Principaux résultats du premier trimestre de
2017 (par rapport aux résultats pro forma du premier
trimestre de 2016)1, 2
-
Volume lié aux marques à l’échelle mondiale :
19,706 millions d’hectolitres, en hausse de 2,1 % -
Volume lié aux marques prioritaires3 à l’échelle
mondiale : en hausse de 6,6 % -
Chiffre d’affaires net : 2,4 milliards de dollars,
en baisse de 0,5 %, et en hausse de 1,0 % en devises constantes -
Chiffre d’affaires net par hectolitre : 111,93 $,
en hausse de 2,4 %, et en hausse de 3,9 % en devises constantes -
Bénéfice net lié aux activités poursuivies attribuable à MCBC, selon
les PCGR des États-Unis : 201,9 millions de dollars
(0,93 $ par action après dilution), comparativement à un bénéfice net
pro forma de 257,4 millions de dollars à l’exercice précédent -
Bénéfice sous-jacent après impôt : 165,6 millions
de dollars (0,76 $ par action après dilution), en baisse de 12,1 % -
BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôt et amortissements) sous-jacent :
514,9 millions de dollars, en baisse de 3,6 %, et résultat inchangé en
devises constantes -
Économies d’impôt en trésorerie découlant de l’acquisition de
MillerCoors de 97,0 millions de dollars au premier trimestre, et dotation
à l’amortissement liée à la transaction de 11,2 millions de
dollars, déduction faite de l’impôt. Pour l’ensemble de l’exercice
2017, nous prévoyons des économies d’impôt en trésorerie liées à
la transaction de près de 390 millions de dollars, et une dotation à
l’amortissement d’environ 45 millions de dollars liée à la
transaction, déduction faite de l’impôt.
DENVER, Colorado, et MONTRÉAL, Québec–(BUSINESS WIRE)–Molson Coors Brewing Company (NYSE : TAP; TSX : TPX) a annoncé
aujourd’hui un bénéfice net lié aux activités poursuivies attribuable à
MCBC, selon les PCGR des États-Unis, de 201,9 millions de dollars au
premier trimestre, soit un résultat en baisse comparativement à un
bénéfice net pro forma de 257,4 millions de dollars à l’exercice
précédent. Cette baisse est imputable à la diminution des profits nets
tirés des éléments inhabituels et des autres éléments non liés aux
activités de base au cours de l’exercice considéré, à la baisse des
volumes dans le secteur États-Unis, à la place accrue occupée par les
produits auxquels des coûts plus élevés sont associés, à l’amortissement
accru lié aux marques, ainsi qu’à la hausse des coûts du siège social.
La Société a également déclaré une baisse de 12,1 pour cent du bénéfice
sous-jacent après impôt au premier trimestre de 2017, en raison de la
diminution du bénéfice des secteurs États-Unis et Canada, ainsi que de
la hausse de la dotation à l’amortissement au titre des marques et des
coûts du siège social.
