La spasticité peut concerner les adultes souffrant d’un accident
vasculaire cérébral, d’un traumatisme crânien, d’une lésion médullaire,
d’une sclérose en plaques et d’une infirmité motrice cérébrale
PARIS–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:
Ipsen (Euronext : IPN ; ADR : IPSEY) a annoncé aujourd’hui que les
autorités réglementaires américaines (Food and Drug Administration,
FDA) ont étendu les indications autorisées de Dysport®
(abobotulinumtoxinA) Injection pour le traitement de la spasticité chez
l’adulte, au traitement de la spasticité des membres inférieurs (supplemental
Biologics License Application, sBLA). En juillet 2015, Dysport®
a obtenu une autorisation de mise sur le marché pour le traitement de la
spasticité des membres supérieurs chez l’adulte. En juillet 2016, Dysport®
a été autorisé pour le traitement de la spasticité des membres
inférieurs chez les enfants de deux ans et plus, devenant ainsi la seule
et unique toxine botulique autorisée par la FDA pour cette indication.
Dans une étude de phase III multicentrique, prospective, en
double-aveugle, randomisée versus placebo, les patients adultes traités
par Dysport®, victimes d’un accident vasculaire cérébral ou
d’un traumatisme crânien, ont présenté une amélioration du tonus
musculaire au niveau de l’articulation de la cheville, mesurée par la
différence moyenne sur l’échelle modifiée d’Ashworth (MAS) entre la
situation de base à l’inclusion et la semaine 4. Pour la majorité des
patients de l’étude, la durée de la réponse était comprise entre 12 et
16 semaines. Dans cette étude, certains patients ont présenté une durée
de réponse étendue (approximativement 20 semaines).
Le degré et le profil de spasticité musculaire et le bénéfice clinique
général au moment de la réinjection peuvent nécessiter de modifier la
dose de Dysport® et les muscles à injecter. La
réadministration de Dysport® doit être effectuée lorsque
l’effet de la précédente injection a diminué, mais pas moins de
12 semaines après la précédente injection.
La spasticité des membres inférieurs affecte la mobilité du patient.
Chez les adultes, environ un patient sur trois victime d’un AVC, un
patient sur trois victime d’une lésion médullaire, un patient sur six
victime d’un traumatisme crânien et deux patients sur trois atteints de
sclérose en plaques (MS) vont développer une spasticité des membres
inférieurs.1 Les patients adultes atteints d’infirmité
motrice cérébrale peuvent également fréquemment développer une
spasticité des membres inférieurs.1,2
« Les patients adultes atteints d’une spasticité liée à un AVC,
une sclérose en plaques, une infirmité motrice cérébrale ou un
traumatisme crânien disposent désormais d’une nouvelle option
thérapeutique pour les aider à réduire les effets de l’hypertonie
musculaire au niveau des membres inférieurs » a déclaré le
Docteur Alexandre Lebeaut, Vice-Président Exécutif, R&D, Chief
Scientific Officer, Ipsen.
Dysport® et tous les produits contenant de la toxine
botulique sont accompagnés d’une mise en garde (Boxed Warning) qui
stipule que les effets de la toxine botulique peuvent diffuser à partir
du point d’injection vers d’autres parties du corps, provoquant des
symptômes similaires à ceux du botulisme. Ces symptômes, tels que les
difficultés de déglutition et de respiration, peuvent mettre la vie du
patient en danger. Dysport® est contre-indiqué chez les
patients ayant une hypersensibilité connue à toute préparation à base de
toxine botulique ou à l’un des composants, en cas d’infection au niveau
du ou des sites d’injection proposés ou chez les patients allergiques
aux protéines du lait de vache. Les unités de Dysport® sont
spécifiques à la préparation et à la méthode de dosage utilisées. Elles
ne sont pas interchangeables avec d’autres préparations de la toxine
botulique. D’autres informations importantes concernant la sécurité sont
décrites ci-dessous.
