« Cloud in Financial Services », un rapport conjoint de Reply et de l’Imperial College Business School, offre un regard unique et approfondi sur la façon dont le cloud est appelé à transformer les services financiers.
« Les services cloud sont là pour rester dans le secteur des services financiers et la pandémie n’a fait qu’accélérer le mouvement », a commenté Nelson Phillips, professeur de gestion technologique à l’Université de Californie (anciennement professeur d’innovation et de stratégie et doyen associé des relations extérieures à l’Imperial College Business School), « mais les institutions financières doivent être stratégiques dans l’adoption et il y a des questions importantes qui doivent être abordées à mesure que les entreprises déplacent progressivement plus d’activités vers le cloud. D’importants défis stratégiques et organisationnels doivent être relevés pour garantir la réussite de l’adoption du cloud et pour que les entreprises tirent le maximum de valeur de cette évolution. »
Naturellement, « Cloud in Financial Services » prend ces défis stratégiques et organisationnels à bras le corps, en abordant les principaux sujets qui préoccupent tous les cadres de direction, tels que la productivité, la conformité et les coûts. De même, l’article informera ses lecteurs de tous les tenants et aboutissants de la transformation du cloud.
Pour le secteur des services financiers, l’avenir est au cloud, une affirmation soutenue dans ce rapport par l’enquête qui l’accompagne, menée auprès de près de 300 organisations de services financiers. En fait, lorsqu’ils ont été invités à choisir les trois principaux avantages du cloud, les participants à cette enquête ont identifié l’évolutivité à la demande (60 %), la possibilité d’accélérer la mise en œuvre de nouvelles capacités (51 %) et par sa capacité à permettre l’innovation (44 %), autant d’indicateurs d’une mentalité tournée vers l’avenir. Les gains d’efficacité opérationnelle et l’amélioration de la cyber-résilience en tant qu’avantages du cloud ne sont pas loin derrière (29%).
Cela dit, les institutions financières sont confrontées à un certain nombre de défis lorsqu’elles passent au cloud. En sélectionnant les trois principaux problèmes, les personnes interrogées ont mis en évidence les préoccupations en matière de réglementation et de conformité (74 %), le manque d’expertise en matière de cloud ou de préparation culturelle au sein de la communauté des parties prenantes (59 %) et la dépendance à l’égard des fournisseurs de services de cloud tiers (47 %). La nécessité d’équilibrer le risque d’une dépendance (excessive) à l’égard des fournisseurs tiers (c’est-à-dire les FSC) a également été un point de préoccupation pour de nombreuses institutions financières. Il n’est pas surprenant que le manque de fournisseurs appropriés et le fait que l’analyse de rentabilité ne soit pas suffisamment convaincante aient été identifiés comme les défis les moins importants.
La cybersécurité est peut-être le sujet pour lequel le rapport « Cloud in Financial Services » a mis en évidence le paradoxe le plus frappant. Une grande partie des personnes interrogées ont indiqué que le cloud avait considérablement amélioré leur sécurité par rapport aux systèmes hébergés traditionnellement. Cependant, de nombreuses personnes interrogées ont souligné que les problèmes de sécurité étaient parmi les plus difficiles à résoudre lors de la transition vers le cloud.
Comme l’a noté Freddy Gielen, partenaire exécutif chez Reply : « Ce rapport montrera que la vitesse et l’impact de l’adoption du cloud dépendent fortement de la disponibilité des bonnes personnes, de l’existence de la bonne culture et de la préparation des dirigeants. Obtenir la bonne technologie sans disposer des bonnes personnes, de la bonne culture et du bon leadership ne permettra pas d’obtenir l’impact commercial et le retour sur investissement que permet une transition bien gérée vers le cloud. »
En effet, l’aspect le plus révélateur de l’enquête est sans doute l’importance de l’expérience : plus les personnes interrogées avaient de l’expérience avec le cloud, plus elles reconnaissaient qu’une mise en œuvre du cloud bien exécutée pouvait améliorer l’activité. Et c’est là que ce rapport, en s’appuyant sur la sagesse de plus de 5 000 projets de cloud Reply (dont 1 000 dans les services financiers), fournira au lecteur des informations concrètes et décisives qui pourront l’aider à poser les jalons d’un agréable voyage vers le cloud.
Pour en savoir plus, téléchargez le rapport complet « Cloud in Financial Services ».
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