M. Mark Hunter, président et chef de la direction de Molson Coors, a
déclaré : « En raison de la conclusion de la transaction liée à
MillerCoors vers la fin de l’exercice précédent et des changements que
nous effectuons afin d’harmoniser et d’améliorer notre organisation,
l’exercice 2017 constituera une période de transition au cours de
laquelle nous accroîtrons l’envergure et la solidité de notre
entreprise, tout en maintenant notre objectif d’être une entreprise de
premier choix. Nos résultats d’aujourd’hui reflètent donc
l’accroissement des investissements dans les facteurs qui nous
permettront de faire croître le chiffre d’affaires, de réduire les
coûts, d’accroître le bénéfice, de générer des flux de trésorerie, de
réduire la dette et de stimuler le rendement total pour les actionnaires
au cours des prochains exercices. »
« La baisse du bénéfice sous-jacent au premier trimestre par rapport à
l’exercice précédent tient principalement à la hausse de la dotation à
l’amortissement au titre des marques et à la diminution des volumes du
secteur États-Unis en janvier et en février pour l’exercice considéré,
ainsi qu’à la prise en compte du bénéfice élevé comptabilisé à
l’exercice précédent. Le bénéfice sous-jacent après impôt au premier
trimestre de 2016 avait augmenté de plus de 35 pour cent sur une base
pro forma par rapport à 2015, notamment en raison d’avantages découlant
de la dynamique des stocks et du moment auquel le congé de Pâques a eu
lieu. Nous avons également effectué des investissements supplémentaires
au cours de l’exercice considéré, afin de renforcer nos activités et nos
capacités à l’échelle mondiale. Bien que l’exercice ait démarré
lentement, les tendances au chapitre des volumes se sont améliorées
depuis les mois de janvier et de février, nous avons réalisé des progrès
importants en ce qui a trait à notre approche visant à être le premier
choix dans chacune de nos entreprises, et nous sommes convaincus que
nous pourrons concrétiser nos plans d’affaires pour l’ensemble de
l’exercice. »
Flux de trésorerie disponibles liés aux
activités d’exploitation et flux de trésorerie disponibles sous-jacents
Les flux de trésorerie nets affectés aux activités d’exploitation
pour le premier trimestre, selon les PCGR des États-Unis, se sont
établis à 118,3 millions de dollars, ce qui représente une hausse de
30,0 millions de dollars des sorties de trésorerie par rapport à
l’exercice précédent, laquelle tient à l’augmentation des paiements
d’intérêts en espèces et des cotisations aux régimes de retraite,
facteurs neutralisés en partie par la réduction des paiements d’impôt en
espèces.
Les flux de trésorerie disponibles sous-jacents au premier
trimestre se sont traduits par des sorties de trésorerie de
221,3 millions de dollars. Ce résultat représente une hausse de
19,9 millions de dollars des sorties de trésorerie par rapport à
l’exercice précédent, qui tient à l’augmentation des intérêts payés,
facteur neutralisé en partie par la diminution des paiements d’impôt en
espèces et par la prise en compte des flux de trésorerie découlant de la
participation résiduelle de 58 pour cent dans MillerCoors.
BAIIA sous-jacent (par rapport aux
résultats pro forma du premier trimestre de 2016)1
Le BAIIA sous-jacent s’est élevé à 514,9 millions de dollars au
premier trimestre, en baisse de 3,6 % par rapport à l’exercice
précédent. La baisse est imputable à la hausse des coûts du siège
social, à la diminution des résultats du secteur Canada et de
MillerCoors, ainsi qu’aux fluctuations défavorables des taux de change
ce trimestre, facteurs neutralisés en partie par la croissance
enregistrée dans le secteur Europe. Le BAIIA sous-jacent en devises
constantes est demeuré inchangé par rapport à l’exercice précédent.
Taux de change
Le BAIIA sous-jacent consolidé pro forma de la Société au premier
trimestre tient compte de l’incidence défavorable de 19,1 millions de
dollars des fluctuations des taux de change. L’incidence défavorable de
12,6 millions de dollars enregistrée dans le secteur Europe, l’incidence
défavorable de 7,8 millions de dollars enregistrée dans le secteur
corporatif et l’incidence défavorable de 0,4 million de dollars
enregistrée par MillerCoors ont été neutralisées en partie par
l’incidence favorable de 1,4 million de dollars enregistrée dans le
secteur Canada et par l’incidence favorable de 0,3 million de dollars
enregistrée dans le secteur International.
Volume lié aux marques à l’échelle mondiale et
volume financier (par rapport aux résultats pro forma du premier
trimestre de 2016)1
Le volume lié aux marques à l’échelle mondiale s’est établi à
19,7 millions d’hectolitres au premier trimestre, en hausse de 2,1 pour
cent par rapport à l’exercice précédent. Le volume financier
s’est élevé à 21,9 millions d’hectolitres au premier trimestre, en
baisse de 2,8 pour cent par rapport à l’exercice précédent.
