PARIS–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:
Lafarge (Paris:LG):
CHIFFRES CLÉS DU DEUXIÈME TRIMESTRE*
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CHIFFRES CLÉS DU PREMIER SEMESTRE*
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* Les données sur base comparable sont calculées en neutralisant
l’impact des variations de périmètre et des taux de change
FAITS MARQUANTS DU GROUPE – 2ÈME TRIMESTRE
2015
-
Sur base comparable, les volumes de ciment ont reculé de 3 % au
deuxième trimestre sous l’effet d’une baisse des ventes à
l’exportation. Sur les marchés domestiques, ils sont en hausse de 2 %.
L’évolution favorable enregistrée sur de nombreux marchés, notamment
au Canada, en Roumanie, aux Philippines et dans plusieurs pays au
Moyen-Orient et en Afrique, ainsi que la montée en puissance de nos
usines au Rajasthan (en Inde) et en Russie ont contrebalancé l’impact
des conditions météorologiques défavorables aux États-Unis, de la
morosité des marchés en France et au Brésil, et de la situation en
Irak et en Syrie qui demeure difficile. -
L’EBITDA est en hausse de 1 % au deuxième trimestre, soutenu par
l’évolution favorable des taux de change (52 millions d’euros, soit
+6 %) qui a largement compensé l’impact des activités cédées
(-25 millions d’euros, soit -3 %). À périmètre et taux de change
constants, l’EBITDA s’est inscrit en baisse de 2 %, en raison de
volumes en retrait, des effets de l’inflation modérée mais continue
des coûts, et d’ajustements de prix dans quelques pays. Ces effets ont
atténué l’impact positif des mesures de réduction des coûts et
d’innovation mises en place par le Groupe qui ont permis de générer
respectivement 60 et 65 millions d’euros au cours du trimestre. Sur le
premier semestre, la contribution de ces mesures s’élève à 250
millions d’euros, en ligne avec notre objectif annuel pour 2015. -
Le résultat net part du Groupe ajusté au premier semestre est en
hausse de 57% (+ 66 millions d’euros) une fois retraité des éléments
non récurrents enregistrés principalement sur le deuxième trimestre.
Ces éléments non récurrents incluent notamment 450 millions d’euros de
dépréciations sur certains actifs devant être cédés à CRH au 3ème
trimestre. Comme indiqué dans nos comptes annuels, ces pertes seront
largement compensées par les gains sur les autres actifs inclus dans
la transaction. Ces gains ne peuvent toutefois être comptabilisés
qu’après la finalisation de ces désinvestissements qui devrait
intervenir au deuxième semestre. -
Le résultat net part du Groupe ajusté est en baisse de 11% (-27
millions d’euros) au deuxième trimestre, les effets de la baisse des
charges financières étant contrebalancés par l’augmentation des
provisions pour impôts. -
L’endettement net du Groupe s’établit à 10,3 milliards d’euros, ce qui
reflète les variations saisonnières habituelles du cash-flow et le
versement anticipé du dividende par rapport aux années antérieures
dans le contexte de la fusion. Le cash-flow opérationnel avant coûts
liés à la fusion a bénéficié de la baisse des charges financières au
deuxième trimestre et est en hausse de 17 % à 355 millions d’euros.
1 Ajusté des effets après impôts des dépréciations, des coûts
liés aux restructurations et à la fusion
PERSPECTIVES
Pour l’année 2015, le Groupe attend une croissance de la demande de
ciment. Compte tenu des tendances observées sur les volumes au premier
semestre, nous anticipons désormais une progression du marché comprise
entre 1 et 4 % en 2015 par rapport à 2014.
L’inflation des coûts devrait se maintenir mais à un rythme plus modéré
qu’en 2014, compte tenu de l’évolution des prix du pétrole. Ceci devrait
se traduire par des prix globalement en hausse. Le Groupe devrait
également bénéficier de taux de change plus favorables.
