-
Excellente dynamique commerciale en 2017 avec une progression du
chiffre d’affaires de 10,2 % à taux de change et périmètre constants :- 2 288 millions d’euros de chiffre d’affaires
- +8,8 %, à données publiées
-
Forte hausse (+12,4 %) du résultat opérationnel courant contributif
qui atteint 335 millions d’euros, conformément aux objectifs fixés -
Croissance rapide de la génération de trésorerie qui atteint 164
millions d’euros, contre 85 millions d’euros en 2016 -
Objectifs 2018 :
-
Croissance organique des ventes comprise entre 8 et 9 %, à taux de
change et périmètre constants. -
Résultat opérationnel courant contributif compris entre 325 et 345
millions d’euros, malgré une anticipation d’environ 40 millions
d’euros d’effets de change négatifs.
-
Croissance organique des ventes comprise entre 8 et 9 %, à taux de
Alexandre Mérieux, Président Directeur Général, déclare : « bioMérieux
enregistre à nouveau une solide performance opérationnelle et financière
au terme de l’année 2017. La Société affiche une nette progression de
son résultat opérationnel courant contributif, de son résultat net et de
sa génération de trésorerie, du fait du dynamisme de son activité et de
la maîtrise de ses frais généraux. Forte de ces résultats, bioMérieux
aborde 2018 avec l’ambition de prolonger cette dynamique tout en
intensifiant son engagement en faveur de l’innovation et de la R&D.
»
MARCY L’ÉTOILE, France–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:
Le Conseil d’administration de bioMérieux (Paris:BIM), acteur mondial du
diagnostic in vitro, s’est réuni le 27 février sous la présidence
de M. Alexandre Mérieux. Il a arrêté les comptes consolidés audités du
Groupe au 31 décembre 2017.
Comptes consolidés
En millions d’euros |
2017 | 2016 |
Variation
À données publiées |
||||
Chiffre d’affaires | 2 288 | 2 103 | +8,8 % | ||||
Résultat opérationnel courant contributif * | 335 | 298 | +12,4 % | ||||
Résultat opérationnel ** | 315 | 282 | +11,5 % | ||||
Résultat de l’ensemble consolidé | 238 | 179 | +32,6 % | ||||
Résultat net par action (en €) | 2,02 € | 1,52 € |
* |
Le résultat opérationnel courant contributif correspond au |
|
** |
Le résultat opérationnel est la somme du résultat opérationnel |
ÉVÉNEMENTS MARQUANTS 2017
Les événements marquants de l’année 2017 sont présentés en Annexe 1.
RÉSULTATS FINANCIERS
CHIFFRE D’AFFAIRES
Au 31 décembre 2017, le chiffre d’affaires de bioMérieux a atteint
2 288 millions d’euros contre 2 103 millions d’euros au 31 décembre
2016, soit une hausse à taux de change et périmètre constants de 10,2 %,
dépassant ainsi légèrement l’objectif fixé entre 9 et 10 %. Les effets
négatifs de change enregistrés durant le 2e semestre du fait
du renforcement de l’euro face à plusieurs monnaies, dont notamment le
dollar américain, ont pesé sur la croissance publiée en euros qui
atteint néanmoins 8,8 %.
Évolution du chiffre d’affaires
En millions d’euros |
|||||
CHIFFRE D’AFFAIRES – 31 DÉCEMBRE 2016 | 2 103 | ||||
Effets de change (1) | -29 | -1,4 % | |||
Variation de périmètre (2) | -1 | 0,0 % | |||
Croissance organique, à taux de change et périmètre constants | +215 | +10,2 % | |||
CHIFFRE D’AFFAIRES – 31 DÉCEMBRE 2017 | 2 288 | +8,8 % |
(1) |
Les effets de change sont déterminés en convertissant les données |
|
(2) | Les effets des variations de périmètre sont déterminés : | |
— pour les acquisitions de la période, en déduisant des ventes de |
||
— pour les acquisitions de la période précédente, en déduisant |
||
— pour les cessions de la période, en ajoutant aux ventes de la |
||
— pour les cessions de la période précédente, en ajoutant aux |
Les détails de l’évolution de l’activité par région et par application
sont présentés en annexe 2.
