Des présentations majeures supplémentaires portant sur le
portefeuille d’hématologie-oncologie de Takeda mettront en lumière les
données de survie globale à cinq ans lors du traitement par ADCETRIS
(brentuximab védotine) chez les patients atteints de lymphome hodgkinien
récidivant/ réfractaire, ainsi que les données en pipeline
CAMBRIDGE, Massachusetts, & OSAKA, Japon–(BUSINESS WIRE)–Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE:
4502) a annoncé aujourd’hui qu’elle présentera les données provenant
de l’essai clinique de phase 3 TOURMALINE-MM1 sur l’ixazomib lors du
57ème Congrès annuel de la Société américaine d’hématologie (ASH), qui
se tiendra à Orlando, en Floride, du 5 au 8 décembre 2015. Au total, 19
résumés commandités par Takeda et représentant la portée et la
profondeur du portefeuille d’hématologie-oncologie de la société ont été
retenus pour être présentés lors du congrès de cette année.
« Nous attendons avec une impatience particulière le congrès de l’ASH de
cette année. Nous présenterons des données fondamentales sur le
programme ixazomib, ainsi que les données de survie globale à cinq ans
sur le traitement du lymphome hodgkinien récidivant/ réfractaire par
ADCETRIS », a déclaré le Dr Dixie-Lee Esseltine, FRCPC, Vice-présidente
de l’unité thérapeutique Oncologie chez Takeda. « Le succès de ces deux
programmes, qui vient s’ajouter aux données que nous présenterons sur le
VELCADE et sur notre pipeline, est la concrétisation de décennies
d’engagement en faveur des patients atteints d’hémopathies malignes. »
« C’est la première fois que des données de la phase 3 seront présentées
concernant l’ixazomib, un inhibiteur oral du protéasome à dose
hebdomadaire, qui, s’il est approuvé, permettrait d’obtenir la première
trithérapie par voie uniquement orale contenant un inhibiteur du
protéasome pour le traitement du myélome multiple récurrent/ réfractaire
», a déclaré le chercheur principal de l’essai TOURMALINE-MM1, Philippe
Moreau, de l’Université de Nantes, en France. « En collaborant avec
Takeda Oncologie sur l’évolution de l’inhibition du protéasome, nous
continuons d’aspirer à proposer de nouvelles options pour répondre aux
besoins non satisfaits des patients atteints de myélome multiple. »
L’ixazomib est le premier inhibiteur oral du protéasome en phase tardive
de développement clinique. L’étude TOURMALINE-MM1 est un essai clinique
international de phase 3, randomisé, en double aveugle, contrôlé par
placebo, conçu pour évaluer la supériorité d’une dose hebdomadaire
d’ixazomib en association avec le lénalidomide et la dexaméthasone, par
rapport à un placébo en association avec le lénalidomide et la
dexaméthasone chez des patients adultes atteints de myélome multiple
récurrent et/ou réfractaire.
L’ixazomib s’est vu accorder la procédure de revue prioritaire par la
Food and Drug Administration américaine (FDA) et une procédure
d’évaluation accélérée par le Comité des médicaments à usage humain de
l’Agence Européenne des Médicaments, validant respectivement la
nécessité profonde et persistante de trouver de nouveaux traitements
pour le myélome multiple. Ces demandes d’homologation pour le traitement
des patients atteints de myélome multiple récurrent et/ou réfractaire
étaient basées sur les données de l’essai TOURMALINE-MM1.