Le Groupe confirme son objectif de réaliser, à périmètre constant, 550
millions d’euros d’EBITDA additionnel en 2015, grâce à ses mesures de
réduction des coûts et d’innovation. Pour tenir compte de l’impact des
désinvestissements prévus dans le cadre de la fusion LafargeHolcim, cet
objectif aurait dû être réduit de 10 % environ.
Sur une base autonome, et sans lien avec la fusion, l’EBITDA 2015 estimé
par Lafarge se situerait environ 4% en dessous du bas de la fourchette
initiale comprise entre 3 et 3,2 milliards d’euros. A la suite de la
finalisation de la fusion avec Holcim, cet objectif sur base autonome
n’est plus pertinent car plusieurs éléments vont affecter les résultats
de Lafarge, notamment les désinvestissements requis et la montée en
puissance des synergies.
COMPTES CONSOLIDÉS AU 30 JUIN 2015
Le Conseil d’administration de Lafarge s’est réuni le 28 juillet 2015
sous la présidence d’Eric Olsen et a approuvé les comptes au 30 juin
2015. L’examen limité des comptes consolidés intermédiaires condensés de
Lafarge par les commissaires aux comptes a fait l’objet d’un rapport
figurant dans le Rapport financier semestriel.
Deuxième trimestre | Premier semestre | ||||||||||||||||
Variation | Variation | ||||||||||||||||
2015 | 2014 | Brut |
Sur base |
2015 | 2014 | Brut |
Sur base |
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Volumes | |||||||||||||||||
Ciment (millions de tonnes) | 29,7 | 31,1 | -4% | -3% | 54,7 | 57,0 | -4% | -3% | |||||||||
Granulats (millions de tonnes) | 43,2 | 43,0 | 1% | 1% | 69,7 | 69,9 | – | 1% | |||||||||
Béton prêt à l’emploi (millions m3) | 6,8 | 7,1 | -3% | -4% | 12,3 | 12,8 | -4% | -4% | |||||||||
Resultats (millions d’euros) | |||||||||||||||||
Chiffres d’affaires | 3 540 | 3 367 | 5% | – | 6 319 | 6 000 | 5% | – | |||||||||
EBITDA(1) | 820 | 812 | 1% | -2% | 1 223 | 1 155 | 6% | 2% | |||||||||
Marge d’EBITDA (%) | 23,2% | 24,1% | -90pb | -50pb | 19,4% | 19,3% | 10pb | 50pb | |||||||||
Résultat d’exploitation courant | 608 | 609 | – | -3% | 813 | 755 | 8% | 6% | |||||||||
Résultat net part du Groupe | – 381 | 205 | nm | – 477 | 70 | nm | |||||||||||
Résultat net part du Groupe ajusté (3) | 210 | 237 | -11% | 182 | 116 | 57% | |||||||||||
Résultat net ajusté par action (€) | 0,73 | 0,82 | -11% | 0,63 | 0,40 | 57% | |||||||||||
Cash-flow libre(1) | – 14 | – 37 | nm | – 155 | -160 | 3% | |||||||||||
Endettement net | 10 253 | 10 104 | 1% |
EBITDA (1) PAR RÉGION
(millions d’euros) | Deuxième trimestre | Premier semestre | |||||||||||||||
2015 | 2014 | Variation | 2015 | 2014 | Variation | ||||||||||||
Brut |
Sur base |
Brut |
Sur base |
||||||||||||||
Amérique du Nord | 214 | 177 | 21% | 7% | 170 | 115 | 48% | 36% | |||||||||
Europe occidentale | 96 | 107 | -10% | -11% | 153 | 146 | 5% | -7% | |||||||||
Europe centrale et de l’Est | 86 | 88 | -2% | 4% | 76 | 71 | 7% | 12% | |||||||||
Moyen-Orient et Afrique | 295 | 279 | 6% | 5% | 554 | 529 | 5% | 4% | |||||||||
Amérique latine | -6 | 35 | nm | nm | 14 | 73 | nm | nm | |||||||||
Asie | 135 | 126 | 7% | -5% | 256 | 221 | 16% | 1% | |||||||||
TOTAL | 820 | 812 | 1% | -2% | 1 223 | 1 155 | 6% | 2% |
(1) L’EBITDA se définit comme le résultat
d’exploitation courant avant dépréciation et amortissement des actifs
corporels et incorporels. Le Cash-flow libre se définit comme les flux
nets de trésorerie liés aux opérations d’exploitation des activités
poursuivies après déduction des investissements de maintien. Ces
indicateurs financiers sont des mesures non comptables.