« Dysport® est actuellement la seule
toxine botulique autorisée par la FDA pour le traitement de la
spasticité des membres supérieurs et inférieurs chez l’adulte et de la
spasticité des membres inférieurs chez les enfants de deux ans et plus, »
a déclaré Cynthia Schwalm, Vice-Président Exécutif et Président,
Opérations commerciales Amérique du Nord, Ipsen. « Nous sommes
fiers que Dysport® puisse être désormais
utilisé chez une nouvelle population de patients, notamment les adultes
souffrant de spasticité résultant d’un AVC, d’un traumatisme crânien,
d’une lésion médullaire, d’une sclérose en plaques ou d’une infirmité
motrice cérébrale, et qu’Ipsen puisse proposer des services de soutien
complets, notamment le programme d’assistance aux patients IPSEN CARES®
et la plate-forme de formation à l’injection C.L.I.M.B.®
pour les professionnels de santé. »
À propos de la spasticité
La spasticité est une pathologie qui se caractérise par une hypertonie
musculaire anormale ou une raideur dans un ou plusieurs muscles, qui
peut interférer avec les mouvements. La spasticité est généralement due
à des lésions des voies nerveuses dans le cerveau ou la moelle épinière,
qui contrôlent les mouvements musculaires ; elle peut être associée à
une infirmité motrice cérébrale, à une lésion médullaire, à une sclérose
en plaques, à un accident vasculaire cérébral ou à un traumatisme
crânien.3 Chez les adultes, environ un patient sur trois
victime d’un AVC, un patient sur trois victime d’une lésion médullaire,
un patient sur six victime d’un traumatisme crânien et deux patients sur
trois atteints de sclérose en plaques (MS) vont développer une
spasticité des membres inférieurs.1,2
La spasticité des membres inférieurs touche généralement les muscles du
complexe soléaire-gastrocnémien situés dans le mollet.4,5
Lors de la marche, ces muscles du mollet permettent de soulever le talon
du sol.4 Les symptômes de la spasticité peuvent
comprendre une hypertonie musculaire, des contractions musculaires
rapides, une exagération des réflexes tendineux et/ou des spasmes
musculaires. Le degré de spasticité peut aller d’une raideur musculaire
modérée à des spasmes musculaires sévères, douloureux et incontrôlables.3
À propos de l’étude de phase III
L’étude de phase III multicentrique, prospective, en double-aveugle,
randomisée versus placebo, dont Ipsen a été le promoteur, a évalué
l’efficacité et la tolérance de Dysport® pour le traitement
de la spasticité des membres inférieurs chez une population de
381 patients adultes (253 traités par Dysport® et 128
par placebo.) Les patients présentaient une spasticité des membres
inférieurs (score MAS >2 au niveau de l’articulation de la cheville
touchée pour les patients n’ayant jamais reçu de toxine botulique ou un
score MAS >3 au niveau de l’articulation de la cheville touchée pour les
patients traités par toxine au moins quatre mois depuis la dernière
injection de toxine botulique dans le membre inférieur affecté) et
avaient été victimes d’un AVC ou d’un traumatisme crânien il y a au
moins six mois.
Les patients ont été randomisés dans un groupe Dysport®
1 000 unités (N=125), Dysport® 1 500 unités (N=128)
ou placebo (N=128) administrés par injection intramusculaire dans les
muscles du complexe soléaire-gastrocnémien situés dans le mollet. Dans
l’étude, une injection a été effectuée dans au moins un autre muscle du
membre inférieur en fonction du tableau clinique. Ces muscles étaient
entre autres le muscle tibial postérieur, le long fléchisseur commun des
orteils et/ou le long fléchisseur du gros orteil.
Une amélioration de la différence moyenne du score MAS à été observée au
niveau de l’articulation de la cheville entre la situation de base à
l’inclusion et la semaine 4 [différence des moyennes des moindres carrés
par rapport au placebo : -0,5 pour le placebo, -0,6 pour Dysport®
1 000 unités6 et -0,8 pour Dysport® 1 500 unités
(p<0,05)].