COMPTE DE RÉSULTAT
- Marge brute
À fin décembre 2017, la marge brute atteint 1 212 millions d’euros, soit
53,0 % du chiffre d’affaires, en amélioration sensible par rapport aux
52,3 % constatés à fin décembre 2016. La hausse du taux de marge brute
provient notamment de la croissance des volumes et de l’amélioration du
mix produit, avec la progression remarquable de la gamme BIOFIRE
FILMARRAY®. Ces éléments ont plus que compensé la hausse des
charges d’amortissement liées à la mise en service de plusieurs
nouvelles unités de production (Durham, Salt Lake City et Marcy
l’Étoile).
-
Résultat opérationnel courant contributif
Au terme
de l’exercice 2017, le résultat opérationnel courant contributif s’est
établi à 335 millions d’euros contre 298 millions d’euros au 31
décembre 2016, soit une croissance soutenue de 12,4 %. La marge
opérationnelle courante contributive a atteint 14,6 % du chiffre
d’affaires, en amélioration par rapport aux 14,2 % enregistrés sur
l’exercice précédent. La profitabilité du Groupe s’est ainsi améliorée
malgré l’enregistrement sur l’exercice d’une provision de 29 millions
d’euros au titre de certains plans d’attribution gratuite d’actions,
livrables en trésorerie aux États-Unis, ainsi que d’un effet négatif
de change de 5 millions d’euros environ d’une année sur l’autre.-
Les charges commerciales et les frais généraux se
sont élevés à 603 millions d’euros, soit 26,4 % du chiffre
d’affaires, à comparer à 570 millions d’euros, soit 27,1 % du
chiffre d’affaires en 2016. Les frais généraux ont augmenté moins
vite que le chiffre d’affaires et ont, de surcroît, bénéficié
d’une réallocation plus précise des frais informatiques aux
différentes lignes du compte de résultat. Cette baisse des frais
généraux en valeur relative a plus que compensé les efforts
commerciaux additionnels liés au déploiement de la gamme BIOFIRE
FILMARRAY®. -
Au terme de l’exercice 2017, les frais de R&D se sont
établis à 304 millions d’euros, soit 13,3 % du chiffre d’affaires,
en hausse sensible par rapport aux 272 millions d’euros, soit
12,9 % du chiffre d’affaires en 2016. Cette progression traduit,
comme prévu, l’intensification des activités de recherche et de
développement liées notamment à la gamme BIOFIRE FILMARRAY®
et à certaines gammes de microbiologie. -
Les crédits d’impôts en faveur de la recherche et les subventions
reçues se sont élevés à 24 millions d’euros, stables par
rapport à 2016 malgré l’augmentation des efforts de recherche, du
fait d’un taux de crédit moins favorable aux États-Unis qu’en
France. -
Comme anticipé par la Société, les autres produits de
l’activité, comprenant principalement le produit net des
redevances reçues, n’ont atteint que 7 millions d’euros en 2017,
contre 15 millions d’euros enregistrés en 2016, en raison
notamment de l’arrivée à échéance, courant 2016, de certains
brevets concédés en licence à des tiers.
-
Les charges commerciales et les frais généraux se
- Résultat opérationnel
Les frais liés à l’acquisition de BioFire ont atteint 18 millions
d’euros en 2017, contre 25 millions d’euros en 2016, où le Groupe avait
enregistré le solde d’un plan de rétention mis en place lors de
l’acquisition. Ils comprennent désormais exclusivement la charge
d’amortissement des actifs valorisés à la date de l’acquisition, stable
d’une année sur l’autre.
Les autres produits et charges opérationnels non courants s’élèvent à
1,6 million d’euros, à comparer à 9,9 millions d’euros l’année
précédente, où le Groupe avait enregistré le recyclage dans le compte de
résultat de certains écarts de conversion.
Dans ce contexte, le résultat opérationnel du Groupe en 2017 a
atteint 315 millions d’euros, en hausse de 11,5 % par rapport aux
282 millions d’euros enregistrés en 2016.
- Résultat de l’ensemble consolidé
La charge financière nette a représenté 22,2 millions d’euros en
2017, stable comparée aux 23,2 millions d’euros atteints en 2016.
