GROUPE SEB : Ventes et informations financières du 1er trimestre 2017

Un 1^er trimestre très tonique

• Ventes : 1 527 M€, + 37 % et + 11,5 % à tcpc*
• Résultat Opérationnel d’Activité : 131 M€, + 40 % et + 34 % à tcpc*
• Dette financière nette : 1 902 M€, -117 M€ par rapport au 31
  décembre 2016

* tcpc : à taux de change et périmètre constants

ECULLY, France–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:

COMMENTAIRES GÉNÉRAUX SUR LES PERFORMANCES DU GROUPE

Dans un environnement mondial toujours marqué par de fortes tensions
géopolitiques et des incertitudes économiques, le Groupe SEB (Paris:SK)
a réalisé un début d’année très tonique.

Le chiffre d’affaires s’est établi à 1 527 M€, en hausse
de 37 %, incluant une croissance organique de 128 M€, soit 11,5
%, un effet devises positif de 9 M€ et un effet périmètre et
reclassement de 275 M€. Ce dernier comprend les ventes sur 3
mois d’EMSA (intégrée à partir du 1^er juillet 2016) et de
WMF, consolidée depuis le 1^er janvier 2017, pour
respectivement 24 M€ et 274 M€. Il intègre aussi un reclassement de 23
M€ de certaines dépenses marketing de Supor en diminution des ventes,
sans impact sur le Résultat Opérationnel d’Activité.

La croissance des ventes de 11,5 % à taux de change et périmètre
constants est nourrie par une très large majorité des grands pays
– en particulier la Chine, les Etats-Unis, la Turquie, la Russie ou
encore l’Allemagne – et par l’ensemble des lignes de produits. La
vitalité de l’activité est d’autant plus remarquable qu’elle doit être
mise en perspective de 3 années de progression soutenue ou forte au 1^er
trimestre (+ 6,2 % de croissance organique en 2014, + 9,4 % en 2015 et
+ 5,1 % en 2016).

Le Résultat Opérationnel d’Activité (ROPA) du 1^er
trimestre s’élève à 131 M€, contre 93 M€ à fin mars 2016. La
progression de 40 % est essentiellement à mettre au compte de la forte
croissance organique, la contribution d’EMSA et de WMF, de 20 M€, étant
réduite à 10 M€ par des écritures de première consolidation de WMF. Les
effets devises ont été négligeables sur la période.

La dette financière nette au 31 mars 2017 est de 1 902 M€,
en baisse de 117 M€ par rapport à fin 2016.

DÉTAIL DE L’ACTIVITÉ PAR ZONE GÉOGRAPHIQUE

**Reclassement de 23 M€ de frais marketing de Supor en minoration des
ventes neutralisé dans le calcul de la croissance à tcpc

VENTES PAR ZONE GÉOGRAPHIQUE

EMEA

EUROPE OCCIDENTALE

Dans un marché européen qui est resté globalement porteur, la croissance
organique des ventes du Groupe au 1^er trimestre s’est établie
à 3,5 %, s’inscrivant dans la continuité de la tendance positive de 2015
et 2016, malgré l’effet défavorable de la non-récurrence en ce début
2017 de programmes de fidélisation importants en 2016 (en France,
Allemagne, Espagne, Italie…). La performance diffère néanmoins selon les
pays.

En France, après 14 trimestres consécutifs de croissance, les ventes du
Groupe au 1^er trimestre ont été quasiment stables et en
progression hors programme de fidélisation. En repli en articles
culinaires, le chiffre d’affaires est en revanche en nette augmentation
en petit électroménager, avec de multiples vecteurs de croissance : les
aspirateurs, toujours, avec plus spécifiquement un lancement
encourageant du modèle Air Force 360, Cookeo… une belle reprise en soin
du linge – tant en fers qu’en générateurs ou en défroisseurs – et un
programme de fidélisation en soin de la personne.

