trajets, les alertes sonores en cas de dépassement de la vitesse maximale autorisée, les prévisions de trafic et par extension, le calcul des itinéraires les plus rapides en fonction des conditions de circulation.
S’y adjoint Nokia Maps, enrichi pour l’occasion de cartes géolocalisées et d’une myriade de points d’intérêt.
L’ensemble aborde en parallèle le virage du social, avec une option de diffusion d’informations (adresses, emplacements) sur les réseaux sociaux ou par SMS.
Les transports en commun sont également à l’honneur, cartographiés dans 510 villes du globe (46 pays) et regroupés dans la base de données de l’outil Transport.
Une aubaine pour Windows Phone, dont le seul Nokia semble réellement chercher à tirer la quintessence. Samsung, qui s’est un temps risqué sur ce terrain, délaisse inexorablement Microsoft pour s’en remettre à Google et son Android, autrement plus répandu.