Le coût de l’endettement financier net a représenté 16,2 millions
d’euros en 2017, contre 17,6 millions d’euros en 2016, et les autres
produits et charges financiers se sont élevés à 6,2 millions
d’euros, à comparer à 5,6 millions d’euros en 2016.
Au 31 décembre 2017, le taux effectif d’impôt (TEI) du
Groupe a atteint 18,6 %, à comparer à 30,8 % au terme de l’exercice
2016. Le TEI a bénéficié en 2017 de l’enregistrement d’un produit de
30 millions d’euros, non-récurrent et sans impact sur la trésorerie, lié
essentiellement à la réévaluation des actifs et passifs d’impôts
différés du fait de la réforme fiscale américaine. En outre, le TEI du
Groupe a été favorisé, dans une moindre mesure, par un produit lié en
France à l’invalidation d’une taxe sur les dividendes, en partie
compensé par une contribution exceptionnelle instaurée à cette occasion.
Enfin, le Groupe a enregistré un complément d’impôt au titre d’un
contentieux. Hormis ces effets non-récurrents, le taux effectif
récurrent d’impôt du Groupe se serait élevé à environ 28 %, stable par
rapport à l’exercice précédent.
Au total, le résultat de l’ensemble consolidé s’est établi en
2017 à 238 millions d’euros, en forte progression de 32,6 % par rapport
aux 179 millions d’euros enregistrés en 2016.
TRÉSORERIE ET FINANCEMENT
- Flux liés à l’activité
Au terme de l’exercice 2017, la génération de trésorerie d’exploitation
a atteint 357 millions d’euros, en hausse de près de 7 % par rapport à
l’exercice précédent.
L’EBITDA1 a atteint 475 millions d’euros à fin
décembre 2017, en nette hausse de 8 % comparé aux 441 millions d’euros
de l’année 2016, reflétant la progression du résultat opérationnel
courant contributif et des dotations aux amortissements et provisions
d’exploitation.
Au cours de l’exercice 2017, le besoin en fonds de roulement
d’exploitation n’a augmenté que de 38 millions d’euros, proche des
33 millions d’euros enregistrés en 2016, malgré la croissance soutenue
de l’activité du Groupe sur la période. Cette évolution résulte
notamment des éléments suivants :
-
Les stocks sont restés quasi stables en 2017, dans le contexte de
croissance de l’activité précédemment décrit alors qu’ils avaient
augmenté de 41 millions d’euros en 2016. Cette performance reflète
notamment l’amélioration des délais de rotation des stocks de plus de
10 % d’une année sur l’autre ; -
Les crédits clients n’ont augmenté que de 26 millions d’euros, contre
une hausse de 10 millions d’euros en 2016, avec une forte amélioration
du délai moyen d’encaissement (DSO), réduit à 73 jours en décembre
2017 contre 80 à la même date en 2016 ; -
Les variations liées aux dettes fournisseurs sont restées quasi
stables d’une année sur l’autre ; -
Les autres éléments du besoin en fonds de roulement d’exploitation ont
augmenté de 4 millions d’euros alors qu’ils avaient enregistré une
baisse en 2016, du fait principalement du décaissement du plan de
rétention mis en place à l’occasion de l’acquisition de BioFire.
Les décaissements d’impôt ont représenté 91 millions d’euros, en
hausse par rapport aux 81 millions d’euros versés l’année précédente,
notamment aux États-Unis.
- Flux liés aux opérations d’investissements
Comme attendu, les décaissements liés aux investissements ont
connu une baisse sensible et se sont élevés à 183 millions d’euros, dont
106 millions d’euros au titre des investissements industriels, contre
233 et 154 millions d’euros respectivement en 2016. Cette baisse est
liée à l’achèvement de projets industriels visant à augmenter les
capacités de plusieurs sites du Groupe.
Dans ce contexte, le cash-flow libre2 a presque
doublé en 2017 pour atteindre 164 millions d’euros, contre 85 millions
d’euros en 2016.
Les acquisitions d’immobilisations financières, nettes des cessions, se
sont élevées à 16 millions d’euros, contre 30 millions d’euros l’année
précédente, essentiellement constituées des prises de participations
minoritaires au capital des sociétés Banyan Biomarker et Qvella, ainsi
que du transfert de la participation de Sysmex à bioMérieux dans Sysmex
bioMérieux Co., Ltd.