L’étude a conclu que Dysport® 1 500 unités en injection
permettait d’obtenir une amélioration statistiquement significative du
tonus musculaire et de la spasticité au niveau de la cheville. Pour la
majorité des patients de l’étude, la durée de la réponse était comprise
entre 12 et 16 semaines. Dans cette étude, certains patients ont
présenté une durée de réponse étendue (approximativement 20 semaines).
Le degré et le profil de spasticité musculaire et le bénéfice clinique
général au moment de la réinjection peuvent nécessiter de modifier la
dose de Dysport® et les muscles à injecter. La
réadministration de Dysport® doit être effectuée lorsque
l’effet de la précédente injection a diminué, mais pas moins de
12 semaines après la précédente injection.
Les effets indésirables les plus fréquents (≥5 % et plus fréquents dans
les groupes Dysport® que dans le groupe placebo) chez les
adultes atteints de spasticité des membres inférieurs avec Dysport®
1 000 unités, Dysport® 1 500 unités et placebo, ont
été respectivement : les chutes (9 %, 6 %, 3 %), la faiblesse musculaire
(2 %,7 %, 3 %), les douleurs dans les extrémités (6 %, 6 %, 2 %). La
faiblesse musculaire a été signalée plus souvent chez les femmes (10 %)
traitées par Dysport® 1 500 unités que chez les hommes (5 %).
À propos de Dysport® (abobotulinumtoxinA)
Injection
Dysport® est une forme injectable de la toxine botulique de
type A (BoNT-A) qui est isolée et purifiée de la bactérie Clostridium
produisant la BoNT-A. Le produit est fourni sous forme de poudre
lyophilisée. Dysport® est autorisé aux États-Unis pour le
traitement de la dystonie cervicale (DC) chez l’adulte et pour le
traitement de la spasticité chez l’adulte. Dysport® est
également la seule et unique toxine botulique autorisée par la FDA pour
le traitement de la spasticité des membres inférieurs chez les enfants
de deux ans et plus.
La formation à l’injection C.L.I.M.B.® (Continuum
of Learning to Improve Management
with Botulinum Toxin) s’effectue par
le biais d’une plate-forme d’apprentissage continu à plusieurs niveaux
conçue pour former les médecins au traitement par la toxine botulique,
quelle que soit leur expérience en la matière. C.L.I.M.B.® peut
aider les médecins à améliorer leurs compétences cliniques en matière
d’utilisation appropriée de Dysport® aux Etats-Unis. Pour en
savoir plus, visitez le site www.Dysport.com.
À propos d’IPSEN CARES® aux Etats-Unis
IPSEN CARES® (Coverage, Access, Reimbursement, &
Education Support) est un programme conçu pour veiller à ce que les
patients, les professionnels et le personnel soignant disposent des
ressources nécessaires pour faciliter l’accès aux médicaments d’ Ipsen
indispensables au traitement de leurs pathologies. IPSEN CARES®
est composé d’experts qui peuvent être contactés du lundi au vendredi et
fournir un large éventail d’informations médicales, pédagogiques,
logistiques et de couverture concernant les médicaments Ipsen. IPSEN
CARES®, grâce à l’implication de l’ensemble du
personnel soignant entourant le patient au quotidien, peut se charger de
la vérification des prestations (recherche de la prise en charge du
patient en matière de prestations médicales ou pharmaceutiques) ; de
donner des informations avant l’autorisation ; de proposer un programme
d’assistance au patient (médicaments gratuits pour patients sans
assurance-maladie) ; de participer au paiement des programmes
d’assistance pour les patients éligibles ; d’aider à la facturation et à
la codification ; d’assurer la coordination avec les pharmacies
spécialisées. Pour plus d’informations, consultez le site (http://www.ipsencares.com).
INDICATIONS ET INFORMATIONS DE SECURITE IMPORTANTES (Etats-Unis)
INDICATIONS (Etats-Unis)
Dysport® (abobotulinumtoxinA) Injection est indiqué pour le
traitment de:
- La spasticité chez les patients adultes
- Les adultes présentant une dystonie cervicale
-
La spasticité des membres inférieurs chez l’enfant âgé de deux ans et
plus.
