Les résultats de l’essai clinique ont été présentés dans le New
England Journal of Medicine et un symposium leur a été consacrés lors
des 77e sessions scientifiques de l’American
Diabetes Association.
BEERSE, Belgique–(BUSINESS WIRE)–Janssen-Cilag International SA annonce aujourd’hui les résultats du
programme CANVAS, qui montrent que l’intégration de l’INVOKANA® (canagliflozine)
au protocole de traitement réduit significativement (14 %) le risque
cumulé de décès, d’infarctus du myocarde non fatal ou d’AVC non fatal
par rapport au placebo chez les patients atteints d’un diabète sucré de
type 2 (DST2) présentant un risque ou des antécédents de maladies
cardiovasculaires. Les résultats montrent également qu’un traitement à
la canagliflozine est associé à une réduction du risque
d’hospitalisation pour insuffisance cardiaque et potentiellement à une
protection rénale. Ces données issues de l’analyse intégrée des essais
CANVAS et CANVAS-R ont été publiées dans le New
England Journal of Medicine et un symposium leur a été consacré lors
des 77e sessions scientifiques de l’American Diabetes
Association, ce lundi 12 juin à San Diego, en Californie.
La canagliflozine a ici été étudiée dans le cadre de l’un des plus
vastes programmes sur les maladies cardiovasculaires étudiant un
inhibiteur du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (SGLT2) mené à ce
jour. Le programme CANVAS est le premier à étudier l’efficacité et la
sécurité à long terme de la canagliflozine chez plus de 10 000 patients
atteints d’un DST2 et présentant soit des antécédents de maladies
cardiovasculaires soit au moins deux facteurs de risque
cardiovasculaires.
L’International Diabetes Federation estime qu’en 2015, plus de
59 millions de personnes vivaient avec un diabète en Europe1. Lorsqu’il
n’est pas correctement pris en charge, un DST2 peut à long terme
conduire à de graves complications microvasculaires et macrovasculaires.
La canagliflozine permet d’obtenir une réduction de 14 % du risque pour
le critère composite principal de l’essai, c’est-à-dire un décès lié à
une maladie cardiovasculaire, un infarctus du myocarde non fatal ou un
AVC non fatal (risque relatif RR : 0,86 ; intervalle de confiance IC à
95 % : 0,75 – 0,97) et démontre une amélioration du profil de sécurité
cardiovasculaire par rapport au placebo (p < 0,0001 pour la
non-infériorité) ainsi qu’une supériorité par rapport au placebo (p =
0,0158). Chaque composante du critère composite occupe une place plus ou
moins équivalente dans cette réduction, soit 15 % pour l’infarctus du
myocarde non fatal (RR : 0,85 ; IC à 95 % : 0,69 – 1,05), 13 % pour le
décès lié à une maladie cardiovasculaire (RR : 0,87 ; IC à 95 % : 0,72 –
1,06) et 10 % pour l’AVC non fatal (RR : 0,90 ; IC à 95 % : 0,71 –
1,15). Ces résultats se sont montrés globalement uniformes pour divers
sous-groupes de patients ainsi que pour chaque composante du critère
composite principal2.
Il apparaît également que la canagliflozine réduit le risque
d’hospitalisation pour insuffisance cardiaque de 33 % (RR : 0,67 ; IC à
95 % : 0,52 à 0,87) et possède une incidence positive et durable pour la
régulation de la glycémie et de la tension artérielle, ainsi que pour la
réduction durable du poids chez un grand nombre de patients2.
La canagliflozine montre par ailleurs un potentiel de protection rénale,
en retardant la progression de l’albuminurie et en réduisant de 40 % le
risque de complications rénales graves (par exemple, réduction du taux
estimé de filtration glomérulaire (eGFR), des décès liés à une maladie
rénale ou de la nécessité d’un traitement rénal de substitution) (RR :
0,60 ; IC à 95 % : 0,47 – 0,77). L’essai CREDENCE, centré
sur les incidences de la canagliflozine dans les pathologies rénales et
cardiovasculaires, est par ailleurs actuellement en cours et est le
premier consacré à l’étude d’un inhibiteur du SGLT2 rénal chez des
patients atteints d’un DST2 et d’une pathologie rénale.
« Les patients diabétiques présentent un risque deux à quatre fois
plus élevé de développer des comorbidités telles que l’insuffisance
cardiaque et des pathologies rénales, et les résultats du programme
CANVAS démontrent le potentiel de la canagliflozine afin de réduire le
risque de développement de ces pathologies chez les patients à haut
risque atteints d’un diabète de type 2 », explique David
Matthews, coprésident du comité de pilotage CANVAS, et professeur de
diabétologie et médecin-conseil honoraire à l’université d’Oxford. « Ces
données sont prometteuses puisqu’elles suggèrent que la canagliflozine
pourrait potentiellement aider les patients atteints d’un diabète de
type 2 qui souffrent également de complications telles que
l’insuffisance cardiaque ou les pathologies rénales, ou présentent un
risque de développer de tels troubles ».