- Flux liés aux opérations de financement
Les flux liés aux activités de financement se sont élevés à 57 millions
d’euros, à comparer à 52 millions d’euros sur l’exercice précédent. En
juin 2017, la Société a versé un dividende de 39,4 millions d’euros,
équivalent à celui versé en 2016 et a dépensé 1 million d’euros dans le
cadre de son programme de rachat d’actions, contre 14 millions d’euros
l’année précédente.
- Endettement net
L’endettement net du Groupe au 31 décembre 2017 s’établit à
156 millions d’euros, comprenant notamment 32,8 millions au titre de
dettes vis-à-vis des collaborateurs, contre 275 millions d’euros au
31 décembre 2016. La Société dispose d’un emprunt obligataire d’un
montant de 300 millions d’euros, venant à échéance en octobre 2020, et
bénéficie d’une ligne de crédit syndiqué non tirée de 500 millions
d’euros, arrivant à échéance le 26 janvier 2023, avec une option
d’extension pour une année supplémentaire.
_______________
1 L’EBITDA se définit comme la somme du
résultat opérationnel courant contributif et des amortissements
d’exploitation
2 Le cash-flow libre correspond aux flux
de trésorerie générés par l’exploitation, net des décaissements liés aux
investissements
DIVIDENDE
Le Conseil d’administration proposera à l’Assemblée générale du 17 mai
2018 d’approuver un dividende de 0,34 euro par action. Le
montant, qui sera distribué le 7 juin 2018, devrait ainsi s’élever à
40,2 millions d’euros à comparer à 39,5 millions d’euros en 2017.
AUTRES INFORMATIONS
- Base installée
Au 31 décembre 2017, la base installée s’élevait à 92 800 instruments
environ contre 86 900 à fin décembre 2016.
- Ressources humaines
Au 31 décembre 2017, l’effectif global du Groupe s’élevait à 10 400
collaborateurs environ (employés et intérimaires en équivalent temps
plein) contre 9 800 à fin décembre 2016.
ÉVÈNEMENTS POSTÉRIEURS À LA CLÔTURE
-
Guillaume Bouhours nommé Directeur Administratif et Financier de
bioMérieux
bioMérieux annonce la nomination de Guillaume Bouhours en tant que
Directeur Administratif et Financier et membre du Comité de Direction de
bioMérieux. Il succèdera ainsi à Claire Giraut qui a souhaité faire
valoir ses droits à la retraite, et assumera les mêmes responsabilités,
à savoir la Direction Finance, la Direction Achats et la Direction des
Systèmes d’Information. Diplômé de l’École Polytechnique et de l’École
des Mines ParisTech, Guillaume Bouhours était Président du Groupe Access
& Mobility de Wabtec, après avoir été Directeur Administratif et
Financier du groupe Faiveley Transport de 2010 à 2016. Cette nomination
prendra effet à partir du mois de mars 2018.
OBJECTIF 2018
En 2018, bioMérieux vise à maintenir la forte dynamique commerciale
enregistrée depuis 2 ans. La Société s’est fixée pour objectif
d’atteindre une croissance organique de ses ventes comprise entre 8
et 9 %, à taux de change et périmètre constants. La croissance
reportée en euros devrait néanmoins être inférieure du fait d’effets de
changes prévisionnels fortement négatifs estimés à environ 120 millions
d’euros, sous l’effet principalement de la dépréciation contre l’euro du
dollar américain et de certaines devises émergentes. Dans le contexte
d’une épidémie de grippe de forte intensité aux mois de janvier et
février 2018, bioMérieux anticipe une croissance toujours très soutenue
de la gamme BIOFIRE FILMARRAY®, qui devrait favoriser la
croissance de l’activité au 1er trimestre par rapport aux
trimestres suivants.
