Pour l’ensemble de l’exercice, volume lié aux marques à l’échelle
mondiale en hausse de 1,0 % et croissance de 2,8 % du volume des marques
prioritaires
Pour l’ensemble de l’exercice, chiffre d’affaires net par
hectolitre en hausse de 2,6 %
Pour l’ensemble de l’exercice, bénéfice net de 1,4 milliard de
dollars (6,52 $ par action), en hausse de 379 %, et bénéfice par action
sous-jacent (mesure non définie par les PCGR) de 4,47 $, en hausse de
1,1 %
Pour l’ensemble de l’exercice, flux de trésorerie liés aux
activités d’exploitation de 1,87 milliard de dollars et flux de
trésorerie disponibles sous-jacents de 1,45 milliard de dollars
Réductions de coûts de plus de 255 millions de dollars en 2017 et
objectif triennal majoré à 600 millions de dollars
____________________________________
Pour le quatrième trimestre, volume lié aux marques à l’échelle
mondiale en baisse de 1,1 % et diminution de 1,9 % du volume des marques
prioritaires
Pour le quatrième trimestre, chiffre d’affaires net par hectolitre
en hausse de 5,8 %
Pour le quatrième trimestre, bénéfice par action de 2,72 $, en
hausse par rapport à (2,83)$, et bénéfice par action sous-jacent de
0,62 $, en hausse de 31,9 %
____________________________________
DENVER, Colorado, et MONTRÉAL, Québec–(BUSINESS WIRE)–Molson Coors Brewing Company (NYSE : TAP; TSX : TPX) a annoncé
aujourd’hui ses résultats de l’ensemble de l’exercice 2017 et du
quatrième trimestre. M. Mark Hunter, président et chef de la direction
de Molson Coors, a déclaré :
« L’exercice 2017 constitue le premier exercice complet reflétant
l’envergure et la solidité accrues de Molson Coors, et nos résultats
pour l’ensemble de l’exercice témoignent de l’équilibre atteint et des
progrès réalisés relativement à nos objectifs au chapitre du résultat
net et du chiffre d’affaires. Nous avons respecté ou devancé toutes nos
prévisions en matière d’intégration, de synergies et de réductions des
coûts grâce à l’engagement de nos employés à l’échelle mondiale, qui
soutiennent l’atteinte de notre objectif visant à être le premier choix
des consommateurs et des clients. En ce qui concerne les résultats de
l’ensemble de l’exercice 2017, par rapport aux résultats pro forma de
2016, nous avons surpassé nos objectifs au chapitre des réductions de
coûts et des flux de trésorerie disponibles, et nous avons optimisé nos
frais commerciaux et enregistré une solide croissance du bénéfice net,
une hausse de 77 points de base de la marge du BAIIA sous-jacente, et
une croissance de 3,7 pour cent du BAIIA sous-jacent. Nous avons
également renforcé notre bilan à hauteur de plus de 900 millions de
dollars par suite de la réduction de la dette et des cotisations aux
régimes de retraite s’inscrivant dans le cadre de notre stratégie au
chapitre de l’effet de levier. Nous avons par ailleurs accru notre
chiffre d’affaires et enregistré une croissance de 1 pour cent du volume
lié aux marques à l’échelle mondiale et une croissance de 2,6 pour cent
du chiffre d’affaires net par hectolitre, résultats qui tiennent à nos
activités de gestion des produits et à nos efforts de transformation du
portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure. Nous avons
également accru notre part du marché dans les secteurs Canada et Europe
au cours de l’exercice, et nous avons affiché un BAIIA sous-jacent
positif dans le secteur International. »
M. Hunter a ajouté : « Bien que nous ayons dû composer avec
l’intégration et avec des conditions de marché difficiles et complexes
en 2017, Molson Coors a affiché des résultats financiers et commerciaux
qui démontrent que nos priorités équilibrées au chapitre de la
croissance du résultat net et du chiffre d’affaires ont porté leurs
fruits. En 2018, la priorité que nous accordons à notre objectif visant
à être le premier choix dans toutes les régions continuera de renforcer
notre portefeuille de marques et de le transformer en faveur des marques
