L’examen du projet de loi sur les jeux en ligne commence à l’Assemblée nationale mercredi prochain. Plus précisément le texte sur l’ouverture à la concurrence et la régulation des jeux en ligne.
Un marché prometteur et certaines opérateurs alternatifs de jeux ne cachent plus leur impatience pour développer leur business en France.
Mais, dans son projet de loi, le gouvernement prône une ouverture « maîtrisée » des jeux en ligne, incompatible avec la jungle actuelle qui sévit sur Internet. Le 88e Prix de l’Arc de Triomphe, qui s’est tenu dimanche 4 octobre à l’hippodrome de Longchamp, en a donné l’exemple.
Deux jours auparavant, le quotidien gratuit Métro publie un publi-rédactionnel émanant du site ZEturf, spécialisé dans les paris en ligne sur les courses hippiques en Europe.« Les zeturfistes français étant les plus nombreux, la cote des chevaux anglais sera sans doute plus avantageuse que chez les bookmakers anglais », peut-on lire.
« Publicité déguisée », tranche le cabinet du ministre du Budget Eric Woerth. Le gouvernement réaffirme sa volonté de maintenir l’interdiction de la publicité sur les jeux en ligne émanant d’opérateurs alternatifs tant que la loi sur l’ouverture de ce marché n’est pas votée. ZEturf fait partie de cette catégorie.
Créé en 2001 par le français Emmanuel de Rohan Chabot et basé sur à Malte, ZEturf veut développer un service européen pour parier sur les courses de chevaux. En France, il s’est inévitablement frotté au PMU détenteur d’un monopole d’Etat.
Mais, à force de persévérance et en s’appuyant sur la règlementation européenne « moins à cheval » sur les positions monopolistiques que la législation nationale, le service en ligne est parvenu à ouvrir une brèche devant la Cour de Cassation.
Au dernier pointage, ZEturf revendique plus de 65 000 joueurs « actifs » en Europe.
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