Comme il est mentionné dans notre communiqué de presse portant sur les
résultats du quatrième trimestre de 2016, le volume financier tient
maintenant compte des volumes liés aux ententes de brassage et aux
ventes aux grossistes de marques non détenues. L’incidence financière de
ces volumes a toujours été prise en compte dans nos résultats et,
maintenant, nous tenons aussi compte de l’incidence de ces ventes sur
les volumes.
Le volume lié aux marques à l’échelle mondiale exclut les volumes liés
aux ententes de brassage et aux ventes aux grossistes de marques non
détenues, et il tient compte des volumes liés aux ventes assujetties à
des redevances. Nous avons également modifié la définition du volume lié
aux marques à l’échelle mondiale de manière à tenir compte d’un
ajustement visant à présenter les volumes de ventes au détail, plutôt
que les volumes de ventes aux grossistes. Nous croyons que les volumes
de ventes au détail constituent une mesure importante car, contrairement
aux volumes de ventes aux grossistes, ils fournissent l’indication la
plus précise du rendement de nos marques par rapport aux tendances au
chapitre des ventes dans le marché et des ventes effectuées par nos
concurrents. Les résultats des périodes précédentes ont été révisés afin
de refléter ces changements. Nous sommes d’avis que cette définition du
volume lié aux marques à l’échelle mondiale reflète davantage la façon
dont nous évaluons le rendement de nos marques détenues dans les marchés
où ces marques sont vendues.
Avec prise d’effet le 1er janvier 2017, les marchés
européens, y compris la Suède, l’Espagne, l’Allemagne, l’Ukraine et la
Russie, qui étaient auparavant présentés dans le secteur MCI, sont
maintenant présentés dans le secteur Europe. Également avec prise
d’effet le 1er janvier 2017, les résultats liés aux activités
de MillerCoors à Porto Rico, qui étaient auparavant présentés dans le
secteur États-Unis, sont maintenant présentés dans le secteur MCI.
Taux d’imposition effectifs (par rapport
aux résultats pro forma du premier trimestre de 2016)
Le taux d’imposition effectif de la Société au premier
trimestre sur la base du bénéfice déclaré s’est établi à 23,7 pour
cent, et il s’est élevé à 23,4 pour cent sur la base du bénéfice
sous-jacent. Le taux d’imposition effectif pro forma de la Société
comptabilisé au premier trimestre de l’exercice précédent s’est établi à
22,5 pour cent sur la base du bénéfice déclaré, et à 27,0 pour cent sur
la base du bénéfice sous-jacent. Le taux d’imposition effectif sur la
base du bénéfice déclaré a augmenté légèrement cette année, en
raison du traitement fiscal favorable lié à la vente de notre brasserie
située à Vancouver en 2016. Le taux d’imposition effectif sous-jacent a
diminué par rapport à l’exercice précédent, en raison de la composition
géographique du bénéfice et de la hausse de certains avantages en 2017.
Dette
Le total de la dette à la fin du premier trimestre s’élevait à
12,286 milliards de dollars, et la trésorerie et les équivalents de
trésorerie totalisaient 395 millions de dollars, ce qui se traduit par
une dette nette de 11,891 milliards de dollars.
Résultats des secteurs d’exploitation
Les résultats des secteurs d’exploitation de la Société pour le premier
trimestre de 2017 sont présentés ci-après.
Secteur États-Unis (MillerCoors) (par rapport
aux résultats pro forma du premier trimestre de 2016)1
Les volumes de ventes nationales au détail aux États-Unis ont subi une
baisse de 2,0 pour cent pour le trimestre, en raison de la réduction des
volumes du secteur des bières légères de marques de qualité supérieure
et du secteur des marques économiques. Les volumes de ventes nationales
aux grossistes ont reculé de 4,0 pour cent pour le trimestre. Les
produits nets nationaux par hectolitre, qui ne tiennent pas compte des
ententes de brassage ni des ventes effectuées par des distributeurs
détenus par l’entreprise, se sont accrus de 0,2 pour cent pour le
trimestre, en raison de l’établissement de prix nets favorables, facteur
neutralisé en partie par la composition défavorable des ventes.