(2) Calcul des variations sur base comparable:
Au niveau Groupe : à périmètre et taux de change constants
Au niveau régional : les variations sur base comparable sont à
périmètre et taux de change constants et excluent
– les ventes de crédit carbone (15 millions d’euros de crédits vendus
au premier trimestre 2015 vs. aucune vente au premier trimestre 2014 en
Europe occidentale)
– un impact de -23 millions d’euros dû à la baisse des volumes en
Irak liée aux difficultés logistiques de transport du ciment.
(3) Ajusté des dépréciations d’actifs, des
frais de restructuration et des coûts liés à la fusion, après impôts
EVOLUTION DES VENTES ET RÉSULTATS FINANCIERS
Les volumes de ciment ont baissé de 3 % à périmètre constant sur le
trimestre sous l’effet d’une baisse des ventes à l’exportation. Sur les
marchés domestiques, les volumes sont globalement en hausse de 2 %,
reflétant des tendances contrastées sur nos marchés. Les volumes ont été
soutenus par les bonnes tendances sur de nombreux marchés tels que la
Roumanie, les Philippines, l’Egypte ou le Canada tandis que les
conditions météorologiques défavorables ont limité la croissance aux
États-Unis. Certains marchés ont été confrontés à des conditions
économiques ou à des situations politiques plus difficiles, notamment en
France, où le secteur de la construction est resté morose, au Brésil où
l’environnement demeure globalement difficile, en Irak où le transport
de ciment à travers le pays est compliqué depuis juin 2014, et en Syrie.
Nos ventes de granulats se sont inscrites en progression de 1 % en
volume au deuxième trimestre, l’évolution positive observée en Amérique
du Nord ayant largement compensé la morosité du marché français. Nos
ventes de béton prêt à l’emploi sont en retrait de 4%, principalement
sous l’effet de la baisse d’activité enregistrée en France, en Pologne
et au Brésil.
Le chiffre d’affaires consolidé est stable au deuxième trimestre à
périmètre et taux de change constants. L’impact favorable des taux de
change s’est poursuivi sur le deuxième trimestre (249 millions d’euros,
soit +8 %) tandis que l’effet négatif des désinvestissements, notamment
en Equateur, en Russie et au Pakistan, sur notre chiffre d’affaires est
de -3 % sur le trimestre (-75 millions d’euros).
L’EBITDA est en amélioration de 1 % au deuxième trimestre, soutenu par
des effets de change favorables (impact positif de 52 millions d’euros
soit +6 %) qui ont atténué les effets négatifs des changements de
périmètre (-25 millions d’euros soit -3 %). À périmètre et taux de
change constants, l’EBITDA s’inscrit en baisse de 2 %, avec des
tendances contrastées sur les principaux marchés où nous sommes
présents. Malgré une croissance limitée aux États-Unis en raison des
conditions météorologiques défavorables, l’Amérique du Nord a enregistré
un nouveau trimestre en croissance solide, soutenue par l’augmentation
des volumes au Canada, les bonnes tendances sur les prix aux États-Unis
et les mesures de réduction des coûts et d’innovation mises en œuvre.
