Press release

94 % des entreprises reconnaissent un déficit de compétences en matière de protection de la vie privée

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La protection de la vie privée est un élément essentiel de la confiance numérique : elle contribue à une réputation plus positive et à une réduction des incidents de cybersécurité pour les entreprises qui la priorisent. Association mondiale de confiance numérique, l’ISACA estime que les entreprises sont conscientes de son importance ; selon son rapport « Privacy in Practice » de 2023 publié aujourd’hui, 87 % des organisations en Europe offrent une formation de sensibilisation à la protection de la vie privée aux employés. Mais elles ratent toutefois le coche étant donné que la plupart des entreprises (94 %) reconnaissent un manque de compétences en protection de la vie privée.

Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20230117005918/fr/

ISACA surveyed more than 1,800 professionals worldwide—including 375 in Europe—who work in data privacy or have detailed knowledge of the data privacy function within their organisations to demonstrate current perspectives on privacy staffing, organisation structure, frameworks and policies, budgets, training, and data breaches. Learn more about the key findings and the business benefits of privacy by design at www.isaca.org/privacy-month-2023. (Graphic: ISACA)

ISACA surveyed more than 1,800 professionals worldwide—including 375 in Europe—who work in data privacy or have detailed knowledge of the data privacy function within their organisations to demonstrate current perspectives on privacy staffing, organisation structure, frameworks and policies, budgets, training, and data breaches. Learn more about the key findings and the business benefits of privacy by design at www.isaca.org/privacy-month-2023. (Graphic: ISACA)

Le rapport « Privacy in Practice » de l’ISACA explore l’état de la confidentialité en entreprise en examinant les tendances relatives aux équipes de confidentialité, aux défis liés à la vie privée, à la confidentialité dès la conception et l’avenir de la protection de la vie privée.

Le rapport révèle qu’en l’état actuel des choses, plus de la moitié (59 %) des équipes techniques de protection de la vie privée en Europe sont en sous-effectifs. La mise sur pied de ces services est un défi : 1 entreprise sur 5 affirme qu’il lui faut plus de six mois pour pourvoir un poste technique en protection de la vie privée et 41 % affirment que leurs budgets de protection de la vie privée sont sous-financés.

Les manquements à la vie privée les plus signalés comprennent un manque de formation ou une formation inadaptée (49 %) ; les violations de données (38 %) ; et le fait de ne pas pratiquer la confidentialité dès la conception (39 %). Avec seulement 38 % des chefs d’entreprise confiants dans la capacité de leur organisation à assurer la confidentialité des données sensibles, les entreprises doivent modifier leur approche pour combler le déficit de compétences en protection de la vie privée ou risquer de compromettre leurs relations avec les clients et de nuire à la réputation de l’entreprise.

Chris Dimitriadis, responsable mondial de la stratégie, ISACA : « Les professionnels de la confidentialité jouent un rôle clé dans l’établissement de la confiance numérique. À mesure que la technologie progresse, ce qui introduit de nouvelles complexités et de menaces, et alors que le paysage de la cybermenace augmente en taille et en sophistication, la demande pour ces personnes ne fera que croître. Une demande accrue de compétences en protection de la vie privée est une bonne nouvelle pour les candidats ayant des connaissances en technologie de confidentialité, mais aussi une mauvaise nouvelle pour les entreprises qui ont du mal à combler le déficit de compétences en protection de la vie privée. Comme le souligne notre nouvelle étude, les entreprises doivent envisager de modifier leurs programmes de formation et adopter la protection de la vie privée dès la conception afin de limiter le nombre de violations, d’instaurer la confiance numérique et de mettre l’entreprise sur les rails d’un succès à long terme. »

Tony Hughes, membre du groupe de travail sur les tendances émergentes de l’ISACA : « Rechercher uniquement des candidats ayant une expérience spécifique et des compétences techniques en protection de la vie privée est un état d’esprit dépassé, qui limite immédiatement les entreprises à un petit pool de personnes. Au lieu de cela, les organisations doivent s’appuyer sur la reconversion de personnes occupant des postes non liés à la confidentialité, en utilisant des employés contractuels et en se concentrant sur les personnes possédant des compétences non techniques appropriées pour réduire l’écart de compétences en protection de la vie privée. »

Notes aux rédacteurs

Tous les chiffres sont basés sur les travaux de terrain menés par l’ISACA. Ces travaux de terrain ont été réalisés au quatrième trimestre 2022, auprès de 1 890 professionnels de la protection de la vie privée dans le monde, dont 375 en Europe.

Le rapport Privacy in Practice de l’ISACA est téléchargeable ici.

À propos de l’ISACA

Depuis plus de 50 ans, l’ISACA donne aux particuliers et aux entreprises les connaissances, les qualifications, l’éducation, la formation et la communauté pour faire progresser leur carrière, transformer leurs organisations et construire un monde numérique plus fiable et éthique. L’ISACA tire parti de l’expertise de ses plus de 165 000 membres qui travaillent dans des domaines de la confiance numérique tels que la sécurité de l’information, la gouvernance, l’assurance, la gestion des risques, la confidentialité et la qualité, avec une présence dans 188 pays et 225 branches dans le monde entier. Grâce à sa fondation One In Tech, l’ISACA soutient l’éducation informatique et les choix de carrière pour les populations manquant de ressources et sous-représentées.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.