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 1,7 pour cent
pour le trimestre, résultat qui tient à la hausse des coûts des intrants
et à l’effet de levier négatif lié aux volumes, facteurs neutralisés en
partie par les réductions de coûts liées à la chaîne
d’approvisionnement. Les frais de commercialisation, généraux et
d’administration ont reculé de 3,7 pour cent, résultat attribuable à la
réduction des investissements dans les marques, ainsi qu’à la diminution
des charges liées à l’effectif.
Le bénéfice lié aux activités poursuivies avant impôt de MillerCoors,
selon les PCGR des États-Unis, s’est établi à 315,6 millions de
dollars au premier trimestre. L’augmentation de 3,4 pour cent par
rapport à la période correspondante de l’exercice précédent tient
principalement à la réduction des charges inhabituelles liées à la
fermeture de la brasserie située à Eden, en Caroline du Nord, à la
baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration,
ainsi qu’à la croissance des prix nets, facteurs neutralisés en partie
par la diminution des volumes et par la hausse du coût des produits
vendus par hectolitre.
Le BAIIA sous-jacent de MillerCoors a diminué de 3,7 pour
cent au premier trimestre et s’est établi à 441,9 millions de dollars,
par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent,
résultat qui tient à la diminution des volumes et à la hausse du coût
des produits vendus par hectolitre, facteurs neutralisés en partie par
la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration
et par la croissance des prix nets.
Secteur Canada
Le volume lié aux marques du secteur Canada a augmenté de 0,7 pour cent
au premier trimestre, en raison principalement de la prise en compte des
marques Miller, ainsi que de la croissance de la Coors Banquet. Le
volume financier du secteur Canada, qui tient compte des volumes liés
aux ententes de brassage, a augmenté de 1,1 pour cent, notamment en
raison de la rotation des stocks des clients. Les ventes nettes par
hectolitre se sont accrues de 3,9 pour cent en monnaie locale, en raison
principalement de l’établissement de prix positifs et d’une composition
favorable des marques, y compris la croissance de nos marques importées.
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 10,7 pour cent
en monnaie locale, résultat attribuable à la place accrue occupée par
les marques importées auxquelles des coûts plus élevés sont associés, à
la hausse des coûts des intrants, aux fluctuations défavorables des taux
de change et à la prise en compte de la réduction temporaire des coûts
de distribution à l’exercice précédent, facteurs neutralisés en partie
par les initiatives continues visant à réduire les coûts. Les frais de
commercialisation, généraux et d’administration ont augmenté de
21,2 pour cent en monnaie locale, en raison de l’accroissement de la
dotation à l’amortissement au titre des marques et de l’augmentation des
investissements commerciaux.
Le secteur Canada a comptabilisé un bénéfice lié aux activités
poursuivies avant impôt de 23,1 millions de dollars, comparativement
à 146,6 millions de dollars à l’exercice précédent, résultat qui tenait
principalement au profit découlant de la vente, à l’exercice précédent,
de notre brasserie située à Vancouver.
Le BAIIA sous-jacent du secteur Canada a diminué de
25,0 pour cent pour s’établir à 42,9 millions de dollars ce trimestre,
en raison essentiellement de la hausse du coût des produits vendus et de
l’accroissement des investissements commerciaux au cours de l’exercice
considéré, facteurs neutralisés en partie par l’établissement de prix
positifs et par une composition favorable des marques. Les fluctuations
des taux de change ont eu une incidence favorable de 1,4 million de
dollars sur le BAIIA sous-jacent.