En Allemagne, dans un marché dynamique, la progression à deux chiffres
des ventes repose notamment sur le développement de l’activité en
aspirateurs et en cafetières expresso automatiques. Aux Pays-Bas, nous
avons bénéficié d’un très bon début d’année, tiré par les articles
culinaires. En Espagne, notre chiffre d’affaires a progressé de façon
solide grâce aux excellentes performances enregistrées en aspirateurs et
en café en particulier. La dynamique a également été très forte au
Portugal. Au Royaume-Uni, malgré l’application d’augmentations de prix,
le Groupe a renoué au 1^er trimestre avec la croissance en
livres sterling, tirée par l’essor des ventes en ligne, par une campagne
promotionnelle en articles culinaires et par une reprise en café
portionné et en repassage. En Italie en revanche, les ventes sont en
repli du fait de la non-récurrence de certaines opérations spéciales
conduites début 2016 mais l’activité courante a progressé sous l’effet,
notamment, des avancées continues en aspirateurs. Au-delà de ces
facteurs de croissance organique, on soulignera que la consolidation
d’EMSA sur le 1^er trimestre impacte positivement les ventes
en Europe, en particulier en Allemagne.

AUTRES PAYS EMEA

Dans les autres pays d’EMEA, la bonne dynamique de 2016 s’est
poursuivie, alimentée, dans de nombreux pays, par des investissements
accrus en moyens moteurs, notamment dans les points de vente, et par la
montée en puissance du e-commerce. Le contexte reste porteur avec des
marchés globalement en forte croissance en Europe de l’Est et en Russie.
Dans cet environnement, la croissance organique, à près de + 8 %,
reflète une activité solide et de qualité dans les grands marchés du
Groupe, avec à la clé un renforcement de nos positions.

En Europe centrale, la demande est donc restée forte et notre
développement s’est poursuivi à un rythme rapide, en particulier en
République Tchèque, en Roumanie et en Bulgarie, s’accompagnant de gains
substantiels de parts de marché. L’activité a été en recul en Pologne en
raison d’un niveau de stock élevé dans la distribution. En Russie, la
croissance du chiffre d’affaires à parités et structure constantes est
restée au 1^er trimestre sur la dynamique de 2016, nourrie par
des progressions significatives en grills et barbecues, en soin du linge
et de la personne et par la relance, prometteuse, de l’activité
Entretien des sols (aspirateurs). En Turquie, nous avons réalisé de
belles performances, notamment en aspirateurs et en articles culinaires,
nous appuyant de plus en plus sur une fabrication locale et en
provenance de notre site industriel en Egypte, pour renforcer nos
positions sur le marché. Très vigoureuse en Egypte, l’activité a en
revanche été compliquée au Moyen-Orient et en Inde, où, pour des raisons
diverses, la consommation est sous pression.

AMERIQUES

AMERIQUE DU NORD

Après une année 2016 en demi-teinte, le chiffre d’affaires du Groupe a
enregistré au 1^er trimestre 2017 une progression de plus de
20 %, tirée en particulier par un fort rebond de l’activité aux
Etats-Unis. Celui-ci doit essentiellement être attribué à la mise en
place d’un assortiment de produits d’électrique culinaire (cafetières,
grille-pain, appareils à sandwichs…) Krups dans la grande distribution
et en e-commerce. Par ailleurs, All-Clad et Imusa ont réalisé une
croissance à deux chiffres tandis que Rowenta enregistrait une légère
croissance en soin du linge. L’activité de T-fal en articles culinaires
de cœur de gamme est en revanche restée en retrait dans un contexte
concurrentiel et promotionnel durci. On soulignera que la forte hausse
des ventes du Groupe aux USA au 1^er trimestre doit être mise
en perspective d’un historique 2016 faible et que l’environnement de la
distribution reste tendu, avec notamment des limitations de stocks et
d’importantes difficultés financières de certaines enseignes.