Les présentations de Takeda au congrès de l’ASH 2015 comprendront
notamment :
Ixazomib
-
L’ixazomib,
un inhibiteur oral expérimental du protéasome (PI), en association
avec le lénalidomide et la dexaméthasone (IRd), augmente fortement la
survie sans progression (SSP) chez les patients atteints de myélome
multiple récurrent ou réfractaire (RRMM) : l’étude de phase 3
Tourmaline-MM1 (NCT01564537)- Conférencier : Philippe Moreau, Université de Nantes, France
-
Résumé 727, exposé oral, lundi 7 décembre 2015, 14h45, Orange
County Convention Center, Tangerine 2 (WF2)
-
Étude
randomisée de phase 2 d’une combinaison par voie orale de l’ixazomib,
l’inhibiteur expérimental du protéasome (PI), du cyclophosphamide et
du dexaméthasone à faible dose (ICd) chez les patients atteints de
myélome multiple nouvellement diagnostiqué (NDMM) qui sont inéligibles
pour une transplantation (NCT02046070)-
Conférencier : Meletios A. Dimopoulos, Faculté de médecine de
l’Université d’Athènes, Athènes, Grèce -
Résumé 26, exposé oral, samedi 4 décembre 2015, 7h45, Orange
County Convention Center, Tangerine (WF2)
-
Conférencier : Meletios A. Dimopoulos, Faculté de médecine de
ADCETRIS (brentuximab védotine)
-
Données
relatives à la survie à cinq ans attestant de réponses durables à
partir d’une étude pivot de phase 2 portant sur le brentuximab
védotine chez les patients souffrant de lymphome hodgkinien récidivant
ou réfractaire-
Conférencier : Robert Chen, City of Hope National Medical Center,
Duarte, Californie -
Résumé 2736, affiche, dimanche 6 décembre 2015, 18h00, Orange
County Convention Center, Hall A, niveau 2
-
Conférencier : Robert Chen, City of Hope National Medical Center,
-
Données
actualisées relatives à l’efficacité et à l’innocuité à partir de
l’essai de consolidation AETHERA mené avec le brentuximab védotine
après une autogreffe de cellules souches (ASCT) chez des patients
souffrant de lymphome hodgkinien présentant un risque élevé de rechute-
Conférencier : John Sweetenham, Huntsman Cancer Institute,
Université de l’Utah, Salt Lake City, Utah -
Résumé 3172, Affiche, dimanche 6 décembre 2015, 18h00, Orange
County Convention Center, Hall A, niveau 2
-
Conférencier : John Sweetenham, Huntsman Cancer Institute,
VELCADE (bortézomib)
-
Étude
randomisée ouverte de phase 2 du R-CHOP ± bortézomib chez des patients
atteints d’un lymphome diffus à grandes cellules (DLBCL) du sous-type
ressemblant à des cellules B non germinales, non précédemment traité
(Non-GCB) : Résultats de l’essai Pyramid (NCT00931918)- Conférencier : John P. Leonard, hôpital presbytérien de New York
-
Résumé 811, exposé oral, lundi 7 décembre 2015, 16h30, Orange
County Convention Center, Tangerine 3 (WF3-4)
Alisertib
-
Première
étude multicentrique randomisée de phase 3 chez des patients atteints
d’un lymphome périphérique à cellules T (PTCL) récidivant/ réfractaire
: Alisertib (MLN8237) contre le choix du chercheur (essai Lumiere ;
NCT01482962)-
Conférencier : Owen O’Connor, Centre des tumeurs malignes
lymphoïdes, Centre Médical de l’Université de Columbia, Hôpital
presbytérien de New York, New York, Etat de New York -
Résumé 341, exposé oral, dimanche, 6décembre 2015, 17:30, Orange
County Convention Center, Hall E2
-
Conférencier : Owen O’Connor, Centre des tumeurs malignes
À propos de l’Ixazomib
L’ixazomib est un inhibiteur oral expérimental du protéasome à l’étude
dans le traitement du myélome multiple, de l’amyloïse AL et d’autres
affections malignes. L’ixazomib a reçu la désignation de médicament
orphelin pour le myélome multiple aux États-Unis et en Europe en 2011,
et pour l’amyloïse AL aux États-Unis et en Europe en 2012. En 2014, la
Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé à l’ixazomib
la désignation « thérapie révolutionnaire » pour le traitement des
patients atteints d’amyloïse AL récurrente ou réfractaire. Il s’agit
également du premier inhibiteur oral du protéasome à faire l’objet
d’essais cliniques de phase 3.
