ZURICH–(BUSINESS WIRE)–Think tank de premier ordre dans l’industrie de l’assurance
internationale, la Geneva Association a publié aujourd’hui un nouvel
outil intitulé The Stakeholder Landscape in Extreme Events and
Climate Risk Management. Cette carte illustre sous forme graphique
les tendances de participation des parties prenantes dans les
accords-cadres internationaux relatifs à la réduction des risques de
catastrophes, au changement climatique et au développement durable au
cours des cinq dernières décennies. Elle présente également le paysage
complexe des parties prenantes et des initiatives prises par de
multiples acteurs dans la gestion des événements extrêmes et des risques
climatiques au cours de la dernière décennie, et décrit les
développements majeurs des transferts de risques et de l’assurance. La
carte fournit au lecteur une vue d’ensemble des initiatives clefs en
cours, et sert d’introduction utile et concise sur les parties prenantes
dans la gestion des événements extrêmes et des risques climatiques au
niveau mondial.
Depuis les années 1950, l’ONU et ses institutions ont placé la réduction
des risques de catastrophes, le changement climatique et le
développement durable en haut du dialogue politique international. En
2015, plus de 190 États Membres ont adopté trois accords internationaux:
i. Le cadre d’action de Sendai pour la réduction des risques de
catastrophes (2015-2030) (Assemblée générale des Nations Unies, 2015a);
ii. L’Agenda 2030 pour le développement durable (Assemblée générale des
Nations Unies, 2015b); et,
iii. L’Accord de Paris (CCNUCC, 2015).
Ces processus ont profondément influencé la manière dont les questions
de réduction des risques de catastrophes, de changement climatique et de
développement durable ont été perçues et traitées par les gouvernements
nationaux au cours des cinq dernières décennies. La convergence de ces
initiatives en 2015 a apporté une nouvelle clarté et cohérence à la
situation mondiale, ouvrant un chemin plus précis au développement
mondial.
Les consultations et négociations internationales facilitées par l’ONU
ont rassemblé un vaste ensemble de parties prenantes dans ces processus.
En plus des accords internationaux, une variété d’initiatives
multilatérales ont été organisées par diverses parties prenantes des
secteurs public et privé aux niveaux international, régional, national
et local pour trouver de meilleurs moyens pour protéger les vies
humaines et les activités de subsistance, et réduire les pertes
économiques. La carte propose quatre catégories principales: (1)
optimisation des capacités de connaissance et d’évaluation des risques;
(2) promotion d’une approche intégrée pour la gestion des risques de
catastrophes et climatiques; (3) initiatives et innovation dans les
solutions de transfert de risques; et (4) faciliter des solutions (ou
mécanismes) de transfert de risques au secteur agricole.
Dr Maryam Golnaraghi, directrice du Extreme Events and Climate Risk
Programme de la Geneva Association, déclare: « Une gestion proactive et
intégrée des risques est la seule manière de réduire les impacts
socio-économiques causés par le changement climatique sur nos sociétés.
Malgré les progrès évidents, les accomplissements, l’engagement et les
initiatives connexes de multiples parties prenantes très actives, ces
domaines restent fragmentés. Le développement de pratiques intégrées,
durables et évolutives de gestion des risques nécessiteront des
partenariats stratégiques public-privé plus forts pour capitaliser sur
les atouts des parties prenantes, éviter les redondances et aligner les
priorités. »
Anna Maria D’Hulster, secrétaire générale de la Geneva Association,
ajoute: « Chacun des trois accords-cadres signés en 2015 a reconnu, de
manière explicite ou implicite, le rôle important de l’assurance pour
construire une résilience économique face aux événements extrêmes et aux
risques climatiques. En tant que plateforme clef entre l’industrie de
l’assurance et réassurance, et les autres parties prenantes
internationales concernées par ces accords, la Geneva Association joue
un rôle crucial en développant une expertise essentielle, en permettant
le dialogue et en assurant une coordination plus étroite entre les
acteurs des secteur privé et public qui traiteront les événements
extrêmes et les risques climatiques croissants. »
Consultez la carte des parties prenantes ici: https://goo.gl/Y6pxcT
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être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
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