Au Canada, après deux années difficiles dans une conjoncture atone, le
Groupe a renoué avec la croissance, alimentée par une bonne reprise pour
Actifry, OptiGrill et les articles culinaires ainsi que par l’extension
de la distribution en soin du linge. Au Mexique, la progression des
ventes du 1^er trimestre avoisine 10 % en peso, portée
principalement par de belles performances en articles culinaires et en
blenders, dont le grand succès commercial a conduit à des ruptures de
stocks.

AMERIQUE DU SUD

Dopé par l’appréciation du real et du peso colombien par rapport au 1^er
trimestre 2016, le chiffre d’affaires publié du Groupe pour l’Amérique
du Sud au 1^er trimestre affiche une croissance voisine de 20
% mais la réalité du terrain se reflète dans la quasi-stabilité des
ventes à taux de change et périmètre constants.

Au Brésil, les ventes du Groupe en real ont été en léger repli, avec des
situations très contrastées selon les catégories de produits :
croissance à deux chiffres pour les ventilateurs, qui ont bénéficié
d’une météorologie adéquate ; poursuite d’une dynamique robuste en
machines à laver semi-automatiques ; ventes en nette reprise pour Dolce
Gusto… Le début d’année a en revanche été lent en préparation des
aliments et en repassage. La réorganisation industrielle suit son cours
et la production de petit électroménager se développe progressivement
sur le nouveau site d’Itatiaia dans l’état de Rio. Le transfert de la
production d’articles culinaires de São Bernardo vers Itatiaia
interviendra à partir de l’été.

En Colombie, les ventes du Groupe au 1^er trimestre se sont
inscrites en baisse à parités constantes, pénalisées, comme fin 2016,
par une météorologie très défavorable à l’activité de ventilateurs. A
l’inverse, les ventes d’articles culinaires et de blenders, notamment,
ont crû de façon soutenue, malgré l’impact négatif de la hausse de la
TVA mise en place en février. En Argentine, à l’instar de 2016,
l’activité a été très dynamique – dans un contexte politique encore
instable.

ASIE

CHINE

A l’instar de 2016, l’activité du Groupe en Chine a été excellente au 1^er
trimestre 2017. Avec une augmentation de ses ventes supérieure à 26 %,
Supor a une nouvelle fois largement surperformé le marché. En articles
culinaires, les vecteurs de croissance majeurs ont été les poêles et
casseroles ainsi que les « sets » (ensembles coordonnés d’articles) et
les ustensiles de cuisine, avec une dynamique toujours très vigoureuse
des bouteilles et mugs isothermes. En petit électroménager, la forte
progression est notamment liée au succès continu des cuiseurs à riz,
fondé sur le développement permanent de nouveaux modèles, à la poursuite
de la croissance en bouilloires et à de nouvelles avancées,
significatives, en blenders à grande vitesse et en slowcookers.
S’y ajoutent les progrès marqués réalisés en électrique non culinaire,
en particulier en purificateurs d’air et en défroisseurs. Tout comme
c’est le cas pour le marché, la vitalité de l’activité du Groupe en
Chine reste très majoritairement portée par la poursuite de l’essor du
e- et du m-commerce. Supor a au demeurant sensiblement amélioré sa part
de marché en ligne, grâce à l’innovation, la montée en gamme et des
campagnes digitales nombreuses et très visibles.

Il est à noter qu’en Chine, pour mieux refléter la nature de certaines
dépenses et assurer une complète cohérence de traitement avec les autres
entités du Groupe, il a été procédé à un changement de présentation
comptable qui consiste en un reclassement de 23 M€ de dépenses marketing
en diminution des ventes, sans impact sur le Résultat Opération
d’Activité.

AUTRES PAYS D’ASIE

Le repli de 3,6 % du chiffre d’affaires de la zone à parités et
structure constantes au 1^er trimestre reflète des situations
contrastées : les grands marchés matures ont poursuivi leur croissance,
sans pour autant compenser les baisses d’activité, parfois très
significatives, enregistrées dans les pays plus petits.