Secteur Europe
Le volume lié aux marques du secteur Europe a augmenté de 9,6 pour cent
au premier trimestre par rapport à l’exercice précédent, en raison
principalement du transfert des volumes liés aux marques donnant lieu à
des redevances et aux marques exportées en Europe, qui étaient présentés
dans le secteur International, et de la prise en compte des marques
Miller, ainsi que de la croissance élevée des volumes liés aux marques
Coors Light et Staropramen. Ces facteurs favorables ont largement
neutralisé l’incidence du moment tardif auquel le congé de Pâques a eu
lieu au cours de l’exercice considéré. Le volume financier du secteur
Europe, qui tient compte des ententes de brassage et des ventes de
marques distribuées, mais qui exclut les volumes liés aux ventes
assujetties à des redevances, a augmenté de 2,3 pour cent. Les ventes
nettes par hectolitre du secteur Europe ont augmenté de 16,3 pour cent
en monnaie locale, résultat qui reflète la reprise d’une provision au
titre de l’impôt indirect d’environ 50 millions de dollars, par suite du
jugement favorable rendu par un tribunal local. L’augmentation tient
également à une composition favorable des marques, laquelle a plus que
neutralisé l’établissement de prix nets négatifs.
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 1,7 pour cent
en monnaie locale, en raison de la place accrue occupée par les marques
et les régions auxquelles des coûts plus élevés sont associés, facteur
neutralisé en partie par la hausse des avantages nets liés aux régimes
de retraite au cours de l’exercice considéré. Les frais de
commercialisation, généraux et d’administration se sont accrus de
14,1 pour cent en monnaie locale, en raison du montant estimé de la
provision pour créances douteuses d’environ 11 millions de dollars liée
à un client en Croatie, de l’accroissement des investissements dans les
marques et de la prise en compte du portefeuille de marques Miller.
Le secteur Europe a comptabilisé un bénéfice lié aux activités
poursuivies avant impôt de 30,6 millions de dollars, comparativement
à une perte de 1,2 million de dollars à l’exercice précédent, en raison
de la reprise de la provision au titre de l’impôt indirect.
Le BAIIA sous-jacent du secteur Europe s’est accru de
78,7 pour cent et s’est établi à 74,0 millions de dollars, résultat qui
tient à la reprise de la provision au titre de l’impôt indirect, à
l’accroissement des volumes et à la hausse des avantages nets liés aux
régimes de retraite. Ces facteurs favorables ont été neutralisés en
partie par une provision pour créances douteuses liée à un client en
Croatie, par l’accroissement des investissements dans les marques, par
le moment auquel le congé de Pâques a eu lieu, et par les fluctuations
défavorables des taux de change. Les fluctuations des taux de change ont
eu une incidence défavorable de 12,6 millions de dollars sur le BAIIA
sous-jacent.
Secteur International
Le total du volume lié aux marques du secteur International a augmenté
de 65,2 pour cent au premier trimestre, en raison du transfert des
résultats liés aux activités de MillerCoors à Porto Rico, de la prise en
compte des marques Miller à l’échelle mondiale et de la croissance de la
marque Coors Light, principalement en Amérique latine. Ces résultats ont
été neutralisés en partie par le transfert des volumes liés aux marques
donnant lieu à des redevances et aux marques exportées en Europe. Le
chiffre d’affaires net par hectolitre a augmenté de 15,2 pour cent, en
raison d’un changement dans la composition des ventes et de
l’établissement de prix plus élevés.
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de 9,4 pour cent,
résultat qui s’explique par un changement dans la composition des
ventes. Les frais de commercialisation, généraux et d’administration du
secteur International se sont accrus de 65,4 pour cent, en raison de
l’accroissement des investissements dans les marques, ainsi que des
coûts indirects et des coûts d’intégration liés à l’acquisition des
marques Miller à l’échelle mondiale.
Le secteur International a comptabilisé un bénéfice lié aux
activités poursuivies avant impôt de 1,5 million de dollars,
comparativement à une perte de 2,3 millions de dollars à l’exercice
précédent, résultat qui s’explique par le transfert des résultats liés
aux activités à Porto Rico et par la prise en compte des marques Miller
à l’échelle mondiale.
