NEW YORK–(BUSINESS WIRE)–Moody’s Corporation (NYSE: MCO) a annoncé aujourd’hui avoir finalisé
l’acquisition d’Omega Performance, un chef de file de la formation au
crédit en ligne. Moody’s avait fait connaître son intention d’acquérir
Omega Performance, une unité commerciale de TwentyEighty Inc, le 8
juillet 2018.
Omega Performance propose un vaste éventail de formations au crédit en
ligne à plus de 300 clients du monde entier, depuis les grandes banques
internationales jusqu’aux établissements de crédit locaux. L’acquisition
confortera Moody’s Analytics dans sa position de référence mondiale en
matière de compétences de crédit pour les institutions financières
proposant des crédits à la consommation et aux petites et grandes
entreprises.
L’acquisition d’Omega Performance ne devrait pas avoir d’impact
substantiel sur les résultats financiers 2018 de Moody’s.
Pour de
plus amples renseignements sur les solutions d’apprentissage en ligne de
Moody’s Analytics, veuillez visiter www.moodysanalytics.com/elearning-courses.
À PROPOS DE MOODY’S CORPORATION
Acteur essentiel des marchés de capitaux internationaux, Moody’s fournit
des services de notation financière et de recherche, ainsi que des
outils et analyses contribuant à la transparence et à l’intégration des
marchés financiers. Moody’s Corporation (NYSE: MCO) est la société mère
de Moody’s Investors Service, qui fournit des services de notation de
crédit et de recherche couvrant les instruments de dette et les valeurs
mobilières, et de Moody’s Analytics, qui propose des logiciels de
pointe, des services de conseil et de la recherche pour l’analyse de
crédit, l’analyse économique et la gestion des risques financiers. La
société, qui a généré un chiffre d’affaires de 4,2 milliards de dollars
en 2017, emploie environ 12 300 personnes dans le monde et est implantée
dans 42 pays. Des informations complémentaires sont disponibles sur le
site www.moodys.com.
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Déclaration
d’exonération de responsabilité (« Safe Harbor ») en vertu de la loi
américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995
Parmi ces facteurs, risques et incertitudes figurent, sans que cela soit
limitatif, les perturbations sur les marchés du crédit ou les
ralentissements économiques, qui pourraient affecter le volume de dette
et d’autres titres émis sur les marchés financiers domestiques et/ou
mondiaux; d’autres paramètres susceptibles d’affecter le volume de dette
et d’autres titres émis sur les marchés financiers domestiques et/ou
mondiaux, y compris les questions de réglementation et de qualité du
crédit, les variations des taux d’intérêt et d’autres problèmes de
volatilité sur les marchés financiers comme ceux liés au vote lors du
référendum au Royaume-Uni dans le cadre duquel les citoyens britanniques
ont voté en faveur d’une sortie de l’UE; le niveau d’activité des
fusions et acquisitions aux États-Unis et dans d’autres pays;
l’efficacité incertaine et les conséquences collatérales possibles des
actions gouvernementales des États-Unis et d’autres pays affectant les
marchés du crédit, le commerce international et la politique économique;
les inquiétudes quant à la possibilité que le marché porte atteinte à
notre crédibilité ou porte atteinte d’une quelque manière que ce soit
aux perceptions du marché vis-à-vis de l’intégrité ou de l’utilité des
notations d’agences de crédit indépendantes; le lancement de produits ou
technologies concurrents par d’autres sociétés; des pressions sur les
prix de la part de nos concurrents et/ou clients; le niveau de réussite
dans le cadre du développement de nouveaux produits et de l’expansion
mondiale; l’impact de la réglementation en tant que NRSRO (organisation
de notation statistique reconnue au niveau national), la possibilité de
nouvelles législations et réglementations aux États-Unis, au niveau des
États ou au niveau local, y compris les dispositions de la loi sur la
réforme financière et les réglementations résultant de cette loi; la
possibilité d’une concurrence accrue et d’un durcissement de la
réglementation dans l’UE et dans d’autres juridictions étrangères;
l’exposition à des litiges en relation avec nos opinions de notation,
ainsi qu’à tout autre litige, toute poursuite, enquête ou investigation