La tolérance et l’efficacité de Dysport® Injection dans des
muscles des membres supérieurs ou des muscles proximaux des membres
inférieurs pour le traitement de la spasticité chez l’enfant n’ont pas
été établies. La tolérance et l’efficacité chez les enfants de moins de
2 ans atteints de spasticité des membres inférieurs n’ont pas été
évaluées. La tolérance et l’efficacité chez les enfants atteints de
dystonie cervicale ou de spasticité des membres supérieurs n’ont pas été
établies.
INFORMATIONS DE SÉCURITÉ IMPORTANTES
Mise en garde : Diffusion à distance des effets de la toxine Des
rapports après commercialisation indiquent que les effets de Dysport®
et de tous les produits à base de toxine botulique peuvent diffuser
depuis la zone d’injection vers d’autres parties du corps, provoquant
des symptômes similaires à ceux du botulisme. Ces symptômes peuvent être
les suivants : asthénie, faiblesse musculaire généralisée, diplopie,
vision trouble, ptôse, dysphagie, dysphonie, dysarthrie, incontinence
urinaire et difficultés de respiration. Ces symptômes ont été observés
entre quelques heures et quelques semaines après l’injection. Les
difficultés de déglutition et de respiration peuvent mettre la vie du
patient en danger et certains cas de décès ont été rapportés. Le risque
d’ apparition de ces symptômes est probablement plus élevé chez les
enfants traités pour spasticité, mais peuvent également apparaître chez
des adultes traités pour une spasticité et d’autres pathologies, en
particulier chez les patients présentant des pathologies sous-jacentes
les prédisposant à de tels symptômes. Dans les utilisations non
autorisées, notamment la spasticité des membres supérieurs chez
l’enfant, et dans les indications approuvées, des cas de diffusion de
l’effet ont été signalés à des doses comparables à inférieures à la dose
totale maximale recommandée.
Contre-indications
Dysport® est contre-indiqué chez les patients ayant une hypersensibilité
connue à toute préparation à base de toxine botulique ou à l’un des
composants ; ou en cas d’infection au niveau du ou des sites d’injection
proposés ; ou chez les patients allergiques aux protéines du lait de
vache. Des réactions d’hypersensibilité, notamment une anaphylaxie, ont
été rapportées.
Mises en garde et précaution d’emploi
Absence d’interchangeabilité entre les produits à base de toxine
botulique
Les unités de Dysport® sont spécifiques à la préparation et à
la méthode de dosage utilisées. Elles ne sont pas interchangeables avec
d’autres préparations de toxine botulique ; par conséquent, des unités
d’activité biologique de Dysport® ne peuvent être comparées à
des unités de tout autre produit de toxine botulique, ou converties dans
ces unités, évaluées avec tout autre méthode de dosage spécifique.
Dysphagie et difficultés de respiration
Le traitement par Dysport® et les autres produits de toxine
botulique peut donner lieu à des difficultés de déglutition ou de
respiration. Les patients souffrant déjà de difficultés de déglutition
ou de respiration peuvent être plus exposés à ces complications. Dans la
plupart des cas, ces difficultés résultent de l’affaiblissement des
muscles dans la zone de l’injection ayant un rôle dans la respiration ou
la deglutition. En cas d’apparition d’effets indésirables distants,
d’autres muscles respiratoires peuvent être atteints (voir mise en
garde). Des décès résultant d’une complication de dysphagie sévère ont
été signalés après un traitement par toxine botulique. La dysphagie peut
durer plusieurs semaines et nécessiter l’utilisation d’une sonde
gastrique pour maintenir une alimentation et une hydratation adéquates.
Une pneumonie d’aspiration peut résulter d’une dysphagie sévère et
constitue un risque important lors du traitement de patients chez qui la
fonction de déglutition ou de respiration est déjà compromise. Les
patients traités par toxine botulique peuvent nécessiter une assistance
médicale immédiate en cas d’apparition de difficultés de déglutition,
d’élocution ou de respiration. Ces réactions peuvent survenir dans un
intervalle allant de quelques heures à quelques semaines suivant
l’injection de toxine botulique.
