Le groupe Adani, premier conglomérat indien d’entreprises intégrées, a publié une déclaration à l’intention des médias contre le Financial Times, qui a publié à plusieurs reprises des articles diffamatoires à son encontre.
Ayant échoué dans des tentatives précédentes, le Financial Times recycle cette fois-ci une accusation non fondée vieille de sept ans. Cette accusation est en effet basée sur un document qui répertorie 40 entités indiennes importatrices de charbon, dont Adani, pour une surfacturation des importations de charbon. Les 40 noms incluent tous les principaux producteurs d’énergie indiens. Cependant, le Financial Times cible délibérément Adani. Cela ressort clairement d’un grand nombre de questions posées par l’un de ses reporters cherchant des réponses du groupe.
Le Financial Times a lancé sa campagne calomnieuse en mars 2023. En effet, le journal a publié une histoire incorrecte sur le financement du groupe Adani. Cette publication a semé la confusion parmi les investisseurs et répandu de fausses informations sur les marchés, portant ainsi atteinte à la crédibilité du groupe. Au cours des neuf derniers mois, le Financial Times a publié plus de 20 articles ainsi qu’une vidéo pour donner plus de crédit aux informations fausses et infondées qu’il avait préalablement propagées. Ce n’est pas un hasard si de telles histoires sont publiées juste avant des audiences importantes.
La prochaine audience de la Cour suprême dans l’affaire Adani-Hindenburg est programmée pour le 13 octobre 2023. Le dernier article du FT, intitulé « Secret Paper trail reveals Adani’s hidden investors », a été publié à un moment stratégique, juste avant la dernière audience du tribunal en août 2023.
Adani Group a publié la déclaration suivante le 9 octobre 2023 :
« Le Financial Times et ses collaborateurs tentent de nouveau de ressasser de vieilles allégations sans fondement pour ternir le nom et la réputation du groupe Adani. Cela fait partie de leur vaste campagne pour promouvoir les intérêts acquis sous couvert d’intérêt public. »
Poursuivant leur campagne acharnée, la prochaine attaque est menée par Dan McCrum du Financial Times, qui, conjointement avec l’OCCRP, a publié un faux récit contre le groupe Adani le 31 août 2023. L’OCCRP est financé par George Soros, qui a ouvertement déclaré son hostilité envers le groupe Adani.
Ayant échoué précédemment, le Financial Times fait une nouvelle tentative pour déstabiliser financièrement le groupe Adani en faisant ressortir des tiroirs une vieille et infondée allégation de surfacturation des importations de charbon. L’histoire racontée par le Financial Times est basée sur la Circulaire d’alerte générale No.11/2016/CI de la DRI en date du 30 mars 2016. L’agenda effronté du Financial Times est exposé par le fait qu’ils ont ciblé spécifiquement le groupe Adani, alors que la Circulaire de la DRI, la raison d’être de toute l’histoire, mentionne jusqu’à 40 importateurs, y compris les entreprises du groupe Adani. Cette liste inclut non seulement certains des principaux producteurs d’énergie privés de l’Inde tels que Reliance Infra, JSW Steels et Essar, mais aussi les entreprises publiques de production d’électricité des États de Karnataka, Gujarat, Haryana, Tamil Nadu, etc., ainsi que la NTPC et la MSTC.
Il est à noter que, dans le cas de Knowledge Infrastructure, l’un des 40 importateurs mentionnés dans la Circulaire d’Alerte Générale, l’Avis de Motif de la DRI alléguant une surévaluation dans l’importation de charbon a été annulé par le tribunal d’appel (CESTAT). De plus, l’appel de la DRI a été retiré par la Cour Suprême de l’Inde le 24 janvier 2023 avec l’observation selon laquelle « nous apprécions la position prise par le gouvernement de ne pas s’engager dans des litiges futiles. » Il est donc clair que la question de la surévaluation dans l’importation de charbon a été définitivement réglée par la plus haute cour de justice de l’Inde.
Le scénario proposé par le Financial Times est un recyclage astucieux et une représentation sélective de faits et d’informations publiquement disponibles avec une suppression délibérée et malveillante des décisions judiciaires pour parvenir à une conclusion prédéterminée. Il témoigne d’un manque de respect flagrant envers les processus et les autorités réglementaires et judiciaires de l’Inde. Il ignore également délibérément le fait que l’approvisionnement en charbon en Inde, sur la base d’un approvisionnement à long terme, se fait par le biais d’un processus d’appel d’offres mondial ouvert et transparent, éliminant ainsi toute possibilité de manipulation des prix. La fixation des tarifs par la Central Electricity Regulatory Commission (CERC) est un processus ouvert, transparent et indépendant où les tarifs sont fixés après une évaluation minutieuse de toutes les variables et en consultation avec le producteur d’électricité, le distributeur et les consommateurs de détail. Ainsi, les multiples parties prenantes ont de multiples occasions d’examiner tous les aspects déterminant les tarifs, y compris la valeur à l’importation du charbon. Par conséquent, la question de la surfacturation ou de la manipulation des prix n’a pas lieu d’être.
Il est regrettable que certaines entités étrangères telles que l’OCCRP, soutenues par une partie des médias étrangers, des vendeurs à découvert et des collaborateurs nationaux, aient lancé une série d’attaques contre le groupe Adani dans le but d’affecter sa valeur boursière. En fait, ces individus et groupes, animés par l’objectif commun de nuire au groupe Adani, ont élaboré un plan qui est mis en œuvre à la perfection par une machinerie bien huilée et professionnelle travaillant en harmonie à la fois en Inde et à l’étranger.
Ce n’est pas une simple coïncidence si ces histoires ont la curieuse habitude de paraître juste avant les audiences d’affaires importantes devant les tribunaux indiens.
Non seulement, nous nions toutes ces allégations, qui sont fausses et sans fondement, mais nous condamnons aussi ces tentatives délibérées et motivées de déstabiliser le groupe Adani. Nous sommes une entreprise respectueuse de la loi qui se conforme sans réserve à toutes les règles, réglementations et exigences de divulgation dans le plein respect de la primauté du droit. »
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