Les effets indésirables globalement observés dans le cadre du programme
CANVAS concordent avec les résultats antérieurs. Un risque accru
d’amputation a été observé avec la canagliflozine, tant pour l’essai
CANVAS finalisé que pour l’essai CANVAS-R. Ceci concorde également avec
les observations formulées en 2016 par le Comité de surveillance
indépendant de l’étude et avec les données communiquées aux autorités du
secteur de la santé ainsi qu’aux professionnels
de la santé. Un risque accru d’amputation est observé (6,3 contre
3,4/1 000 par année-patient), qui correspond à un risque relatif (RR) de
1,97. Le risque absolu d’amputation le plus élevé a été observé chez les
patients présentant des antécédents d’amputation ou de maladie
artérielle périphérique, mais le risque relatif d’amputation avec la
canagliflozine était comparable au travers de ces sous-groupes. Un
avertissement concernant le risque potentiellement accru d’amputation
des orteils figure dans les consignes de prescription des inhibiteurs du
SGLT2 pour l’Union européenne et ce risque a été inclus dans le Résumé
des caractéristiques du produit (RCP) de l’UE pour la canagliflozine.
Bien qu’un risque accru de fracture à basse énergie ait été identifié
dans l’essai CANVAS, aucune augmentation n’a été observée dans l’essai
CANVAS-R. Pour une sécurité optimale, une évaluation complète des
résultats des essais CANVAS et CANVAS-R est en cours.
« Les résultats du programme CANVAS sont particulièrement
enthousiasmants pour Janssen ainsi que pour tous les patients souffrant
du diabète et leurs médecins », souligne Jose Antonio Buron
Vidal, vice-président des affaires médicales chez Janssen pour l’Europe,
le Moyen-Orient et l’Afrique. « Janssen met un point d’honneur à
travailler sans relâche pour combler les lacunes des traitements
existants du diabète de type 2. Au regard des risques identifiés, les
avantages globalement démontrés ici par la canagliflozine nous
confortent dans nos recherches et nous ne manquerons pas d’explorer le
potentiel de cette dernière chez d’autres populations de patients ».
-FIN-
À L’ATTENTION DES RÉDACTIONS :
Diabète de type 2
Le diabète de type 2 est une maladie chronique qui perturbe la
métabolisation du sucre (ou glucose) et qui se caractérise par
l’incapacité des cellules bêta pancréatiques à fournir suffisamment
d’insuline au corps.
L’International Diabetes Federation estime qu’en 2015,
415 millions de personnes dans le monde vivaient avec le diabète (type 1
et 2), une population qui devrait selon les prévisions dépasser
642 millions de personnes en 20403. Toujours en 2015, le
nombre des diabétiques était estimé à plus de 59 millions de personnes
en Europe1. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime
par ailleurs que 90 % de la population des diabétiques présente un
diabète de type 24.
Lorsqu’il n’est pas correctement pris en charge, le diabète de type 2
peut à long terme conduire à de graves complications microvasculaires et
macrovasculaires. Il a été démontré qu’une meilleure régulation de la
glycémie réduit l’apparition et la progression de ces complications.
Programme CANVAS
Le programme CANVAS comporte deux volets d’envergure quasiment
identiques : l’essai CANVAS (CANagliflozin CardioVascular
Assessment Study, NCT01032629)
et l’essai CANVAS-R, qui étudie les effets rénaux de la canagliflozine
chez des adultes présentant un DST2 (NCT01989754).
Le programme CANVAS est l’un des plus ambitieux programmes sur les
maladies cardiovasculaires étudiant un inhibiteur du cotransporteur
sodium-glucose de type 2 (SGLT2) mené à ce jour, avec un total de
10 142 patients (4 330 patients pour l’essai CANVAS et 5 812 patients
pour l’essai CANVAS-R). Dans le cadre des essais randomisés en double
aveugle de phase 3/4, la grande majorité des patients étaient obèses
avec des antécédents d’hypertension, 66 % des patients avaient des
antécédents de maladies cardiovasculaires (dont 14 % présentant des
antécédents d’insuffisance cardiaque) et 34 % présentaient au moins deux
facteurs de risque cardiovasculaires. L’essai a évalué la sécurité de la
canagliflozine par rapport au placebo chez des patients recevant
certains traitements spécifiques courants contre le diabète. Le critère
principal était la survenance d’événements cardiovasculaires majeurs, à
savoir un infarctus du myocarde non fatal, un AVC non fatal ou un décès
lié à une maladie cardiovasculaire. Le second critère était la
progression de l’albuminurie, le fonctionnement des cellules bêta
pancréatiques, le taux de filtration glomérulaire estimé (eGFR) et le
ratio albumine/créatinine urinaire.
