Press release

Selon une étude récente, les pièces d’identité numériques ne sont pas encore prêtes à remplacer les documents physiques

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Sponsorisé par Businesswire

Alors que des méthodes innovantes de vérification numérique continuent de voir le jour, le débat sur leur fiabilité et leur efficacité prend de l’ampleur. Pourtant, une étude récente commandée par Regula et intitulée « The New Imperative: Digital IDs », révèle l’importance durable des documents d’identité physiques. Malgré les avancées numériques, un pourcentage élevé d’organisations dans le monde entier dépend encore des documents physiques pour la vérification.

Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20240610731032/fr/

According to Regula's study, digital IDs will not replace physical documents in the near future. The majority of companies globally rely on automation and biometrics for remote identity verification. (Graphic: Business Wire)

According to Regula’s study, digital IDs will not replace physical documents in the near future. The majority of companies globally rely on automation and biometrics for remote identity verification. (Graphic: Business Wire)

Situation actuelle. Les entreprises utilisent plusieurs méthodes de vérification d’identité, comme l’indique une étude de Forrester Consulting commandée par Regula. 46 % des personnes interrogées vérifient les documents manuellement, même dans des scénarios à distance impliquant des entretiens vidéo ou l’envoi d’un passeport scanné. Certaines entreprises ont automatisé ce processus (53 %) ou sont passées à des formes plus sûres d’authentification des utilisateurs, comme la biométrie (54 %) ou l’authentification multifactorielle (49 %). Un nombre important d’entreprises (44 %) utilisent des services tiers qui comptent souvent sur la présentation de documents physiques pour effectuer des vérifications d’identité minutieuses.

L’étude de Forrester Consulting indique que, malgré l’évolution des méthodes de vérification numérique innovantes, les documents d’identité physiques restent indispensables, car ils garantissent une vérification sérieuse et fiable de l’identité dans différents environnements réglementaires.

La dépendance à l’égard des documents physiques s’accentue dans les secteurs où les exigences de sécurité sont rigoureuses, comme l’aviation (63 %) et la finance (44 %). Les organismes de pays dotés de cadres réglementaires aux normes rigides, notamment les États-Unis (50 %) et l’Allemagne (49 %), s’en tiennent également aux contrôles manuels.

Obstacles à l’adoption généralisée de l’identification numérique. L’un des obstacles à l’adoption globale du concept d’identification numérique est l’absence d’un cadre législatif général pour ce justificatif d’identité. 74 % des personnes interrogées soulignent la nécessité d’établir des normes et une législation globale pour l’identification numérique afin de garantir l’interopérabilité de ces pièces d’identité par-delà les frontières.

Toutefois, compte tenu des différents points de vue régionaux sur l’identité et la vie privée (71 %) et de la disparité technologique entre les pays (70 %), qui font également partie des préoccupations citées, il sera difficile de convenir de normes. Pour faire face à ces difficultés, la situation exige une innovation collaborative de la part des autorités, des entreprises et des acteurs du marché de la vérification d’identité (IDV).

L’approche unifiée sera un tournant permettant d’établir un taux de fiabilité élevé et constant pour l’identification numérique et de contribuer à l’évolution du marché de l’identification. Tôt ou tard, ce processus va s’initier, puisque 72 % des parties prenantes interrogées estiment que l’intégration des identifiants numériques contribue au développement d’une économie numérique mondiale solide.

« L’identification numérique représente un changement important dans notre manière d’aborder la vérification d’identité, car elle offre une toute nouvelle dimension à nos structures actuelles. Cependant, l’introduction de l’identification numérique telle qu’elle se présente actuellement n’entraînera pas la perturbation du marché de la vérification d’identité. De nombreux signaux indiquent la nécessité d’un soutien à long terme des types d’identification actuels. Si les pays peuvent adopter la nouvelle approche à leur propre rythme au plan national, le passage mondial à l’identification numérique devra se faire partout. Cette transition est freinée par divers obstacles liés à des questions politiques et économiques, ainsi que par l’absence de reconnaissance publique universelle de la technologie. À terme, l’obtention d’une carte d’identité numérique demandera probablement la présentation d’un passeport ou d’une carte d’identité physique, du moins au cours de la phase initiale de délivrance. Même après l’apparition d’une norme OACI complète pour l’identification numérique, son adoption globale et le développement d’un tel système prendront du temps et pourraient entraîner des coûts très élevés. Avant cela, nous ne sommes qu’au début de l’analyse du potentiel de cette nouveauté », a déclaé Ihar Kliashchou, CTO chez Regula.

Vous pouvez télécharger gratuitement l’analyse complète et détaillée en cliquant ici.

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À propos de Regula

Regula est un développeur mondial de dispositifs médico-légaux et de solutions de vérification d’identité. Avec plus de 30 ans d’expérience en recherche médico-légale et la plus grande bibliothèque de modèles de documents au monde, nous créons des technologies révolutionnaires en matière de vérification de documents et de biométrie. Nos solutions matérielles et logicielles permettent à plus de 1 000 organisations et 80 autorités chargées du contrôle des frontières dans le monde de fournir un excellent service client sans compromettre la sécurité, la sûreté ou la rapidité.

Regula a été nommé à plusieurs reprises fournisseur représentatif dans le Gartner® Market Guide pour la vérification d’identité.

Pour en savoir plus, consultez www.regulaforensics.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.