Le programme de développement clinique de l’ixazomib souligne
l’engagement constant de Takeda à mettre au point des médicaments
novateurs au profit des personnes souffrant de myélome multiple dans le
monde entier et des professionnels de la santé qui participent à leur
traitement. Cinq essais mondiaux de phase III sont en cours :
-
L’étude TOURMALINE-MM1 étudie l’ixazomib comparativement au placébo,
en association avec le lénalidomide et la dexaméthasone pour le
myélome multiple récurrent et/ou réfractaire -
L’étude TOURMALINE-MM2 étudie l’ixazomib comparativement au placébo,
en association avec le lénalidomide et la dexaméthasone chez des
patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué -
L’étude TOURMALINE-MM3 étudie l’ixazomib comparativement au placébo
comme traitement d’entretien chez des patients atteints d’un myélome
multiple nouvellement diagnostiqué après un premier traitement et une
greffe de cellules souches autologue -
L’étude TOURMALINE-MM4 étudie l’ixazomib comparativement au placébo
comme traitement d’entretien chez des patients atteints d’un myélome
multiple nouvellement diagnostiqué qui n’ont pas subi de greffe de
cellules souches autologue -
L’étude TOURMALINE-AL1 étudie l’ixazomib en association avec la
dexaméthasone comparativement à une sélection de schémas
thérapeutiques au choix du médecin chez des patients présentant une
amyloïdose AL récurrente ou réfractaire
Pour en savoir plus sur les études de phase III en cours, veuillez
consulter le site www.clinicaltrials.gov.
À propos d’ADCETRIS®
ADCETRIS® (brentuximab védotine) est un conjugué anticorps-médicament
(CAM) qui a reçu une autorisation conditionnelle de commercialisation de
la Commission européenne en octobre 2012 pour deux indications : (1) le
traitement des patients adultes atteints de LH CD30-positif récidivant
ou réfractaire suite à une autogreffe de cellules souches (AGCS), ou
suite à au moins deux thérapies antérieures lorsque l’AGCS ou la
chimiothérapie multi-agents n’est pas envisageable, et (2) le traitement
des patients adultes atteints de sALCL récidivant ou réfractaire.
ADCETRIS a reçu une autorisation de commercialisation de la part des
autorités de réglementation dans 55 pays.
Importantes informations américaines relatives à l’innocuité de
l’ADCETRIS
AVERTISSEMENT ENCADRÉ
Leucoencéphalopathie multifocale progressive (PML) : Une infection
par le virus JC entraînant une PML et le décès peut survenir chez les
patients traités par ADCETRIS.
Contre-indications :
L’utilisation concomitante d’ADCETRIS et de la bléomycine est
contre-indiquée en raison de la toxicité pulmonaire.
Avertissements et précautions :
-
Neuropathie périphérique : Le traitement par ADCETRIS provoque une
neuropathie périphérique de nature principalement sensorielle. Des cas
de neuropathie motrice périphérique ont également été signalés. La
neuropathie périphérique causée par ADCETRIS est cumulative.
Surveiller les patients pour déceler des symptômes de neuropathie,
tels l’hypoesthésie, l’hyperesthésie, la paresthésie, une gêne, une
sensation de brûlure, une douleur neuropathique ou une faiblesse, et
modifier le dosage en conséquence. -
Réactions à la perfusion : Des réactions liées à la perfusion, dont
l’anaphylaxie, sont survenues lors du traitement par ADCETRIS.