L’Europe occidentale a été pénalisée par la morosité du marché français,
également confronté à une base de comparaison défavorable au deuxième
trimestre 2014, tandis que l’Espagne a confirmé l’amélioration
progressive amorcée en 2014. En Grèce, l’incertitude croissante autour
des perspectives économiques n’a pas encore fait ressentir ses effets
sur le marché, et les volumes se sont inscrits en hausse sur le
trimestre. La région Moyen-Orient et Afrique a enregistré une
performance soutenue, la plupart des pays affichant des tendances
positives. Après retraitement de l’impact de la baisse des volumes en
Irak, et malgré l’effet négatif au deuxième trimestre du Ramadan qui a
démarré une dizaine de jours plus tôt par rapport à 2014, l’EBITDA de la
région ressort en progression de 5 % sur base comparable, et la marge
brute d’exploitation augmente de 180 points de base. Cette évolution
reflète la bonne tendance des volumes et les mesures de réduction de
coûts et d’innovation. L’Amérique latine, qui comprend désormais
uniquement le Brésil, a souffert des conditions économiques difficiles
et de l’environnement concurrentiel qui prévalent actuellement dans ce
pays. Enfin, l’Asie a été globalement affectée par l’inflation des coûts
et des prix en baisse. Toutefois, cette évolution défavorable a été
atténuée par la bonne orientation des volumes aux Philippines et par le
résultat des mesures de réduction des coûts et d’innovation mises en
œuvre par le Groupe. Globalement, la marge brute d’exploitation du
Groupe a connu une légère baisse (-50 points de base) sur le trimestre,
mais elle est en hausse de 50 points de base sur le premier semestre.
Cette amélioration est liée principalement aux mesures de réduction des
coûts et d’innovation qui ont largement compensé l’impact de l’inflation
des coûts et de la baisse des volumes. Les prix du ciment sont
globalement en baisse de 0,5 % par rapport au deuxième trimestre 2014,
mais ont augmenté de 0,5 % par rapport au premier trimestre 2015.
La contribution au résultat net de nos joint-ventures et des entreprises
associées est restée stable sur le trimestre à 41 millions d’euros, la
forte amélioration enregistrée par nos joint-ventures au Nigéria et au
Royaume-Uni ayant été atténuée par l’effet de conditions de marché plus
difficiles en Chine.
Comme indiqué, le résultat net part du Groupe au deuxième trimestre a
été pénalisé par des éléments non récurrents liés à la création de
LafargeHolcim, opération finalisée le 10 juillet à la suite du succès de
l’offre d’échange. Ces éléments non récurrents comprennent notamment 450
millions d’euros de dépréciations sur certains actifs devant être cédés
à CRH au troisième trimestre. Comme indiqué dans nos comptes annuels
2014, ces pertes seront plus que compensées par des gains attendus sur
d’autres actifs faisant partie de la transaction ainsi que par la
cristallisation de gains de change, l’ensemble de ces gains ne pouvant
toutefois être comptabilisé qu’une fois la transaction réalisée. Le
Groupe a comptabilisé 94 millions d’euros de coûts avant impôts liés à
la fusion au deuxième trimestre, les charges de restructuration non
récurrentes, liées principalement à des mesures de réorganisation de nos
opérations en France, s’élevant à 51 millions d’euros, contre 32
millions d’euros au deuxième trimestre 2014.
Hors éléments non récurrents (effet après impôts des dépréciations
d’actifs, des charges de restructuration et des coûts de fusion), le
résultat net part du Groupe s’élève à 210 millions d’euros au deuxième
trimestre, en baisse de 27 millions d’euros sur un an, l’effet de la
baisse des charges financières étant contrebalancé par l’augmentation
des provisions pour impôts (40 millions d’euros). Le résultat net part
du Groupe ajusté a augmenté de 57 % au premier semestre à 182 millions
d’euros.