Troubles neuromusculaires pré-existants
Les individus atteints de maladies neuropathiques motrices
périphériques, de sclérose latérale amyotrophique ou de troubles de la
jonction neuromusculaire (par ex., myasthénie grave ou syndrome de
Lambert-Eaton) doivent être étroitement surveillés en cas
d’administration de toxine botulique. Les patients atteints de troubles
neuromusculaires peuvent présenter un risque accru d’effets cliniquement
significatifs, notamment dysphagie sévère et atteinte respiratoire, à
des doses classiques de Dysport®.
Albumine humaine et transmission de maladies virales
Le produit contient de l’albumine, un dérivé du sang humain. Compte tenu
des processus de sélection des donneurs et de fabrication des produits,
le risque de transmission de maladies virales et d’une variante de la
maladie de Creutzfeldt-Jakob (vCJD) est très faible. Il existe un risque
théorique de transmission de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (CJD), mais
si ce risque existait réellement, le risque de transmission serait
également considéré comme très faible. Aucun cas de transmission de
maladies virales, de CJD ou de vCJD n’a encore été identifié pour
l’albumine autorisée ou pour l’albumine contenue dans d’autres produits
autorisés.
Réaction immunitaire intradermique
La possibilité d’une réaction immunitaire en cas d’injection
intradermique n’est pas établie. La tolérance de Dysport®
pour le traitement de l’hyperhidrose n’a pas été établie. Dysport®
n’est autorisé qu’en injection intramusculaire.
Effets indésirables
Les effets indésirables les plus fréquents (≥2 % et plus fréquents dans
les groupes Dysport® que dans le groupe placebo) chez des
adultes atteints de spasticité des membres supérieurs pour Dysport®
500 unités, Dysport® 1 000 unités et placebo,
respectivement, étaient : rhinopharyngite (4%, 1%, 1%), infection
urinaire (3%, 1%, 2%), faiblesse musculaire (2%, 4%, 1%), douleur
musculosquelettique (3%, 2%, 2%), vertiges (3%, 1%, 1%), chutes (2%, 3%,
2%) et dépression (2%, 3%, 1%).
Les effets indésirables les plus fréquents (≥5 % et plus fréquents dans
les groupes Dysport® que dans le groupe placebo) présentés
par les adultes atteints de spasticité des membres inférieurs avec
Dysport® 1 000 unités, Dysport®
1 500 unités et placebo, respectivement, ont été : chutes (9 %, 6 %,
3 %), faiblesse musculaire (2 %,7 %, 3 %), douleurs dans les extrémités
(6 %, 6 %, 2 %). La faiblesse musculaire a été signalée plus souvent
chez les femmes (10 %) traitées par Dysport 1 500 unités que chez les
hommes (5 %).
Les effets indésirables les plus fréquents (≥5 % et plus fréquents que
dans le groupe placebo) chez les adultes atteints de dystonie cervicale
pour Dysport® 500 unités et placebo, étaient respectivement :
faiblesse musculaire (16%, 4%), dysphagie (15%, 4%), sécheresse buccale
(13%, 7%), gêne au site d’injection (13%, 8%), fatigue (12%, 10%), maux
de tête (11%, 9%), douleur musculosquelettique (7%, 3%), dysphonie (6%,
2%), douleur au site d’injection (5%, 4%) et troubles oculaires (7%, 2%).
Les effets indésirables les plus fréquents (≥10 % quel que soit le
groupe et plus fréquents dans le groupe placebo) chez les enfants
atteints de spasticité des membres inférieurs pour Dysport®
10 unités/kg, 15 unités/kg, 20 unités/kg ou 30 unités/kg et placebo, ont
été respectivement : infection des voies respiratoires supérieures (9%,
20%, 5%, 10%, 13%), rhinopharyngite (9%, 12%,16%, 10%, 5%), grippe (0%,
10%, 14%, 3%, 8%), pharyngite (5%, 0%,11%, 3%, 8%), toux (7%, 6%, 14%,
10%, 6%) et pyrexie (7%, 12%, 8%, 7%, 5%).
