Opera Max disparaît du Google Play Store après avoir fait son apparition en 2014.
Il sera possible d’exploiter encore l’app mais il n’y aura plus de mises à jour, selon la société norvégienne à l’origine d’Opera Max mais davantage connue pour son navigateur Internet.
L’app permettait aux utilisateurs de compresser les données des apps mobiles via un système de proxy vers les serveurs de la société. En fait, il s’agissait d’une déclinaison en app du mode Off-Road (ou Turbo) de son browser.
Avantage d’Opera Max : il agissait comme un « proxy » placé au niveau du système d’exploitation du terminal. Ce qui permettait d’avoir un impact sur la consommation data des navigateurs. Mais aussi sur celle de l’ensemble des applications installées sur le terminal mobile de l’utilisateur.
Opera Software l’a ensuite enrichie de fonctionnalités supplémentaires en 2016, dont un mode privé destiné à bloquer les trackers de publicité ainsi que d’autres connexions indésirables.
La toute dernière version majeure remonte à mai 2017. On signale une dernière mise à jour survenue le mois dernier (version 3.0).
Avec l’arrêt d’Opera Max, le groupe tente visiblement de consolider son offre de navigateur Internet, selon une contribution de blog d’Opera Software en date du 14 août.
« Le produit avait une proposition de valeur sensiblement différente de celle de nos produits de navigateur et représentait une orientation différente pour Opera. Nous nous concentrons donc sur nos navigateurs et les autres services à venir. »
« L’économiseur de données » avait probablement ses adeptes qui devront opter pour une alternative. Notons l’existence de DataEye, une application qui fonctionne de manière similaire pour réduire la quantité de données que vous utilisez.
De son côté, Onavo offre une application appelée «Protect» qui est une combinaison VPN et économiseur de données, à l’instar de feu Opera Max.
Google explore aussi depuis 2013 la compression des données sur la base d’outils ouverts et open source tels que la librairie PageSpeed pour traiter les pages Internet, WebP pour la recompression des images et le protocole SPDY (couplé à gzip) pour le transfert des données.
La firme de Mountain View teste par ailleurs l’app Triangle du côté des Philippines pour l’heure uniquement. Là encore, on parle d’une app Android de type économiseur de données.
(Crédit photo : kentoh – Shutterstock.com)
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