ENDETTEMENT NET, DÉSINVESTISSEMENTS ET INVESTISSEMENTS
Le montant perçu par Lafarge au titre des désinvestissements s’élève à
232 millions d’euros sur le trimestre, et reflète principalement le
produit des cessions d’actifs effectuées au Pakistan.
Le montant total des investissements s’est élevé à 262 millions d’euros
pour le trimestre.
-
Les investissements de maintien sont restés limités à 82 millions
d’euros, contre 67 millions d’euros au deuxième trimestre 2014. -
Les investissements de développement se sont élevés à 180 millions
d’euros au deuxième trimestre 2015, un montant qui comprend
principalement les investissements réalisés dans nos projets en
Amérique du Nord (Exshaw au Canada et Ravena aux Etats-Unis), et en
Algérie, ainsi qu’une série d’opérations de « dégoulottage »,
notamment aux Philippines.
L’endettement net du Groupe n’a que faiblement augmenté (149 millions
d’euros par rapport à la fin du deuxième trimestre 2014), malgré
l’impact du décalage du paiement du dividende Lafarge SA (368 millions
d’euros) à début mai, en amont du lancement de l’offre d’échange liée à
la fusion avec Holcim, au lieu de juillet les années précédentes. Il
s’inscrit en légère hausse par rapport au 31 décembre 2014, ce qui
reflète la variation saisonnière traditionnelle du besoin en fonds de
roulement.
FUSION ENTRE ÉGAUX POUR CRÉER LAFARGEHOLCIM
Lafarge et Holcim ont annoncé le 7 avril 2014 leur intention de
rapprocher les deux sociétés dans le cadre d’une fusion entre égaux,
pour donner naissance à LafargeHolcim, un Groupe à la pointe de
l’innovation et à l’avant-garde de l’industrie des matériaux de
construction, présent dans 90 pays et disposant d’un fort potentiel de
création de valeur pour toutes ses parties prenantes.
Depuis, les deux Groupes ont fait les annonces suivantes :
-
Le 28 octobre 2014, Lafarge et Holcim ont annoncé avoir formellement
notifié auprès des autorités de la concurrence dans tous les pays où
cela était nécessaire. Le 15 décembre 2014, les deux Groupes ont
obtenu l’autorisation de l’Union européenne sur leur projet de fusion. -
Le 23 décembre 2014, Lafarge et Holcim ont dévoilé la composition du
Comité exécutif du futur Groupe. -
Le 2 février 2015, Lafarge et Holcim ont annoncé être entrés en
négociations exclusives avec CRH sur la base d’un engagement ferme
pour céder un certain nombre d’actifs. -
Le 20 mars 2015, Lafarge et Holcim ont annoncé avoir conclu un accord
révisant certains termes du projet de fusion entre égaux des deux
sociétés, dont : - Une nouvelle parité d’échange ;
-
Wolfgang Reitzle et Bruno Lafont deviennent Co-présidents non
exécutifs du Conseil d’administration ; -
Un nouveau Directeur général du futur Groupe proposé par le Conseil
d’administration de Lafarge et accepté par le Conseil d’administration
de Holcim. -
Le 9 avril 2015, en application des termes révisés de leur projet de
fusion, Lafarge et Holcim ont nommé Eric Olsen, Directeur général
adjoint Opérations de Lafarge, futur CEO de LafargeHolcim. -
Le 14 avril 2015, Lafarge et Holcim ont annoncé la nomination du futur
Conseil d’administration de LafargeHolcim. -
En avril 2015, les deux Groupes ont annoncé d’une part la cession d’un
ensemble d’actifs en Inde et aux Etats-Unis et d’autre part
l’approbation par la Commission européenne de CRH comme acquéreur de
leurs actifs devant être cédés dans l’Union européenne. -
Le 1er juin 2015, Holcim a lancé son offre d’échange pour
acquérir plus de deux tiers des actions Lafarge. Le succès de cette
offre a été annoncé le 9 juillet, avec 87,5% des actions apportées à
l’offre. La fusion a été finalisée le 10 juillet et LafargeHolcim a
remplacé Lafarge le 13 juillet dans l’indice Euronext CAC 40. L’offre
d’échange a été ré-ouverte le 15 juillet 2015 et toutes les
informations sur celle-ci sont disponibles sur le site Lafarge : http://www.lafarge.com/fr/projet-fusion
CHANGEMENT DE COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LAFARGE S.A.