Dans l’essai CANVAS, les patients recevaient aléatoirement soit le
placebo, soit 100 mg de canagliflozine, soit 300 mg de canagliflozine,
selon un rapport 1/1/1. Les expositions moyenne et médiane au produit
étudié étaient approximativement et respectivement de 4,3 et 5,8 ans.
Les durées moyenne et médiane de suivi étaient respectivement de 5,7 et
6,1 ans.
Dans l’essai CANVAS-R, qui portait sur une population similaire à celle
étudiée par l’essai CANVAS (adultes présentant un diabète de type 2 et
une régulation inadéquate de la glycémie, et présentant des troubles
cardiovasculaires ou considérés comme présentant un risque élevé d’en
développer), les patients recevaient aléatoirement, selon un rapport
1/1, soit le placebo, soit 100 mg de canagliflozine, avec la possibilité
pour l’expert clinique de passer à 300 mg lorsque le patient nécessitait
une régulation supplémentaire de la glycémie et qu’un dosage de 100 mg
était bien toléré. Les expositions moyenne et médiane au produit étudié
étaient approximativement et respectivement de 1,8 et 1,9 an. Les durées
moyenne et médiane de suivi étaient de 2,1 ans.
Les essais CANVAS et CANVAS-R ont été conçus pour être très similaires,
qu’il s’agisse de la population de patients, des procédures ou des
évaluations, et visaient à évaluer les effets de la canagliflozine sur
les événements cardiovasculaires chez une population de patients
similaire. Cette approche a été démontrée dans trois études publiées :
« Rationale, design, and baseline characteristics of the Canagliflozin
Cardiovascular Assessment Study (CANVAS)—A randomized placebo-controlled
trial », publiée en ligne par l’American
Heart Journal ; « Rationale, design and baseline characteristics
of the CANagliflozin cardioVascular Assessment Study–Renal (CANVAS-R): A
randomized, placebo-controlled trial », publiée en ligne par la revue Diabetes,
Obesity and Metabolism ; et « Optimizing the
analysis strategy for the CANVAS Programme – a pre-specified plan for
the integrated analyses of the CANVAS and CANVAS-R trials », également
publiée en ligne par la revue Diabetes,
Obesity and Metabolism.
La canagliflozine
En 2013, l’INVOKANA® (canagliflozine) a reçu l’agrément de
l’Union européenne pour le traitement des adultes présentant un diabète
sucré de type 2 (DST2), en vue d’améliorer la régulation de la glycémie,
soit dans le cadre d’une monothérapie, soit à titre de thérapie
complémentaire. L’agrément européen de la canagliflozine s’est appuyé
sur un programme d’essai clinique mondial complet de phase 3, couvrant
10 285 patients répartis en neuf études5,6,7,8,9,10,11,12,13,14.
L’INVOKANA® (canagliflozine) est un traitement sous
prescription utilisé en complément d’un régime nutritionnel et d’un
programme d’exercice adaptés afin de réduire la glycémie chez les
adultes atteints d’un diabète de type 2. L’INVOKANA® ne
convient pas aux personnes présentant un diabète de type 1 ou une
acidocétose diabétique (augmentation des corps cétoniques dans le sang
ou les urines). Nous ignorons si l’INVOKANA® est sûr et
efficace chez les moins de 18 ans. La canagliflozine n’est pas indiquée
pour la réduction des risques cardiovasculaires.
Janssen Pharmaceuticals, Inc. et ses sociétés affiliées ont obtenu une
licence pour la canagliflozine auprès de Mitsubishi Tanabe Pharma
Corporation. Janssen Pharmaceuticals, Inc. et ses sociétés affiliées
possèdent des droits de commercialisation en Afrique, dans certaines
parties de l’Asie, en Australie, en Europe, au Moyen-Orient, en
Nouvelle-Zélande, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud.
L’INVOKANA® est agréé comme agent unique dans les pays
suivants : Aruba, Australie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa
Rica, Curaçao, République Dominicaine, Salvador, Union européenne
(28 pays), Guatemala, Hong Kong, Islande, Inde, Israël, Jamaïque,
Kazakhstan, Koweït, Liban, Liechtenstein, Mexique, Nouvelle-Zélande,
Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, Qatar, Russie,
Serbie, Singapour, Corée du Sud, Suisse, Thaïlande, Émirats arabes unis
et États-Unis.