Ainsi, au Japon, les ventes du 1^er trimestre ont progressé de
l’ordre de 5 % en yen, portées surtout par le succès confirmé du Groupe
en bouilloires, par le développement accéléré des défroisseurs et par
l’introduction prometteuse sur le marché du multicuiseur Cook4me
(l’équivalent japonais du Cookeo). Les 25 magasins en propre du Groupe
et le e-commerce, ont été les principaux contributeurs à l’augmentation
des ventes. En Corée, la croissance organique de l’activité, supérieure
à celle du Japon, est à mettre au compte des articles culinaires, de la
préparation des aliments (mini-blenders, notamment) et du soin de la
personne. Par ailleurs, la dynamique est restée porteuse pour le Groupe
en Australie.

En revanche, après une fin d’année 2016 positive en Thaïlande et au
Vietnam, le chiffre d’affaires du 1^er trimestre est en recul
important en devises locales avec toutefois des perspectives plus
favorables au 2^e trimestre. De même, le Groupe enregistre un
repli de ses ventes à Hong Kong et Singapour du fait de la
non-récurrence d’importantes opérations de fidélisation.

WMF

Le chiffre d’affaires de WMF au 1^er trimestre 2017 a
progressé de 7 %.

Sur le segment professionnel, la croissance des ventes a été très
vigoureuse (+ 26 %), portée par les machines à café automatiques dont la
dynamique s’articule autour des nouveaux contrats signés en 2016,
notamment avec des clients au Canada et au Japon, mais également de
l’activité récurrente, qui a continué à se développer rapidement, tant
en Allemagne qu’en Europe centrale ou en Asie-Pacifique. En équipement
hôtelier, le chiffre d’affaires du trimestre s’est inscrit en baisse.

L’activité « Consumer » (Petit Equipement Domestique) est quant à elle
restée impactée par les effets de la réorganisation logistique mise en
œuvre en 2016, se matérialisant par un retrait des ventes de 8 %.
Concentrée sur les articles culinaires en Allemagne, cette problématique
est aujourd’hui sous contrôle et ses effets devraient maintenant
progressivement se dissiper. L’activité a en revanche progressé
fortement en Asie-Pacifique, tirée par un programme de fidélisation en
articles culinaires à Taiwan. En petit électroménager, les ventes sont
en nette hausse.

RÉSULTAT OPÉRATIONNEL D’ACTIVITÉ

A fin mars 2017, le Résultat Opérationnel d’Activité (ROPA) s’est élevé
à 131 M€, contre 93 M€ au 1^er trimestre 2016. La progression
de 40 % est essentiellement à mettre au compte de la forte croissance
organique, la contribution d’EMSA et de WMF, de 20 M€, étant réduite à
10 M€ par des écritures de première consolidation de WMF. Les effets
devises ont été négligeables sur la période.

DETTE AU 31 MARS 2017

L’endettement financier net au 31 mars 2017 s’élève à 1 902 M€, en
baisse de 117 M€ par rapport à fin décembre 2016. Cette amélioration
s’explique notamment par la bonne tenue du besoin en fonds de roulement.

PERSPECTIVES

Dans l’activité du Groupe SEB, le 1^er trimestre n’est pas
représentatif de l’ensemble de l’année et ne saurait donc être extrapolé
sur les mois à venir. La qualité des performances enregistrées à fin
mars est toutefois encourageante pour la suite.

A l’issue de ce 1^er trimestre, le Groupe SEB
confirme donc son double objectif de nouvelle croissance de ses ventes
et de son Résultat Opérationnel d’Activité en 2017, tant sur son
périmètre 2016 que dans sa configuration actuelle. Le Groupe confirme en
outre que la consolidation de WMF devrait être relutive de plus de 20 %
avant impact de l’allocation du prix d’acquisition* – sur le bénéfice
net par action dès 2017.

* En particulier réévaluation des stocks qui viendra exceptionnellement
minorer de 14 M€ les résultats publiés en 2017 et éventuel amortissement
d’actifs incorporels.