Ayant été nommés administrateurs de LafargeHolcim à partir de la
finalisation du projet de fusion, MM. P. Dauman, P. Desmarais jr. et N.
Sawiris ont décidé de démissionner du Conseil d’Administration de
Lafarge S.A. à l’issue de la réunion du 28 juillet 2015. Le Conseil
d’Administration de Lafarge a accepté leur démission. Le Conseil
d’administration de Lafarge S.A. sera désormais composé de 15 membres.
Des informations plus complètes peuvent être obtenues sur le site
Internet de Lafarge : www.lafarge.com
(section « Gouvernement d’entreprise »).
INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES
La présentation des résultats auprès des analystes ainsi que le rapport
financier semestriel, qui comprend le rapport d’activité et les comptes
consolidés intermédiaires condensés, sont disponibles sur le site
Lafarge : www.lafarge.com
Informations pratiques :
Une conférence téléphonique pour les analystes se tiendra le 29 juillet
2015 à 10h CEST. Elle sera animée par Eric Olsen, Directeur général de
LafargeHolcim, Thomas Aebischer, Directeur financier de LafargeHolcim et
Jean-Jacques Gauthier, Directeur Intégration, Organisation et Ressources
Humaines de LafargeHolcim et Directeur financier de Lafarge SA. La
présentation se tiendra en anglais. Des supports visuels sont
téléchargeables à partir du site de LafargeHolcim www.lafargeholcim.com.
Vous trouverez ci-dessous les détails pour vous connecter. Afin de
respecter l’horaire de début de la conférence téléphonique, merci de
vous connecter 10-15 minutes avant.
– Depuis l’Europe : +41 58 310 50 00
– Depuis le Royaume-Uni : +44 203 059 58 62
– Depuis les Etats-Unis : +1 631 570 56 13
INFORMATIONS GÉNÉRALES
Des informations plus complètes sur Lafarge, une société du Groupe
LafargeHolcim, peuvent être obtenues sur son site internet : www.lafarge.com
Avertissement important – déclarations prospectives :
Ce document contient des déclarations prospectives, des tendances,
cibles ou objectifs selon le cas. Elles ne sauraient être regardées
comme des prévisions de résultat ou de tout autre indicateur de
performance. Elles portent notamment sur des plans, initiatives,
événements, produits, solutions et services, leur développement et leur
potentiel. Bien que Lafarge estime que ces déclarations prospectives
reposent sur des hypothèses raisonnables à la date de publication du
présent document, les investisseurs sont alertés sur le fait qu’elles ne
constituent pas des garanties quant à la performance future. Les
résultats effectifs peuvent être très différents des déclarations
prospectives en raison d’un certain nombre de risques et d’incertitudes,
dont la plupart sont difficilement prévisibles et généralement en dehors
du contrôle de Lafarge, et notamment les risques décrits dans le
Document de Référence de Lafarge disponible sur son site Internet (www.lafarge.com)
et les incertitudes liées aux conditions de marché et à la mise en œuvre
de nos plans. Aucune information contenue dans ce document n’est ou ne
doit être interprétée comme une promesse ou une garantie quant à la
performance future de Lafarge. En conséquence, toute précaution doit
être prise dans l’utilisation de ces déclarations prospectives. Lafarge
ne prend aucun engagement quant à la mise à jour de ces déclarations
prospectives.
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notamment à la page « Information réglementée ».
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