PARIS–(BUSINESS WIRE)–Le commerce international représente une opportunité de croissance
mais sa mise en œuvre peut s’avérer compliquée. Règlementations locales,
normes de qualité et d’étiquetage, différences culturelles, enjeux
logistiques…, de nombreuses contraintes sont à prendre en compte.
Boxtal, n°1 de la livraison de colis multi-transporteurs pour les
TPE/PME et e-commerçants a interrogé1 ses
clients sur leurs habitudes d’exportations et les difficultés
rencontrées.
Une majorité de PME exportent
80% des PME interrogées déclarent exporter à l’international. Près de
50% d’entre elles réalisent entre 1 et 20% de leur chiffre d’affaires à
l’export mais elles ne sont que 9% à atteindre les 75%. L’Union
Européenne est le principal marché. Hors UE, l’Amérique du Nord arrive
en 2e position (34%), suivi de l’Océanie (19%). A noter que plus de la
moitié des entreprises interrogées affirme exporter dans plusieurs pays.
Mais quels sont les facteurs qui les poussent à exporter ? Pour 77% des
répondants, c’est le potentiel business du marché ciblé qui a le plus
d’influence. La forte croissance du pays et le pouvoir d’achat de ses
consommateurs arrivent en 2éme position (18%) et enfin, la facilité
d’accès du pays est le troisième critère mis en avant (5%).
Les principaux obstacles pour les PME
Près de 20% des répondants déclarent ne pas exporter à l’international
principalement par manque de clients à l’étranger (30%). Les coûts de
transport (23%) et la difficulté à identifier des partenaires fiables
(22%) constituent les deux principaux autres freins auxquels elles sont
confrontées. Enfin, 16% d’entre elles renoncent à exporter car les
procédures réglementaires et douanières sont souvent peu claires.
Une logistique des retours compliquée
Pour 54% des TPE/PME interrogées la livraison à l’international ne
semble pas être un défi difficile à relever mais elles sont 63% à
déclarer que la gestion des retours internationaux est beaucoup plus
compliquée à gérer. Parmi les principales raisons évoquées : le prix de
la réexpédition qui dégrade la marge du e-commerçant (40%), les
formalités douanières et administratives trop lourdes à supporter (30%),
la barrière de la langue (20%) qui peut entraver les démarches ou enfin
la multitude d’interlocuteurs (10%).
Pour plus de détails: https://www.boxtal.com/fr/fr/ressources/contenus/reussir-exportations
1 Etude réalisée avril 2018 auprès de 317 TPE/PME et
e-commerçants
Contacts
Meiji Communication
Sandra Laberenne, 06.43.19.13.88