L’évolution des parités de change anticipée en 2018 devrait également
affecter à hauteur d’environ 40 millions d’euros le résultat
opérationnel courant contributif de la Société. En outre, bioMérieux
prévoit de renforcer ses efforts de R&D portant sur le diagnostic
syndromique des maladies infectieuses, tout en maintenant sa position de
leader sur ses autres gammes. Dans ce contexte, l‘effort de R&D pourrait
représenter environ 14 % du chiffre d’affaires de la Société en 2018. En
conséquence, bioMérieux s’est fixé, pour l’exercice 2018, un objectif de
résultat opérationnel courant contributif compris entre 325 et
345 millions d’euros, à taux courant.
CALENDRIER FINANCIER
Chiffre d’affaires du 1er trimestre : | 19 avril 2018 – Avant bourse | ||||
Assemblée générale des actionnaires : | 17 mai 2018 | ||||
Chiffre d’affaires du 2e trimestre : | 19 juillet 2018 – Avant bourse | ||||
Résultats semestriels au 30 juin 2018 : | 5 septembre 2018 – Avant bourse | ||||
Chiffre d’affaires du 3e trimestre : | 18 octobre 2018 – Avant bourse |
Les anticipations et objectifs ci-dessus reposent, en tout ou partie,
sur des appréciations ou des décisions qui pourraient évoluer ou être
modifiées en raison, en particulier, des incertitudes et des risques
liés à l’environnement économique, financier, réglementaire et
concurrentiel, notamment ceux exposés dans le Document de Référence
2016. La Société ne prend donc aucun engagement ni ne donne aucune
garantie sur la réalisation des objectifs ci-dessus. Elle ne s’engage
pas à publier ou communiquer d’éventuels rectificatifs ou mises à jour
de ces éléments, sous réserve des obligations d’information permanente
pesant sur les sociétés dont les actions sont admises aux négociations
sur un marché financier.
À PROPOS DE BIOMÉRIEUX
Pioneering Diagnostics
Acteur mondial dans le domaine du diagnostic in vitro depuis plus
de 50 ans, bioMérieux est présente dans plus de 150 pays au travers de
43 filiales et d’un large réseau de distributeurs. En 2017, le chiffre
d’affaires de bioMérieux s’est élevé à 2,3 milliards d’euros, dont plus
de 90 % ont été réalisés à l’international.
bioMérieux offre des solutions de diagnostic (systèmes, réactifs et
logiciels) qui déterminent l’origine d’une maladie ou d’une
contamination pour améliorer la santé des patients et assurer la
sécurité des consommateurs. Ses produits sont utilisés principalement
pour le diagnostic des maladies infectieuses. Ils sont également
utilisés pour la détection de micro-organismes dans les produits
agroalimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques.
bioMérieux est une société cotée sur Euronext Paris.
Code : BIM – Code ISIN : FR0013280286 Reuters : BIOX.PA / Bloomberg : BIM.FP |
Site internet : www.biomerieux.com
et site dédié aux investisseurs : www.biomerieux-finance.com
ANNEXE 1 : ÉVÈNEMENTS MARQUANTS
DE L’ANNÉE 2017
-
Gouvernance
-
Le Conseil d’administration de bioMérieux, réuni le 15 décembre
2017, a approuvé la nomination d’Alexandre Mérieux en tant que Président
Directeur Général de la Société, à compter de ce jour.
Alexandre Mérieux succède ainsi à Jean-Luc Bélingard, qui assurait
la Présidence de la Société depuis 2010 et demeure administrateur
de bioMérieux tout en conservant ses responsabilités au sein de
l’Institut Mérieux en tant que Vice-Président en charge de la
stratégie et des relations institutionnelles. -
Le 30 mai 2017, l’Assemblée générale des actionnaires de
bioMérieux a approuvé la nomination de 2 nouvelles
administratrices indépendantes : Madame Fanny Letier et Madame
Marie-Paule Kieny. Dans le respect de la loi du 27 janvier 2011
relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes
au sein des Conseils d’administration et de surveillance et à
l’égalité professionnelle, le Conseil d’administration de
bioMérieux sera désormais composé de 10 administrateurs, dont 4
femmes.