GLOSSAIRE

A taux de change et périmètre constants (à tcpc) – Organique

Les montants et les taux de croissance à taux de change et périmètre
constants (ou organiques) de l’année N par rapport à l’année N-1
sont calculés :

• en utilisant les taux de change moyens de l’année N-1 sur la période
  considérée (année, semestre, trimestres) ;
• sur la base du périmètre de consolidation de l’année N-1.

Cette pratique concerne essentiellement les ventes et le Résultat
Opérationnel d’Activité.

Résultat Opérationnel d’Activité (ROPA)

Le Résultat Opérationnel d’Activité (ROPA) est le principal indicateur
de performance du Groupe SEB. Il correspond aux ventes diminuées des
frais opérationnels, à savoir, du coût des ventes, des frais
d’innovation (R&D, marketing stratégique, design), de la publicité, de
marketing opérationnel et des frais commerciaux et administratifs.
L’intéressement et la participation, ainsi que les autres produits et
charges d’exploitation non courants en sont exclus.

EBITDA ajusté

L’EBITDA ajusté correspond au Résultat Opérationnel d’Activité diminué
de l’intéressement et de la participation, auquel on ajoute les
amortissements et les dépréciations opérationnels.

Endettement financier net (ou dette financière nette)

Sous cette terminologie, on entend l’ensemble des dettes financières
courantes et non courantes diminuées de la trésorerie et des équivalents
de trésorerie ainsi que des instruments dérivés liés au financement du
Groupe qui ont une échéance inférieure à un an et sont cessibles
facilement. L’endettement financier net s’entend également après
d’éventuels placements financiers à court terme sans risque de
changement de valeur significatif mais dont l’échéance à la date de
souscription est supérieure à 3 mois.

Trésorerie d’exploitation

La trésorerie d’exploitation correspond à la « trésorerie provenant de
l’exploitation » telle que présentée dans le tableau des flux de
trésorerie consolidés, retraitée des opérations non récurrentes ayant
impacté l’endettement net du Groupe (par exemple, les restructurations
décaissées) et après prise en compte des investissements récurrents
(CAPEX).

Ce communiqué de presse peut contenir des déclarations de nature
prévisionnelle concernant l’activité, les résultats et la situation
financière du Groupe SEB. Ces anticipations s’appuient sur des
hypothèses qui semblent raisonnables à ce stade mais sont dépendantes de
facteurs exogènes tels que l’évolution des cours des matières premières,
des parités monétaires, de la conjoncture économique et de la demande
dans les grands marchés du Groupe ou l’effet des lancements de nouveaux
produits par la concurrence.
Du fait de ces incertitudes, le
Groupe SEB ne peut être tenu responsable pour d’éventuels écarts par
rapport à ses anticipations actuelles qui seraient liés à la survenance
d’événements nouveaux ou d’évolutions non prévisibles.
Les
facteurs pouvant influencer de façon significative les résultats
économiques et financiers du Groupe SEB sont présentés dans le Rapport
Financier Annuel et Document de Référence déposé chaque année à l’AMF.
Le bilan et le compte de résultat inclus dans le présent communiqué de
presse sont extraits des états financiers consolidés au 31 décembre 2016
audités par les Commissaires aux comptes et arrêtés par le Conseil
d’Administration de SEB SA en date du 17 février 2017.

Retrouvez l’audiocast de la présentation sur notre site internet en
réécoute le 27 avril à partir de 21 h :
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Référence mondiale du Petit Equipement Domestique, le Groupe SEB
déploie son activité dans près de 150 pays en s’appuyant sur un ensemble
unique de marques de premier rang (Tefal, Rowenta, Moulinex, Krups,
Lagostina, All-Clad, WMF, Supor…), commercialisées à travers une
distribution multi format. Vendant quelque 250 millions de produits par
an, il met en œuvre une stratégie de long terme fondée sur l’innovation,
le développement international, la compétitivité et le service au
client. Le Groupe SEB emploie près de 32 900 collaborateurs dans le
monde.

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