Surveiller les patients pendant la perfusion. Si une réaction à la
perfusion survient, il est nécessaire d’interrompre la perfusion et de
procéder à une prise en charge médicale appropriée. En cas
d’anaphylaxie, arrêter immédiatement et définitivement la perfusion et
administrer un traitement médical approprié. -
Toxicités hématologiques : une anémie ou une thrombocytopénie de grade
3 ou 4 ou une neutropénie sévère prolongée (≥1 semaine) peuvent
survenir lors du traitement par ADCETRIS. Des cas de neutropénie
fébrile ont été signalés lors de ce traitement. Surveiller la
numération globulaire avant chaque dose d’ADCETRIS et envisager une
surveillance plus fréquente des patients atteints de neutropénie de
grade 3 ou 4. Surveiller attentivement tout état fébrile chez les
patients. Si une neutropénie de grade 3 ou 4 se développe, il convient
de la gérer par l’administration d’un facteur stimulant les colonies
de granulocytes, en procédant à des reports ou des réductions de
doses, ou en interrompant le traitement. -
Infections graves et opportunistes : Des infections, telles la
pneumonie, la bactériémie et la septicémie/le choc septique (y compris
des issues fatales) ont été signalées chez les patients traités par
ADCETRIS. Surveiller attentivement les patients pendant le traitement
pour vérifier l’apparition éventuelle d’infections bactériennes,
fongiques ou virales. -
Syndrome de lyse tumorale : Surveiller attentivement les patients
présentant une tumeur proliférant rapidement ou une masse tumorale
importante. -
Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) : Des infections
par le virus JC entraînant une LEMP puis le décès ont été signalées
chez les patients traités par ADCETRIS. Outre le traitement par
ADCETRIS, les autres facteurs contributifs possibles incluent des
traitements antérieurs et une maladie sous-jacente pouvant entraîner
une immunosuppression. Envisager un diagnostic de LEMP chez tout
patient présentant des signes et des symptômes d’anomalies du système
nerveux central d’apparition récente. Pour évaluer la présence d’une
LEMP, il convient notamment de consulter un neurologue et d’effectuer
un IRM du cerveau, ainsi qu’une ponction lombaire ou une biopsie du
cerveau. Interrompre le traitement par ADCETRIS en cas de suspicion de
LEMP et l’arrêter en cas de confirmation du diagnostic. -
Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) : Des cas de SSJ ont été signalés
lors du traitement par ADCETRIS. En cas d’apparition d’un SSJ, arrêter
le traitement par ADCETRIS et administrer un traitement médical
approprié. -
Toxicité embryo-fœtale : ADCETRIS peut être préjudiciable au fœtus.
Les femmes enceintes doivent être informées du danger potentiel pour
le fœtus.
Effets indésirables
ADCETRIS a été étudié en monothérapie chez 160 patients dans le cadre de
deux essais de Phase 2. Lors de ces deux essais, les effets indésirables
les plus courants (≥ 20 %), indépendamment de la causalité, ont été la
neutropénie, la neuropathie périphérique sensorielle, la fatigue, les
nausées, l’anémie, les infections des voies respiratoires supérieures,
la diarrhée, la pyrexie, les éruptions cutanées, la thrombocytopénie, la
toux et les vomissements.
Interactions médicamenteuses
L’utilisation concomitante de puissants inhibiteurs ou inducteurs du
CYP3A4, ou d’inhibiteurs de la P-gp, peut potentiellement affecter
l’exposition au monométhyl auristatine E (MMAE).
Utilisation chez des populations spécifiques
L’exposition au MMAE et les effets indésirables sont accrus chez les
patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère, et une
insuffisance rénale sévère. Surveiller attentivement ces patients pour
déceler d’éventuels effets indésirables.
Pour obtenir des informations importantes additionnelles relatives à
la sécurité, notamment l’ENCADRÉ, veuillez consulter l’intégralité des
informations de prescription d’ADCETRIS, sur le site www.seattlegenetics.com ou
www.ADCETRIS.com.
Informations générales importantes relatives à la sécurité pour
ADCETRIS
ADCETRIS® est indiqué pour le traitement des patients adultes souffrant
de lymphome hodgkinien CD30-positif récidivant ou réfractaire :
- Suite à une autogreffe de cellules souches ou
-
Suite à au moins 2 traitements antérieurs lorsque l’autogreffe de
cellules souches n’est pas envisageable
ADCETRIS est indiqué pour le traitement des patients adultes souffrant
de lymphome anaplasique à grandes cellules systémique (sALCL) récidivant
ou réfractaire.
ADCETRIS est contre-indiqué chez les patients hypersensibles à ADCETRIS.
En outre, l’utilisation combinée de la bléomycine et d’ADCETRIS provoque
une toxicité pulmonaire, et est contre-indiquée.