de qualité supérieure, tout en approfondissant nos relations avec les
clients. Nous continuerons également de faire preuve de souplesse en ce
qui a trait à nos résultats, de réaliser des réductions de coûts et
d’axer nos efforts de manière à atteindre nos objectifs au chapitre de
la trésorerie et à renforcer notre bilan. »
Principaux résultats trimestriels (par rapport aux résultats pro forma du quatrième trimestre de 2016, sauf indication contraire) |
-
Chiffre d’affaires net : 2,580 milliards de dollars, en
hausse de 4,5 pour cent, résultat qui tient à l’établissement à
l’échelle mondiale de prix positifs, aux volumes liés aux ventes
assujetties à des redevances et aux taux de change, ainsi qu’à la
prise en compte d’une charge d’impôt indirecte de 50 millions de
dollars comptabilisée à l’exercice précédent. Ces facteurs ont été
neutralisés en partie par la diminution des volumes financiers. Le
chiffre d’affaires net en devises constantes a augmenté de 2,4 pour
cent. -
Chiffre d’affaires net par hectolitre : 111,89 $, en hausse de
5,8 pour cent, et en hausse de 3,7 pour cent en devises constantes, en
raison de l’établissement à l’échelle mondiale de prix positifs, de
l’augmentation des produits tirés des ventes assujetties à des
redevances, de l’incidence favorable des fluctuations des taux de
change, ainsi que de la prise en compte d’une charge d’impôt indirecte
comptabilisée à l’exercice précédent. -
Volume : Volume lié aux marques à l’échelle mondiale de
22,4 millions d’hectolitres, en baisse de 1,1 pour cent, ce qui tient
à la réduction des volumes dans les secteurs États-Unis et
International, laquelle a été neutralisée en partie par la croissance
enregistrée dans les secteurs Europe et Canada. Le volume lié aux
marques prioritaires mondiales a diminué de 1,9 pour cent. Le volume
financier s’est établi à 23,1 millions d’hectolitres, en baisse de
1,2 pour cent, en raison de la diminution des volumes du secteur
États-Unis.
-
Le bénéfice net lié aux activités poursuivies attribuable à
MCBC, selon les PCGR des États-Unis, s’est établi à 588,1 millions
de dollars, soit une amélioration par rapport à une perte de
607,2 millions de dollars à l’exercice précédent, laquelle tient à des
avantages fiscaux non récurrents liés à la réévaluation de nos soldes
d’impôt différé découlant de la récente réforme fiscale aux
États-Unis, à une performance sous-jacente favorable, ainsi qu’à la
prise en compte d’une perte de valeur relative aux marques de Molson
dans le secteur Canada et d’une charge d’impôt indirecte comptabilisée
dans le secteur Europe à l’exercice précédent. -
Le bénéfice net sous-jacent (mesure non définie par les
PCGR) a augmenté de 32,1 pour cent, en raison de l’établissement à
l’échelle mondiale de prix positifs, des réductions de coûts, de
l’amélioration des frais de commercialisation, généraux et
d’administration et des avantages nets liés aux régimes de retraite,
ainsi que de la prise en compte d’une charge d’impôt indirecte
comptabilisée à l’exercice précédent, facteurs neutralisés en partie
par l’inflation, par l’incidence de la baisse des volumes, par les
investissements liés aux capacités de nos secteurs d’exploitation à
l’échelle mondiale, ainsi que par la hausse du taux d’imposition
sous-jacent. -
La Société détermine la création de valeur découlant de la
transaction liée à MillerCoors au moyen de la somme de trois
chiffres, lesquels s’établissent comme suit pour le quatrième
trimestre :- Bénéfice net sous-jacent de 133,6 millions de dollars;
-
Économies d’impôt en trésorerie liées à la transaction de
103 millions de dollars; -
Amortissement comptable après impôt de 11 millions de
dollars lié à la transaction. -
Aux fins du calcul par action de cette mesure, le nombre moyen
pondéré d’actions après dilution en circulation de la Société se
chiffrait à 216,5 millions au quatrième trimestre.
