Le portail PagesJaunes poursuit sa mûe Web 2.0.
Après avoir intégré une dimension collaborative sur la partie annuaire en ligne pour les pros (70 000 avis déposés), le groupe annuairiste s’est concentré sur le volet PagesBlanches (recherche de coordonnées des particuliers), qui s’ouvre aux réseaux sociaux.
Ainsi, à partir de la page de résultat, tout visiteur disposera d’une passerelle pour consulter les informations des contacts PagesBlanches disposant d’une présence sur des services communautaires (grand public ou professionnels) comme Copainsdavant, Facebook, Trombi, Twitter, LinkedIn et Viadeo.
Seconde évolution : il sera possible pour toute personne inscrite sur la base de données PagesBlanches sur Internet de compléter sa propre fiche de renseignements en fournissant tous ses canaux de communication (adresse postale, téléphone fixe ou sur IP, mobile, mail, profils sociaux…). Le système sera mis en place dans le courant de l’été.
Pour éviter les risques d’ursurpation d’identité sur ce futur « méta-annuaire de personnes », PagesBlanches place des gardes-fous.Tout d’abord, pour faire des liens sur des pages de réseaux sociaux, il sera nécessaire d’indiquer ses nom et prénom sur ses différents profils. Objectif : éluder les pseudos et avatars.
Ensuite, pour remplir sa propre fiche de renseignements PagesBlanches, l’internaute disposer d’un compte spécifique (identifiant + mot de passe reçus par e-mail ou SMS).
« De source Nielsen, PagesBlanches représente 9 millions de visiteurs uniques sur le portail PagesBlanches, ce qui représente 30% du trafic sur le portail PagesJaunes », précise Julien Billot, directeur général adjoint en charge du pôle Internet du groupe annuairiste. Celui-ci exclut une moindre commercialisation de la base de données enrichie par ce biais.
PagesBlanches a également renforcé la fonctionnalité de recherche de particuliers sur Pagesblanches.fr avec la collaboration d’Exalead (fournisseur français de solutions de recherche).
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