-
Le Conseil d’administration de bioMérieux, réuni le 15 décembre
-
Offre commerciale
Au cours de l’année 2017,
bioMérieux a enrichi son offre commerciale dans plusieurs domaines :-
En février 2017, bioMérieux a reçu l’accréditation 510(k) de la
FDA (Food and Drug Administration) américaine pour une
utilisation étendue de son test VIDAS®
BRAHMS PCT™ qui est ainsi devenu le premier test de dosage de
la procalcitonine approuvé par la FDA pour contribuer à un usage
raisonné des antibiotiques en cas d’infection respiratoire ou de
sepsis ; -
En avril 2017, bioMérieux a annoncé que BACT/ALERT®
VIRTUO™, avait reçu l’accréditation 510(k) de la FDA
américaine, rendant ainsi ce système disponible aux États-Unis,
après avoir été lancé en Europe. Le système BACT/ALERT®
VIRTUO™ est une solution d’hémoculture hautement automatisée qui
permet aux laboratoires de microbiologie clinique de détecter plus
rapidement les pathogènes pour une prise en charge améliorée des
patients ; -
Le 20 avril 2017, bioMérieux a annoncé le marquage CE du test BIOFIRE
FILMARRAY® RP2plus, une
nouvelle génération du Panel Respiratoire FILMARRAY®.
Le test BIOFIRE FILMARRAY® RP2plus permet de
tester simultanément 22 pathogènes responsables d’infections des
voies respiratoires, avec un temps de rendu de résultat plus
court, en 45 minutes seulement, et une meilleure sensibilité. Le 1er
juin 2017, bioMérieux a annoncé avoir reçu l’autorisation de la
FDA pour la commercialisation, aux États-Unis, du panel BioFire
FilmArray® RP2, qui comporte les mêmes pathogènes que
le test RP2plus à l’exception de MERS-CoV ; -
Le 27 avril 2017, bioMérieux a reçu l’autorisation de la FDA pour
la commercialisation du test RAPIDEC®
CARBA NP, un test manuel à forte valeur médicale utilisé pour
confirmer la détection de bactéries productrices de carbapénémases
à partir de cultures sur gélose. Avec des résultats fiables en
moins de deux heures, c’est un outil simple et rapide permettant
une meilleure prise en charge des patients et un meilleur contrôle
des infections associées aux soins. Les carbapénémases sont des
enzymes hydrolysant les carbapénèmes, une classe d’antibiotiques
ayant le spectre d’activité antimicrobienne le plus large. Les
carbapénèmes ont un usage exclusivement hospitalier et sont
principalement utilisés dans le traitement des infections à
bactéries multirésistantes ; -
Depuis juin 2017, le test automatisé VIDAS®
D-DIMER, indiqué pour exclure les thromboses veineuses
profondes et les embolies pulmonaires chez les patients non
hospitalisés, bénéficie d’une utilisation étendue. Il peut
désormais être utilisé pour aider à identifier, parmi les femmes
suivant un traitement anticoagulant au long cours suite à un
premier épisode de maladie thromboembolique veineuse idiopathique,
celles qui sont à faible risque de récidive et dont le traitement
peut être arrêté. -
En juillet 2017, bioMérieux a annoncé avoir reçu l’accréditation
510(k) de la FDA pour sa solution d’identification rapide des
agents pathogènes VITEK® MS,
élargie à de nouveaux pathogènes. Cette nouvelle base de données
enrichie comprend plus de 15 000 souches différentes et permet
pour la première fois, l’identification, en toute sécurité, des
bactéries du groupe Mycobacterium tuberculosis,
responsables de la tuberculose (TB), des espèces de mycobactéries
non tuberculeuses (MNT) les plus communes, de Nocardia et
des espèces de moisissures les plus importantes du point de vue
médical. -
bioMérieux a lancé deux nouveaux tests de détermination
quantitative de la sensibilité aux antibiotiques des pathogènes
multirésistants (MDRO : Multi Drug Res
-
En février 2017, bioMérieux a reçu l’accréditation 510(k) de la
Contacts
Relations Investisseurs
bioMérieux
Sylvain
Morgeau, + 33 4 78 87 22 37
investor.relations@biomerieux.com
ou
Relations
Presse
bioMérieux
Aurore Sergeant, + 33 4 78 87
20 53
media@biomerieux.com
ou
Image
Sept
Laurence Heilbronn, + 33 1 53 70 74 64
lheilbronn@image7.fr
ou
Claire
Doligez, + 33 1 53 70 74 48
cdoligez@image7.fr