-
BAIIA sous-jacent : En hausse de 17,0 pour cent sur la base du
bénéfice déclaré, et en hausse de 14,3 pour cent en devises constantes. -
Flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, selon
les PCGR des États-Unis : Les flux de trésorerie nets provenant
des activités d’exploitation se sont établis à 1,866 milliard de
dollars pour l’ensemble de l’exercice 2017, en hausse de
739,4 millions de dollars par rapport aux résultats réels de
l’exercice précédent, ce qui tient à la prise en compte des flux de
trésorerie découlant de la participation résiduelle de 58 pour cent
dans MillerCoors ainsi que de la diminution des paiements d’impôt en
espèces et de l’amélioration du fonds de roulement, facteurs
neutralisés en partie par la hausse des paiements en trésorerie aux
fins de la capitalisation des régimes de retraite ainsi que des
paiements d’intérêts en espèces. -
Flux de trésorerie disponibles sous-jacents : 1,449 milliard de
dollars pour l’ensemble de l’exercice 2017, en hausse de 67,8 pour
cent par rapport au montant réel de 863,7 millions de dollars
comptabilisé à l’exercice précédent, en raison des mêmes facteurs que
ceux ayant influé sur les flux de trésorerie liés aux activités
d’exploitation, facteurs neutralisés en partie par la hausse des
dépenses d’investissement. -
Dette : Le total de la dette à la fin de l’exercice 2017
s’élevait à 11,314 milliards de dollars, et la trésorerie et les
équivalents de trésorerie totalisaient 418,6 millions de dollars, ce
qui se traduit par une dette nette de 10,895 milliards de dollars;
ceci constitue une réduction de plus de 600 millions de dollars par
rapport au début de l’exercice, malgré l’incidence défavorable des
taux de change de 280 millions de dollars. De plus, nous avons versé
des cotisations de 310 millions de dollars à nos régimes de retraite à
prestations définies au cours de 2017, dans le cadre de nos objectifs
au chapitre de l’effet de levier.
Examen des secteurs d’exploitation – Quatrième trimestre de 2017 |
Secteur États-Unis (MillerCoors) (par
rapport aux résultats pro forma du quatrième trimestre de 2016)
-
Volume : Les volumes de ventes nationales au détail aux
États-Unis ont subi une baisse de 3,0 pour cent pour le trimestre, en
raison de la réduction des volumes du secteur des bières légères de
marques de qualité supérieure. Les volumes de ventes nationales aux
grossistes ont reculé de 1,5 pour cent. -
Produits : Le chiffre d’affaires net national par hectolitre,
qui ne tient pas compte des ententes de brassage ni des ventes
effectuées par des distributeurs détenus par l’entreprise, s’est accru
de 1,4 pour cent, en raison de l’établissement de prix nets plus
élevés, facteur neutralisé en partie par une composition défavorable
des ventes. -
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de
2,2 pour cent, résultat qui tient à la hausse des coûts des intrants
et à l’effet de levier négatif lié aux volumes, facteurs neutralisés
en partie par les réductions de coûts. -
Les frais de commercialisation, généraux et d’administration
ont reculé de 4,1 pour cent, résultat attribuable à l’optimisation et
l’amélioration des dépenses. -
Le bénéfice lié aux activités poursuivies avant impôt du secteur
États-Unis, selon les PCGR des États-Unis, s’est établi à
227,5 millions de dollars, en hausse de 10,8 pour cent, résultat qui
tient essentiellement à la performance accrue du BAIIA sous-jacent et
à la diminution des charges inhabituelles. -
Le BAIIA sous-jacent du secteur États-Unis s’est établi à
346,0 millions de dollars, en hausse de 4,9 pour cent, en raison de
l’établissement de prix nets plus élevés, des réductions de coûts, et
de la baisse des frais de commercialisation, généraux et
d’administration, facteurs neutralisés en partie par la hausse du coût
des produits vendus et par la diminution des volumes de ventes aux
grossistes.