ADCETRIS peut entraîner des effets indésirables graves, dont :
-
La Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) : Des
réactivations du virus John Cunningham (JCV) entraînant une LEMP puis
le décès ont été signalées chez les patients traités par ADCETRIS. Les
patients doivent être étroitement surveillés pour vérifier
l’apparition ou l’aggravation de signes ou de symptômes neurologiques,
cognitifs ou comportementaux pouvant évoquer une LEMP. -
Pancréatite : Des cas de pancréatites aiguës ont été observés
chez des patients traités par ADCETRIS. Des issues fatales ont été
signalées. Les patients doivent être étroitement surveillés pour
déceler l’apparition ou l’aggravation de douleurs abdominales. -
Toxicité pulmonaire : Des cas de toxicité pulmonaire ont été
signalés chez des patients traités par ADCETRIS. En cas d’apparition
ou d’aggravation des symptômes pulmonaires (par exemple, toux ou
dyspnée), un diagnostic rapide devra être réalisé. -
Infections graves et opportunistes : Des infections graves,
telles la pneumonie, la bactériémie à staphylocoque, la septicémie/le
choc septique (y compris des cas mortels), le zona et des infections
opportunistes, telles la pneumonie à Pneumocystis jiroveci et la
candidose orale, ont été signalées chez des patients traités par
ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant le
traitement pour déceler l’apparition éventuelle d’infections graves ou
opportunistes. -
Réactions liées à la perfusion : Des réactions immédiates et
différées dues à la perfusion, ainsi que des cas d’anaphylaxie, sont
survenus lors du traitement par ADCETRIS. Les patients doivent être
étroitement surveillés pendant et après une perfusion. -
Syndrome de lyse tumorale (SLT) : Des cas de SLT ont été
signalés avec ADCETRIS. Surveiller attentivement les patients
souffrant d’une tumeur proliférant rapidement ou d’une masse tumorale
importante, car ils présentent un risque de SLT et doivent être
traités conformément aux meilleures pratiques médicales. -
Neuropathie périphérique (NP) : Le traitement par ADCETRIS peut
entraîner une neuropathie périphérique de nature principalement
sensorielle. Des cas de neuropathie motrice périphérique ont également
été signalés. Les patients doivent être surveillés pour vérifier
l’apparition de symptômes de neuropathie périphérique, tels
l’hypoesthésie, l’hyperesthésie, la paresthésie, une gêne, une
sensation de brûlure, une douleur neuropathique ou une faiblesse. -
Toxicités hématologiques : Une anémie de grade 3 ou 4, une
thrombocytopénie et une neutropénie prolongée (égale ou supérieure à
une semaine) de grade 3 ou de grade 4 peuvent se produire lors du
traitement par ADCETRIS. Une numération globulaire complète doit être
effectuée avant l’administration de chaque dose. -
Neutropénie fébrile : Des cas de neutropénie fébrile ont été
signalés. Il est nécessaire de surveiller étroitement les patients
pour déceler la survenue éventuelle d’états fébriles et les traiter
conformément aux meilleures pratiques médicales. -
Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et Nécrolyse épidermique toxique
(NET) : Des cas de SSJ et de NET ont été signalés. Des issues
fatales ont été signalées. -
Hyperglycémie : Des cas d’hyperglycémie ont été signalés lors
des essais chez des patients possédant un indice de masse corporelle
(IMC) élevé, avec ou sans antécédents de diabète sucré. Les taux de
glucose sérique doivent être étroitement surveillés chez tous les
patients souffrant d’hyperglycémie. -
Insuffisance rénale et hépatique : L’expérience de
l’administration de ce traitement en présence d’une insuffisance
rénale et hépatique est limitée. L’analyse pharmacocinétique de
population a montré que la clairance de la MMAE pouvait être affectée
par une insuffisance rénale modérée ou sévère, et par de faibles
concentrations sériques de l’albumine. Des élévations du taux
d’alanine aminotransférase (ALAT) et de l’aspartate aminotransférase
(ASAT) ont été signalées. La fonction hépatique doit être surveillée
régulièrement chez les patients recevant du brentuximab védotine. -
Teneur en sodium des excipients : Ce médicament contient un
maximum de 2,1 mmol (ou 47 mg) de sodium par dose. Il convient de
prendre ceci en compte pour les patients suivant un régime alimentaire
à teneur réduite en sodium.
Les réactions médicamenteuses indésirables graves ont été : la
neutropénie, la thrombocytopénie, la constipation, la diarrhée, les
vomissements, la pyrexie, la neuropathie périphérique motrice et la
neuropathie périphérique sensorielle, l’hyperglycémie, la
polyneuropathie démyélinisante, le syndrome de lyse tumorale et le
syndrome de Stevens-Johnson.