Interactions médicamenteuses
L’administration concomitante de Dysport® et
d’aminoglycosides ou d’autres agents interférant avec la transmission
neuromusculaire (par ex. agents de type curare) ou de myorelaxants, doit
faire l’objet d’une surveillance étroite en raison du renforcement
possible de l’effet de la toxine botulique. L’utilisation
d’anticholinergiques après l’administration de Dysport® peut renforcer
les effets anticholinergiques systémiques, tels que la vision trouble.
L’effet de l’administration de différentes neurotoxines botuliques
simultanément ou en l’espace de quelques mois est inconnu. Une faiblesse
musculaire excessive peut être exacerbée par une autre administration de
toxine botulique avant que les effets d’une précédente administration de
toxine botulique ne se soient estompés. Une faiblesse musculaire
excessive peut être également exagérée par l’administration d’un
myorelaxant avant ou après l’administration de Dysport®.
Utilisation chez la femme enceinte
Sur la base des études sur l’animal, Dysport® peut
représenter un danger pour le fœtus. Il n’existe pas d’études adéquates
et bien contrôlées chez des femmes enceintes. Dysport® ne doit être
utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice clinique potential est
évalué au regard du risque potentiel pour le fœtus.
Usage pédiatrique
Sur la base des études sur l’animal, Dysport® peut provoquer
une atrophie des muscles injectés et adjacents ; une baisse de la
croissance, de la longueur et de la teneur minérale des os ; une
maturation sexuelle retardée ; et une diminution de la fertilité.
Usage gériatrique
En général, les patients âgés doivent être surveillés pour évaluer leur
tolérance de Dysport®, en raison de la fréquence accrue de
maladie concomitante et d’autre traitement médicamenteux. Les sujets de
65 ans et plus traités par Dysport® pour une spasticité des
membres inférieurs font état d’un pourcentage plus élevé de chutes et
d’asthénie par rapport aux patients plus jeunes (10% versus 6% et 4%
versus 2%, respectivement).
Pour signaler TOUT EFFET INDÉSIRABLE SUSPECTÉ ou réclamation concernant
le produit aux Etats-Unis, contactez Ipsen au 1-855-463-5127. Vous
pouvez également signaler TOUT EFFET INDÉSIRABLE SUSPECTÉ aux Etats-Unis
à la FDA au 1-800-FDA-1088 ou www.fda.gov/medwatch.
Veuillez consulter la notice
complète incluant la mise en garde et le guide
d’administration de Dysport®
À propos d’Ipsen aux États-Unis
Ipsen Biopharmaceuticals, Inc. est la filiale aux États-Unis d’Ipsen,
groupe pharmaceutique de spécialité international. Le siège social aux
États-Unis est situé à Basking Ridge, New Jersey. Ipsen
Biopharmaceuticals Canada, Inc. est une business unit intégrée à
l’Amérique du Nord, dont le siège est situé à Mississauga, Ontario.
Ipsen Bioscience, Inc. est le centre de recherche et de développement
d’Ipsen aux États-Unis, spécialisé dans la recherche des peptides en
oncologie et en endocrinologie, situé à Cambridge, Massachusetts. Ipsen
Bioscience met l’accent sur l’organisation d’une R&D fortement
coopérative et focalisée, grâce à des partenariats, à l’innovation, et à
l’apprentissage continu pour apporter des nouveaux traitements aux
patients. Ipsen concentre ses ressources, ses investissements et son
énergie à découvrir, développer et commercialiser de nouvelles options
thérapeutiques en oncologie, en neurologie et en endocrinologie. Pour
plus d’informations sur Ipsen Amérique du nord, consultez www.ipsenus.com
ou www.ipsen.ca.
À propos d’Ipsen
Ipsen est un groupe pharmaceutique de spécialité international qui a
affiché en 2016 un chiffre d’affaires proche de 1,6 milliard d’euros.
Ipsen commercialise plus de 20 médicaments dans plus de 115 pays, avec
une présence commerciale directe dans plus de 30 pays. L’ambition
d’Ipsen est de devenir un leader dans le traitement des maladies
invalidantes.
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Publiques et Communication
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Amérique
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