Secteur Canada
-
Volume : Le volume lié aux marques du secteur Canada a augmenté
de 0,8 pour cent au quatrième trimestre, en raison de l’accroissement
des ventes de marques importées et de bières artisanales, facteur
neutralisé en partie par la baisse des volumes nationaux. Le volume
financier du secteur Canada, qui tient compte des volumes liés aux
ententes de brassage, a augmenté de 1,0 pour cent. -
Produits : Le chiffre d’affaires net par hectolitre a augmenté
de 1,0 pour cent en monnaie locale, en raison principalement de
l’établissement de prix positifs, facteur neutralisé en partie par une
composition défavorable des ventes. -
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de
7,5 pour cent en monnaie locale, résultat imputable à la hausse de
l’inflation, à la place accrue occupée par les ventes de produits
auxquels des coûts plus élevés sont associés, à l’accroissement des
coûts de distribution et à l’incidence des fluctuations défavorables
des taux de change liées aux transactions, facteurs neutralisés en
partie par les réductions de coûts. -
Les frais de commercialisation, généraux et d’administration
ont diminué de 5,0 pour cent en monnaie locale, en raison
principalement de la diminution de la dotation à l’amortissement liée
aux marques et de la provision pour créances douteuses, ainsi que de
la réduction des dépenses. -
Le secteur Canada a comptabilisé un bénéfice lié aux
activités poursuivies avant impôt, selon les PCGR
des États-Unis, de 42,2 millions de dollars, par rapport à une perte
de 459,6 millions de dollars à l’exercice précédent, résultat qui
tient aux pertes de valeur sans effet sur la trésorerie de
495,2 millions de dollars comptabilisées relativement aux marques à
l’exercice précédent. -
Le BAIIA sous-jacent du secteur Canada s’est établi à
79,0 millions de dollars ce trimestre, en baisse de 4,2 pour cent,
résultat qui tient à la hausse du coût des produits vendus, facteur
neutralisé en partie par l’établissement de prix positifs, par la
réduction des frais de commercialisation, généraux et
d’administration, ainsi que par les taux de change favorables.
Secteur Europe
-
Volume : Le volume lié aux marques du secteur Europe a augmenté
de 10,4 pour cent au quatrième trimestre par rapport à l’exercice
précédent, en raison principalement du transfert des volumes liés aux
marques donnant lieu à des redevances et aux marques exportées en
Europe, qui étaient présentés dans le secteur International, ainsi que
de la croissance de nos marques de spécialité. Le volume financier du
secteur Europe, qui tient compte des ententes de brassage et des
ventes de marques distribuées, mais qui exclut les volumes liés aux
ventes assujetties à des redevances, a augmenté de 2,7 pour cent. -
Produits : Les ventes nettes par hectolitre du secteur Europe
ont augmenté de 16,3 pour cent en monnaie locale, résultat qui tient à
la prise en compte d’une charge d’impôt indirecte de 50 millions de
dollars comptabilisée à l’exercice précédent, ainsi qu’à une
composition favorable et à la prise en compte des produits tirés des
marques donnant lieu à des redevances et des marques exportées. -
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de
0,6 pour cent en monnaie locale, en raison principalement de la place
accrue occupée par les marques et les régions auxquelles des coûts
plus élevés sont associés, facteur neutralisé en partie par la hausse
des avantages nets liés aux régimes de retraite au cours de l’exercice
considéré. -
Les frais de commercialisation, généraux et d’administration
ont diminué de 2,8 pour cent en monnaie locale, en raison de la
reprise partielle de la provision pour créances douteuses constituée
plus tôt en 2017 relativement à un client en Croatie, ainsi que de la
hausse des avantages nets liés aux régimes de retraite au cours de
l’exercice considéré, facteurs neutralisés en partie par
l’accroissement des investissements dans les marques. -
Le secteur Europe a comptabilisé un bénéfice lié aux
activités poursuivies avant impôt, selon les PCGR
des États-Unis, de 54,9 millions de dollars, en hausse par rapport à
une perte de 15,6 millions de dollars à l’exercice précédent, laquelle
découle essentiellement de la comptabilisation, à l’exercice
précédent, d’une charge d’impôt indirecte de 50 millions de dollars.