gouvernementale ou réglementaire auquel la Société peut être assujettie
de temps à autre; les dispositions de la loi sur la réforme financière
modifiant les standards de procédure et les réglementations de l’UE
modifiant les standards de responsabilité applicables aux agences de
notation de crédit d’une manière défavorable à ces agences; les
dispositions des réglementations de l’UE imposant des exigences
procédurales et de fond supplémentaires sur la tarification des services
et l’expansion des attributions de surveillance en vue d’inclure des
notations non-UE utilisées à des fins réglementaires; la perte possible
d’employés clés; les défaillances ou dysfonctionnements de nos
opérations et de notre infrastructure; les vulnérabilités aux
cybermenaces et autres questions de cybersécurité; le résultat de tout
examen des initiatives mondiales de la Société en matière de
planification fiscale par des autorités de contrôle fiscal; l’exposition
à des sanctions pénales ou recours civils potentiels si la Société ne
respecte pas les lois et réglementations américaines et étrangères
applicables dans les juridictions où la Société exerce des activités, y
compris les lois sur la protection des données et de la vie privée, les
lois imposant des sanctions, les lois anti-corruption et les lois
locales interdisant le versement de pots-de-vin à des fonctionnaires de
gouvernement; l’impact des fusions, acquisitions et autres
rapprochements de sociétés et la capacité de la Société à intégrer avec
succès les entreprises rachetées; la volatilité des devises et des taux
de change; le niveau des flux de trésorerie futurs; les niveaux des
dépenses d’investissement et un déclin de la demande des institutions
financières pour les outils de gestion du risque de crédit. D’autres
facteurs, risques et incertitudes relatifs à notre acquisition de Bureau
van Dijk sont susceptibles de faire varier, peut-être fortement, nos
résultats réels par rapport à ceux indiqués dans ces énoncés
prospectifs, dont les risques liés à l’intégration des opérations,
produits et employés de Bureau van Dijk dans Moody’s et la possibilité
que les synergies et autres bénéfices anticipés suite à l’acquisition ne
se matérialisent pas dans les proportions anticipées ou dans les délais
prévus; les risques que l’acquisition pourrait avoir un effet négatif
sur les activités de Bureau van Dijk ou ses prospects, incluant, sans
limitation, sur les relations avec les vendeurs, les fournisseurs ou les
clients; les allégations faites, de temps à autre, par les vendeurs, les
fournisseurs ou les clients; les évolutions des marchés européens ou
internationaux ayant un effet négatif sur les activités de Bureau van
Dijk. Ces facteurs, risques et incertitudes, ainsi que d’autres risques
et incertitudes susceptibles de provoquer un écart important entre les
résultats réels de Moody’s et les résultats envisagés, exprimés,
projetés, anticipés ou sous-entendus dans les énoncés prospectifs, sont
décrits plus en détail dans la rubrique « Risk Factors » dans la Partie I,
article 1A, du rapport annuel de la Société sur Formulaire 10-K pour
l’exercice clos au 31 décembre 2017, et dans d’autres documents déposés
à l’occasion par la Société auprès de la Commission américaine des
opérations de Bourse (la « SEC ») ou dans les documents intégrés dans les
présentes. Nous avertissons les actionnaires et investisseurs que la
survenue de n’importe lequel de ces facteurs, risques ou incertitudes
pourrait provoquer un écart important entre les résultats réels de la
Société et les résultats envisagés, exprimés, projetés, anticipés ou
sous-entendus dans les énoncés prospectifs, ce qui pourrait avoir une
incidence défavorable importante sur les activités, les résultats
d’exploitation et la situation financière de la Société. De nouveaux
facteurs sont susceptibles d’émerger de temps à autre et il n’est pas
possible pour la Société de les prédire, elle n’est pas non plus en
mesure d’évaluer l’effet potentiel que peut avoir sur elle un quelconque
nouveau facteur.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Moody’s Corporation
Stephen Maire, 1 212 553 7424
Responsable
mondial des relations avec les investisseurs et de la communication
Stephen.Maire@moodys.com
ou
Lara
Joseph, 0044 2077721026
Vice-présidente adjointe, communication
d’entreprise
Lara.Joseph@moodys.com