Lundi 30 juin, le projet d’OPA d’Oracle sur Peoplesoft (voir édition du 25 juin 2003) n’a pas reçu, dans le cadre d’un premier examen, la bénédiction des autorités antitrust américaines. Elles ont demandé à l’éditeur de leur fournir des informations complémentaires afin de décider si elles l’autorisent à poursuivre l’OPA. Une procédure qui peut prendre plusieurs mois et qui empêche donc Oracle de mener son projet à bien rapidement. Du coup, la proie d’Oracle, Peoplesoft, pourrait bien avoir le temps de mener de son côté son propre projet de fusion avec JD Edwards, lequel fait également l’objet d’une enquête par le ministère américain de la Justice. Si tel était le cas, et dans l’hypothèse où Oracle serait autorisé à mener son OPA, ce dernier aurait alors à intégrer deux sociétés, ce qui complique tout. Mais la route est longue avant obtenir l’adhésion des actionnaires de Peoplesoft. Dans une lettre rendue publique mardi 1er juillet, le conseil d’administration de ce dernier explique : « Nous pensons que l’offre d’Oracle pose de sérieux risques et est destructrice en termes de valeur pour les actionnaires ». Il a également supplié les détenteurs de titres de soutenir son projet de reprise de JD Edwards.
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