En 2018, le sixième sommet annuel se tiendra en Europe
LE CAP, Afrique du Sud–(BUSINESS WIRE)–L’élaboration de cadres réglementaires favorables aux investissements
dans les infrastructures de haut débit en Afrique a été au centre des
discussions du cinquième sommet
annuel de la Dynamic Spectrum Alliance (DSA), qui s’est terminé hier
au Cap (Afrique du Sud).
L’événement de trois jours a rassemblé des représentants des cinq
continents et de 21 pays. Parmi eux figuraient des décideurs politiques,
régulateurs, universitaires et acteurs des secteurs public et privé
jouissant d’une expérience pratique dans le développement et la mise en
œuvre d’un ensemble de régimes de partage de spectre.
« L’étude réalisée par A4AI souligne que seulement 53% de la population
mondiale sera connectée d’ici 2020, laissant ainsi l’autre moitié sans
connexion. Selon la Commission sur le haut débit de l’ONU, être connecté
fait désormais partie des droits fondamentaux de l’homme », rappelle le
professeur H Sama Nwana, directeur exécutif émérite de la Dynamic
Spectrum Alliance, qui a animé le panel au côté d’experts chevronnés de
l’Autorité des communications du Kenya (CA), l’Autorité indépendante des
communications d’Afrique du Sud (ICASA), l’Autorité nationale des
communications (NCA) et Ghana and Ultimate Internetworking Solutions
(UltiNetS).
Et M. Nwana d’ajouter: « Les investissements en infrastructures, le
spectre sans licence et les technologies d’accès dynamiques continuent
de représenter des obstacles à la connectivité. Le défi est aussi bien
au niveau des prix que de l’accessibilité, ce qui fait directement
reposer le problème sur les décideurs et les régulateurs en
communication. Le sommet a permis de rassembler des décideurs et des
régulateurs régionaux pour partager des données spécifiques à leurs
zones et étudier les politiques d’accès au spectre déjà en place. »
À l’occasion de cette nouvelle édition du Global Summit, des
présentations de haute qualité ont débouché sur des discussions de fonds
concernant tous les aspects de la politique de spectre, y compris les
défis relatifs à la wifi, la 5G, l’internet des objets (IoT), le fossé
numérique et les satellites. En outre, neuf régulateurs se sont réunis
pour partager les meilleures pratiques du monde entier.
Pour la première fois cette année, la DSA a formellement reconnu et
récompensé les accomplissements de ses membres lors d’une cérémonie de
remise de prix. Dr David Crawford, chef du Centre des communications de
l’espace blanc à l’Université de Strathclyde, Glasgow, a reçu le Prix
pour une initiative ou étude dirigée par un étudiant sur les nouvelles
opportunités d’accès dynamique au spectre.
Suite au sommet, M. Crawford a déclaré: « Il apparaît clairement que la
gestion dynamique du spectre est de plus en plus reconnue comme un
facteur clef pour les futures solutions de connectivité sans fil, car
elle permet une utilisation plus efficace du spectre. Cela conduira à
une connectivité optimisée et plus étendue pour un éventail
d’applications, notamment l’accès abordable à internet pour les
personnes se trouvant dans des zones géographiquement isolées, ainsi que
les nouvelles applications et les nouveaux cas d’utilisation IoT et 5G. »
La Dynamic Spectrum Alliance a également annoncé que pour la première
fois l’année prochaine le sommet mondial aura lieu en Europe.
« La Dynamic Spectrum Alliance s’attelle à encourager des changements de
politique pour permettre aux technologies d’accès dynamique au spectre
de contribuer à l’accès au spectre de faible, moyenne et haute bande,
afin de répondre aux exigences de densification et de couverture d’une
manière efficace en vue de garantir le succès de déploiements de réseaux
durables. Pour mon premier sommet en tant que président de la DSA, je
suis fier de ce que nous avons accompli et c’est avec impatience que
j’attends de nous retrouver en Europe en 2018 pour voir les progrès
réalisés », a conclu Kalpak Gude, président de la Dynamic Spectrum
Alliance.
Pour plus d’informations sur la Dynamic Spectrum Alliance et le Global
Summit 2017, rendez-vous sur www.dynamicspectrumalliance.org/
ou suivez @dynamicspectrum et #DSA17GS sur Twitter.
Vous pouvez également rejoindre l’Alliance sur Facebook
ou LinkedIn.
FIN
À propos de la Dynamic Spectrum Alliance
La Dynamic Spectrum Alliance est une organisation mondiale qui milite en
faveur de lois et de réglementations qui permettront une utilisation
plus efficace du spectre. Elle compte parmi ses membres des
multinationales, des petites et moyennes entreprises, et des
organisations universitaires, de recherche et autres du monde entier,
qui s’attellent toutes à créer des solutions innovantes qui permettront
d’accroître le spectre disponible au bénéfice tant des consommateurs que
des entreprises. Pour plus d’informations, rendez-vous sur http://www.dynamicspectrumalliance.org/.
À propos du Dynamic Spectrum Alliance Global Summit
La Dynamic Spectrum Alliance retourne en Afrique pour la cinquième
édition de son sommet annuel mondial. Le sommet rassemble des décideurs
politiques, régulateurs, universitaires et des représentants des
secteurs public et privé disposant d’une expérience directe dans le
développement et l’exécution d’un ensemble de régimes de partage du
spectre, allant de l’attribution de licences exclusives aux attributions
de spectre hors licence, en passant par divers régimes de partage de
spectre sur une variété de bandes complémentaires, y compris celles qui
permettront l’arrivée de la 5G. Dans un monde avec des dizaines de
milliards d’appareils connectés sans fil, le partage de spectre est un
aspect incontournable pour tout décideur cherchant des moyens innovants
pour combler le fossé numérique et ouvrir la voie de l’internet des
objets.
Le sommet annuel de la Dynamic Spectrum Alliance est le principal
événement consacré aux décideurs et aux régulateurs pour qu’ils puissent
partager les meilleures pratiques, se tenir informés des dernières
politiques de partage de spectre, et prendre part à des discussions
visant à optimiser l’impact social et économique à l’échelle mondiale,
aussi bien dans les villes que dans les régions reculées.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
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