Le BAIIA sous-jacent du secteur International s’est établi
à 5,0 millions de dollars au premier trimestre, comparativement à une
perte de 1,4 million de dollars à l’exercice précédent, en raison de
l’accroissement des volumes lié au transfert des résultats liés aux
activités à Porto Rico et à la prise en compte des marques Miller à
l’échelle mondiale, ainsi que de l’établissement de prix positifs en
Amérique latine. Les fluctuations des taux de change ont eu une
incidence favorable de 0,3 million de dollars sur le BAIIA sous-jacent
au premier trimestre.
Secteur corporatif
La perte avant impôt du secteur corporatif s’est établie à
97,8 millions de dollars au premier trimestre sur la base du résultat
déclaré, en baisse de 6,7 pour cent par rapport à l’exercice précédent,
en raison principalement des profits latents évalués à la valeur de
marché liés aux couvertures des marchandises cette année, qui ont
largement neutralisé la hausse des charges d’intérêts et des frais de
commercialisation, généraux et d’administration.
Le BAIIA sous-jacent du secteur corporatif s’est traduit par une
perte de 48,9 millions de dollars au premier trimestre, comparativement
à une perte de 24,7 millions de dollars à l’exercice précédent, en
raison principalement de la hausse des charges d’intérêts et d’une perte
de 8,3 millions de dollars au titre de la couverture de change liée à
l’émission de titres de créance au premier trimestre, ainsi que des
investissements commerciaux et des investissements dans la chaîne
d’approvisionnement et dans les technologies de l’information à
l’échelle mondiale, afin d’accroître l’envergure et la solidité de notre
entreprise.
Éléments inhabituels et autres éléments non
liés aux activités de base4
Les éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de
base ci-après ont été exclus des résultats sous-jacents.
Au cours du premier trimestre, Molson Coors a comptabilisé une charge
inhabituelle nette de 3,8 millions de dollars, qui tient
principalement aux coûts d’abandon d’actifs de 2,6 millions de dollars
dans le secteur Europe relativement à la fermeture prévue de notre
brasserie située à Burton South, aux coûts d’abandon de 2,0 millions de
dollars dans le secteur États-Unis relativement à la fermeture de la
brasserie située à Eden, et aux coûts d’abandon de 1,2 million de
dollars dans le secteur Canada relativement à la fermeture prévue de
notre brasserie située à Vancouver. Ces facteurs ont été neutralisés en
partie par la comptabilisation, dans le secteur Canada, d’un profit de
2,9 millions de dollars au titre de la réduction de régimes.
De plus, au cours du premier trimestre, nous avons comptabilisé des profits
nets de 52,2 millions de dollars au titre des autres
éléments non liés aux activités de base, qui tiennent principalement
aux profits latents évalués à la valeur de marché liés aux couvertures
des marchandises comptabilisés ce trimestre, ainsi qu’à un profit
découlant de l’ajustement du prix d’achat lié à la vente historique de
la participation de Molson Inc. dans le club de hockey Les Canadiens de
Montréal.
Conférence téléphonique portant sur les
résultats du premier trimestre de 2017
Molson Coors Brewing Company tiendra une conférence téléphonique à
l’intention des analystes financiers et des investisseurs aujourd’hui à
11 h, heure de l’Est, afin de discuter de ses résultats du premier
trimestre de 2017. Une diffusion Web de la conférence téléphonique sur
les résultats sera également offerte.
La Société tiendra également une diffusion Web en temps réel de la
séance de suivi des analystes financiers et des investisseurs
institutionnels à 13 h, heure de l’Est. Les deux diffusions Web seront
accessibles sur le site Web de la Société, à l’adresse www.molsoncoors.com
Contacts
Molson Coors Brewing Company
Médias
Colin
Wheeler, 303-927-2443
ou
Relations
avec les investisseurs
Dave Dunnewald, 303-927-2334
ou
Kevin
Kim, 303-927-2515