La hausse du bénéfice avant impôt tient également à l’accroissement
des volumes liés aux marques, à la composition favorable des ventes, à
l’augmentation des avantages nets liés aux régimes de retraite, à la
reprise partielle d’une provision pour créances douteuses, et à
l’incidence favorable des taux de change. -
Le BAIIA sous-jacent du secteur Europe s’est établi à
102,7 millions de dollars, en hausse par rapport à 28,1 millions de
dollars à l’exercice précédent, en raison des mêmes facteurs que ceux
ayant influé sur le bénéfice selon les PCGR des États-Unis.
Secteur International
-
Volume : Le volume lié aux marques du secteur International a
diminué de 15,1 pour cent au quatrième trimestre, en raison du
transfert au secteur Europe des volumes liés aux marques donnant lieu
à des redevances et aux marques exportées et de la résiliation du
contrat lié à Modelo au Japon, facteurs neutralisés en partie par la
prise en compte des activités de MillerCoors à Porto Rico, ainsi que
par la croissance enregistrée dans plusieurs marchés de l’Amérique
latine. -
Produits : Le chiffre d’affaires net par hectolitre a augmenté
de 6,1 pour cent, en raison d’un changement dans la composition des
ventes et de l’établissement de prix positifs. -
Le coût des produits vendus par hectolitre a augmenté de
9,7 pour cent, résultat qui s’explique par un changement dans la
composition des ventes et par la hausse des coûts non liés aux
activités de base découlant de l’intégration. -
Les frais de commercialisation, généraux et d’administration se
sont accrus de 40,8 pour cent, en raison de l’augmentation des coûts
d’organisation et d’intégration liés à l’acquisition des marques de
Miller International, ainsi que de l’accroissement des investissements
dans les marques. -
Le secteur International a comptabilisé une perte
liée aux activités poursuivies avant impôt, selon
les PCGR des États-Unis, de 7,5 millions de dollars, comparativement à
une perte de 1,3 million de dollars à l’exercice précédent, en raison
de la hausse des coûts d’intégration liés à l’acquisition des marques
de Miller International, ainsi que de la résiliation du contrat lié à
Modelo au Japon, facteurs neutralisés en partie par l’accroissement
des volumes et par un changement favorable dans la composition des
ventes. -
Le BAIIA sous-jacent du secteur International s’est établi à
0,4 million de dollars au quatrième trimestre, en baisse
comparativement à 1,4 million de dollars à l’exercice précédent,
résultat qui tient à la résiliation du contrat lié à Modelo au Japon,
au transfert au secteur Europe des activités liées aux marques donnant
lieu à des redevances et aux marques exportées, ainsi qu’à la hausse
des frais de commercialisation, généraux et d’administration découlant
de la prise en compte des activités de Miller International, facteurs
neutralisés en partie par la prise en compte des activités à Porto
Rico et par la croissance des volumes dans plusieurs marchés de
l’Amérique latine.
Secteur corporatif
-
La perte liée aux activités poursuivies du secteur corporatif,
selon les PCGR des États-Unis, s’est établie à 116,2 millions de
dollars au quatrième trimestre sur la base du résultat déclaré,
comparativement à une perte de 164,4 millions de dollars à l’exercice
précédent, en raison principalement de la hausse des profits latents
évalués à la valeur de marché liés aux swaps de marchandises et de la
baisse, pour l’exercice considéré, des coûts liés à l’acquisition,
facteurs neutralisés en partie par l’accroissement des investissements
dans nos initiatives de croissance à l’échelle mondiale et dans nos
initiatives en matière d’efficience. -
Le BAIIA sous-jacent du secteur corporatif s’est traduit par
une perte de 47,8 millions de dollars au quatrième trimestre,
comparativement à une perte de 33,6 millions de dollars à l’exercice
précédent, en raison essentiellement de l’accroissement des
investissements commerciaux et des investissements dans la chaîne
d’approvisionnement et dans les technologies de l’information à
l’échelle mondiale, ainsi que de l’incidence défavorable des taux de
change et du transfert de certains coûts des unités opérationnelles.
