Dreamstime, l’un des leaders mondiaux des licences d’images et plus grande communauté de galeries de photos au monde, annonce officiellement le lancement de LicenseGuard, son outil exclusif de suivi des droits d’auteur. En utilisant une technologie de numérisation basée sur l’IA, des algorithmes de pointe de reconnaissance visuelle et un examen par un être humain, LicenseGuard surveille, repère et signale les utilisations potentiellement abusives du contenu visuel de Dreamstime sur l’internet. L’outil inclut des mécanismes de déclaration de cessation et d’abstention et des options de post-utilisation qui permettent aux contributeurs de Dreamstime et aux destinataires des notifications de violation des droit d’auteur de régler les réclamations rapidement et équitablement.
«LicenseGuard est conçu pour protéger les droits d’auteur des créateurs de contenu et inciter les utilisateurs d’images à adopter les pratiques éthiques en vigueur dans le secteur. L’outil garantit aux titulaires de droits d’auteur que leur travail sera protégé et rémunéré; de leur côté, les utilisateurs d’images sont assurés d’une utilisation multimédia sans souci grâce à un contrat de licence approprié», explique Serban Enache, PDG de Dreamstime.
Comment ça marche? LicenseGuard vérifie et compare les images de la bibliothèque de Dreamstime et celles présentes sur le Web. Tous les contributeurs de l’agence bénéficient de LicenseGuard gratuitement et sans inscription. Dreamstime héberge et commercialise à ce jour 185 millions d’images provenant d’environ 875 000 contributeurs, ce qui en fait la base de données la plus vaste pour le suivi des droits d’auteur.
Les notifications envoyées aux contrevenants incluent des licences libres de droits et des extensions de licence universelles, spécialement conçues par Dreamstime et qui accordent une autorisation de post-utilisation pour les supports sans licence utilisés. Dreamstime s’attend à un taux élevé de résolution de ses réclamations pour violation du droit d’auteur: la fourniture d’une telle licence est préférable au règlement monétaire traditionnel, souvent perçu comme une application agressive du droit d’auteur.
«Un pourcentage exorbitant des images utilisées en ligne le sont abusivement, qu’il s’agisse d’utilisations accidentelles ou délibérément non autorisées, d’une première infraction ou de récidives. La création de «Small Claim Courts» (tribunaux des petits litiges) représente un grand pas en avant en matière d’application des droits de propriété intellectuelle des créateurs de contenu. Mais au niveau international les infractions restent difficiles à traiter et les poursuites judiciaires difficiles à gérer pour les créateurs. Non seulement Dreamstime offre un outil qui s’appuie sur un catalogue d’images déjà existant, mais la portée mondiale de l’outil permet d’éduquer au droit d’auteur et de fournir des solutions de règlement raisonnables avant que les créateurs de contenu et les contrevenants n’en viennent aux actions en justice», explique Serban Enache.
À propos de Dreamstime
Dreamstime, qui héberge la plus grande communauté de galeries de photographies au monde, est un important fournisseur de supports numériques de haute qualité pour les grandes agences de publicité, les principaux magazines nationaux et internationaux et les sociétés de production cinématographique et télévisuelle du monde entier. La Société possède plus de 185 millions de fichiers en ligne et la plus vaste clientèle au monde (plus de 42 millions d’utilisateurs à ce jour). Pour plus d’informations, visitez le site Web Dreamstime.
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