ADCETRIS a été étudié en monothérapie chez 160 patients dans le cadre de
deux études de phase II. Dans les deux études, les effets indésirables
définis comme très fréquents (≥ 1/10) ont été les suivants : infections,
neutropénie, neuropathie périphérique sensorielle, diarrhée, nausées,
vomissements, alopécie, prurit, myalgie, fatigue, pyrexie et réactions
liées à la perfusion. Les effets indésirables définis comme courants (≥
1/100 à <1/10) ont été les suivants : infections des voies respiratoires
supérieures, zona, pneumonie, anémie, thrombocytopénie, hyperglycémie,
neuropathie motrice périphérique, étourdissements, polyneuropathie
démyélinisante, toux, dyspnée, constipation, éruptions cutanées,
arthralgie, dorsalgies et frissons.
Cette liste des effets secondaires potentiels d’ADCETRIS n’est pas
exhaustive. Veuillez vous référer au résumé des caractéristiques du
produit avant de prescrire ce traitement.
À propos de VELCADE®
VELCADE® (bortézomib) est un inhibiteur du protéasome homologué pour le
traitement des patients atteints d’un myélome multiple. VELCADE est
également homologué pour le traitement des patients atteints du lymphome
des cellules du manteau ayant déjà suivi au moins un autre traitement.
VELCADE® (bortézomib) est développé conjointement par Millennium/Takeda
et Janssen Pharmaceutical Companies. VELCADE est approuvé dans plus de
90 pays et a été utilisé dans le traitement de plus de 550.000 patients
à travers le monde.
VELCADE : Informations importantes concernant la sécurité
Les patients ne devraient pas être traités par VELCADE s’ils sont
allergiques au bortezomib, au bore ou au mannitol. Le VELCADE ne devrait
pas être administré par voie intrathécale. Il n’est pas conseillé à une
femme de tomber enceinte ni d’allaiter pendant un traitement par
VELCADE. Les patients souffrant de diabète pourraient nécessiter un
suivi rigoureux et une modification de la dose. VELCADE peut entraîner
des effets secondaires graves, notamment :
-
Neuropathie périphérique. Problèmes nerveux, pouvant être
graves, y compris une faiblesse musculaire, des picotements, une
sensation de brûlure, une douleur ou une perte de sensation dans les
mains et les pieds. -
Hypotension. Une chute de la pression artérielle
entraînant un étourdissement, un étourdissement ou un évanouissement. -
Problèmes cardiaques. Problèmes du rythme cardiaque et
insuffisance cardiaque, y compris l’aggravation de troubles existants.
Les symptômes peuvent inclure une oppression ou douleur de poitrine,
des palpitations, le gonflement des chevilles ou des pieds, et
l’essoufflement. -
Problèmes pulmonaires, dont certains se sont avérés mortels.
Les symptômes incluent la toux, l’essoufflement, les sifflements ou
des difficultés respiratoires. -
Problèmes hépatiques. Insuffisance hépatique, y compris
une coloration jaune des yeux et de la peau. -
Syndrome d’encéphalopathie postérieure réversible (PRES). Un
trouble rare et réversible touchant le cerveau. Les symptômes peuvent
inclure les convulsions, une hypertension, des maux de tête, la
fatigue, une confusion, une cécité ou d’autres troubles de la vue -
Troubles gastro-intestinaux. Nausées, vomissements,
diarrhées et constipation. -
Thrombocytopénie et neutropénie. Chute du taux de globules
rouges, qui pourrait accroître les risques d’infection ou de
saignement. -
Syndrome de lyse tumorale (TLS). Le TLS est un syndrome
qui entraîne un déséquilibre chimique dans le sang qui peut conduire à
des troubles cardiaques et/ou rénaux.
Les effets secondaires courants signalés chez les patients recevant
VELCADE sont, notamment : la fièvre, une diminution de l’appétit, la
fatigue et les éruptions cutanées.
Ce ne sont pas là tous les effets secondaires possibles du VELCADE.
Contacts
Takeda Pharmaceutical Company Limited
Médias japonais
Tsuyoshi
Tada, +81 (0) 3-3278-2417
tsuyoshi.tada@takeda.com
ou
Médias
hors Japon
Amy Atwood, +1-617-444-2147
amy.atwood@takeda.com
ou
Elizabeth
Pingpank, +1-617-444-1495
elizabeth.pingpank@takeda.com