Autres résultats |
Mise à jour concernant les réductions de coûts
-
La Société a réalisé des synergies et d’autres réductions de coûts de
plus de 255 millions de dollars en 2017, résultat qui excède
de plus de 80 millions de dollars notre objectif initial. Le total des
coûts non récurrents aux fins de l’établissement des synergies liées à
la transaction s’est chiffré à 83 millions de dollars en 2017; les
deux tiers environ de ces coûts constituent des charges d’exploitation
non liées aux activités de base, et l’autre tiers représente des
dépenses d’investissement. -
En se basant en partie sur l’augmentation des réductions de coûts en
2017, la Société a majoré à 600 millions de dollars son objectif
triennal au chapitre des réductions de coûts, relativement à
l’ensemble des réductions de coûts visées d’ici 2019. En ce qui a
trait aux deux années restantes du programme, l’objectif au chapitre
des réductions de coûts est de 210 millions de dollars pour 2018 et de
135 millions de dollars pour 2019, ce qui reflète la réalisation, plus
tôt qu’il était prévu, de certaines réductions de coûts en 2017 et en
2018. -
La Société a également réduit ses coûts non récurrents aux fins de
l’établissement des synergies prévus, les ramenant de
350 millions de dollars à 250 millions de dollars
dans le cadre du programme de réduction des coûts, lequel s’échelonne
sur une période de trois ans. Environ 60 pour cent de ce nouvel
objectif devrait représenter des charges d’exploitation non liées aux
activités de base, et 40 %, des dépenses d’investissement.
Taux d’imposition effectif (par rapport aux
résultats pro forma du quatrième trimestre de 2016)
-
La Société a comptabilisé un taux d’imposition effectif négatif
de 195,0 pour cent au quatrième trimestre de 2017, résultat
attribuable à la comptabilisation d’avantages fiscaux nets non
récurrents découlant de la réévaluation de notre passif d’impôt
différé tenant à la réforme fiscale aux États-Unis, dans le cadre de
laquelle le taux d’imposition fédéral des sociétés prévu par la loi a
été réduit à 21 pour cent. À l’exercice précédent, nous avons
comptabilisé un taux d’imposition effectif négatif, en raison de
l’incidence d’une perte avant impôt découlant d’une perte de valeur
comptabilisée dans le secteur Canada relativement aux marques, et du
changement relatif à la durée des marques, lesquelles étaient classées
à titre d’actifs ayant une durée d’utilité indéterminée et sont
maintenant classées à titre d’actifs ayant une durée d’utilité
déterminée. -
Le taux d’imposition effectif sous-jacent s’est établi à
28,8 pour cent, en hausse par rapport à 16,4 pour cent à l’exercice
précédent, en raison principalement des reprises au titre de la
provision pour moins-value comptabilisées au quatrième trimestre de
2016.
Éléments inhabituels et autres éléments non
liés aux activités de base
Les éléments inhabituels et autres éléments non liés aux activités de
base ci-après ont été exclus des résultats sous-jacents. Se reporter
à l’Annexe présentée dans la version anglaise de ce communiqué pour le
rapprochement des mesures financières non définies par les PCGR.
-
Au cours du quatrième trimestre, MCBC a comptabilisé une charge
inhabituelle nette de 3,7 millions de dollars, qui tient
principalement à l’amortissement accéléré lié à la reconstruction
prévue de nos brasseries situées à Montréal et à Vancouver, au Canada,
et à la fermeture prévue de notre brasserie située à Burton South, en
Europe. Ces charges ont été neutralisées en partie par la
comptabilisation, ce trimestre, d’un profit de 5,4 millions de dollars
au titre d’un règlement lié aux régimes de retraite, lequel a trait à
la constitution d’une rente de plus de 900 millions de dollars
relative à l’obligation au titre des prestations projetées liées à nos
régimes aux États-Unis, et à une réduction correspondante de l’actif
des régimes.
Contacts
Molson Coors Brewing Company
Médias
Colin
Wheeler, 303-927-2443
ou
Relations
avec les investisseurs
Dave Dunnewald, 303-927-2334
ou
Kevin
Kim, 303-927-2515