INFORMATIONS IMPORTANTES DE SÉCURITÉ
Les effets indésirables les plus courants de l’INVOKANA® sont
les suivants : hypoglycémie en combinaison avec de l’insuline ou des
sulfonylurées, infections à levures vaginales et du pénis, et
modification de la miction, notamment un besoin d’uriner plus
fréquemment, en plus grande quantité ou la nuit.
Les effets secondaires suivants ont également été observés :
déshydratation pouvant provoquer des étourdissements, des vertiges ou
une sensation de faiblesse au passage à la position debout (hypotension
orthostatique), acidocétose diabétique, infections des voies urinaires
et modifications de la fonction rénale.
Un avertissement concernant le risque potentiellement accru d’amputation
des orteils figure dans les consignes de prescription des inhibiteurs du
SGLT2 pour l’Union européenne et ce risque a été inclus dans le Résumé
des caractéristiques du produit (RCP) de l’UE pour la canagliflozine.
Entreprises Janssen Pharmaceutical
Les entreprises Janssen Pharmaceutical du groupe Johnson & Johnson
œuvrent à la création d’un monde sans maladie. Améliorer notre qualité
de vie à tous en concevant sans cesse de nouveaux moyens plus
performants de prévenir, déceler, traiter et guérir les maladies est
notre vocation profonde. Nous fédérons les meilleurs talents autour de
la recherche et des découvertes les plus prometteuses. Nous sommes
Janssen. Nous collaborons avec le monde entier pour la santé et le
bien-être de chaque être humain. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.janssen.com/emea.
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Ce communiqué renferme des énoncés prospectifs selon la définition
donnée par le Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Il est
recommandé au lecteur de ne pas se fier à ces énoncés prospectifs, qui
s’appuient par définition sur les attentes actuelles eu égard à des
événements futurs. Si les hypothèses sur lesquelles s’appuient ces
énoncés devaient se révéler incorrectes, ou si des risques, connus ou
non, ou encore certaines incertitudes, devaient se matérialiser, les
résultats réels obtenus pourraient substantiellement s’écarter des
prévisions et projections formulées par Janssen-Cilag International SA
et/ou Johnson & Johnson. Lesdits risques et incertitudes comprennent
notamment les défis et incertitudes inhérents à la
recherche-développement dans le domaine des traitements médicaux (y
compris le caractère incertain de l’efficacité clinique et de
l’obtention des agréments réglementaires), le caractère incertain de la
réussite commerciale visée, les difficultés et retards de fabrication,
la concurrence (y compris les avancées technologiques et les nouveaux
produits et brevets obtenus par les concurrents), la remise en question
de brevets, les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits
conduisant à des rappels de produits voire à des poursuites, les
modifications du comportement et des habitudes d’achat, ou les
difficultés financières, des utilisateurs de produits et services de
santé, les évolutions des lois et réglementations applicables (y compris
les réformes dans le secteur de la santé), et la tendance à la
limitation du coût des soins de santé. Une liste plus détaillée de ces
risques, incertitudes et autres facteurs figure au rapport annuel de
Johnson & Johnson établi selon le formulaire 10-K pour l’exercice clos
au 1er janvier 2017, sous les intitulés
« Cautionary Note Regarding Forward-Looking Statements » et « Item 1A.
Risk Factors », ainsi que dans les documents ultérieurement déposés par
la société auprès de la commission américaine des valeurs mobilières
(Securities and Exchange Commission). Vous pouvez vous procurer un
exemplaire de ces documents en ligne sur les sites www.sec.gov
ou www.jnj.com,
ou encore en adressant votre demande à Johnson & Johnson. Ni les
entreprises Janssen Pharmaceutical ni Johnson & Johnson ne s’engagent à
mettre à jour de quelconques énoncés prospectifs par suite de nouvelles
informations ou encore d’événements ou développements futurs.
Références :
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Belgique : International Diabetes Federation, 2015. Disponible ici : http://www.diabetesatlas.org/ Consultation :
juin 2017.
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Disponible ici : https://www.idf.org/about-diabetes/what-is-diabetes.html Consultation :
juin 2017.
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(WHO/NCD/NCS/99.2)
5 INVOKANA SmPC. Disponible ici : http://ec.europa.eu/health/documents/community-register/2017/20170428137649/anx_137649_en.pdf Consultation :
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Diabetes, Obesity and Hypertension (CODHy), 2012; Nov.8-11; Barcelone,
Espagne (P64).
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