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Lancement de 2 nouveaux essais cliniques au 3ème
trimestre de 2017 -
Lancement de la plateforme Invir.IOTM (nouvelle
génération de virus oncolytiques multifonctionnels) et collaboration
avec Randox -
40,0 millions d’euros de trésorerie disponible au 30 septembre 2017
et consommation de trésorerie en ligne avec les prévisions
STRASBOURG, France–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:
Transgene (Euronext Paris : TNG) (Paris:TNG), société de biotechnologie
qui conçoit et développe des immunothérapies reposant sur des vecteurs
viraux, publie aujourd’hui un point sur son activité du 3ème
trimestre 2017.
Au cours du trimestre, Transgene a continué de dérouler son plan de
développement. Deux essais cliniques ont démarré, combinant d’une part
Pexa-Vec avec nivolumab (cancer du foie) et d’autre part TG4001 avec
avelumab (cancers de la tête et du cou HPV-positifs). Aux États-Unis, la Food
and Drug Administration a donné son accord au lancement de l’essai
de TG4010 dans le cancer du poumon. À ce jour, 7 essais cliniques
évaluant les immunothérapies de Transgene sont en cours. Ils permettront
à nos 5 produits de fournir des résultats cliniques en 2018.
En parallèle, Transgene a publié, dans des revues scientifiques de
référence, des résultats scientifiques qui consolident le mécanisme
d’action de TG4010.
Enfin, avec Invir.IOTM, Transgene a confirmé son ambition et
sa vision pionnière dans le domaine des virus oncolytiques. Cette
plateforme permettra à la Société de concevoir une nouvelle génération
de virus oncolytiques multifonctionnels. Un premier accord de recherche
a été signé avec Randox.
« Nous sommes ravis des progrès accomplis en développement clinique
et en recherche depuis le début de 2017. Nous sommes en ligne avec les
objectifs annoncés en début d’année et allons continuer de délivrer un
flux de nouvelles très dense au cours des mois à venir. Notre situation
de trésorerie nous permet de confirmer notre visibilité financière
jusqu’à fin 2018 », ajoute Philippe Archinard,
Président-Directeur Général de Transgene.
Produits opérationnels :
Le tableau suivant résume l’évolution des produits opérationnels au
cours du troisième trimestre de l’année 2017, en comparaison avec la
même période en 2016 :
Troisième trimestre |
Neuf premiers |
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En millions d’euros | 2017 | 2016 | 2017 | 2016 | ||||||||||||||
Revenus des accords de collaboration et de licence | 0,3 | 0,1 | 0,7 | 2,0 | ||||||||||||||
Financements publics de dépenses de recherche | 1,1 | 1,4 | 4,2 | 4,4 | ||||||||||||||
Produits opérationnels | 1,4 | 1,5 | 4,9 | 6,4 | ||||||||||||||
Au cours du troisième trimestre 2017, les revenus des accords de
collaboration et de licence se composent essentiellement de prestations
de recherche, dont la collaboration avec Servier démarrée en juin 2017,
et de redevances sur licences.
Au 30 septembre 2017, les financements publics de dépenses de recherche
correspondent principalement au crédit d’impôt recherche et représentent
les trois quarts du montant attendu pour 2017. Au troisième
trimestre 2017, ce crédit d’impôt représente 4,2 millions d’euros,
contre 4,4 millions sur la même période en 2016.
Trésorerie et équivalents de trésorerie,
actifs financiers disponibles à la vente, autres actifs financiers
courants :
La trésorerie et équivalents de trésorerie, les actifs financiers
disponibles à la vente et les autres actifs financiers courants
s’élèvent à 40,0 millions d’euros au 30 septembre 2017, contre
56,2 millions d’euros au 31 décembre 2016.
Sur les neuf premiers mois de l’année 2017, la consommation de
trésorerie nette s’est élevée à 16,2 millions d’euros, contre 16,3
millions d’euros sur la même période en 2016, hors prêt reçu de la BEI
et augmentation de capital.
La consommation de trésorerie a été de 3,9 millions d’euros sur le
troisième trimestre de l’année 2017. Au cours de cette période, la
Société a notamment encaissé 2,5 millions d’euros de subventions et
d’avances remboursables de la part de bpifrance au titre du solde du
programme ADNA. Pour rappel, la consommation de trésorerie était de 12,3
millions d’euros au premier semestre 2017 et intégrait notamment le
versement d’une prime d’étape à SillaJen, Inc. de 4 millions de dollars,
ainsi que 5,4 millions d’euros d’encaissement sur le crédit d’impôt
recherche.
Perspectives :
La Société confirme sa prévision de consommation de trésorerie de
l’ordre de 30 millions d’euros sur l’année 2017 basée sur le plan de
développement actuellement programmé.
Faits marquants de la période :
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TG4010 :
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Autorisation de la FDA pour initier l’essai clinique de TG4010 +
nivolumab + chimiothérapie en 1ère ligne de traitement
du cancer du poumon (NSCLC), dans le cadre de la collaboration
avec Bristol-Myers Squibb (communiqué du 11 septembre 2017) ; -
Parution de deux publications scientifiques renforçant la
démonstration du mécanisme d’action de TG4010 et des effets
synergiques obtenus en combinaison avec des ICIs (communiqué du
12 octobre 2017).
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Autorisation de la FDA pour initier l’essai clinique de TG4010 +
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Pexa-Vec :
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Premier patient traité dans l’étude de Phase 1/2 évaluant la
combinaison de Pexa-Vec et de nivolumab (ICI) dans le traitement
en 1ère ligne du cancer du foie avancé (communiqué du
31 juillet 2017) ; -
Présentation au congrès de l’ESMO 2017 d’un poster sur les
résultats de la Phase 1 de l’essai METROmaJX
(Pexa-Vec + cyclophosphamide métronomique)
(communiqué du 7 septembre 2017).
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Premier patient traité dans l’étude de Phase 1/2 évaluant la
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TG4001 :
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Premier patient traité dans l’essai clinique de Phase 1 b/2
combinant TG4001 et avelumab (ICI) dans les cancers de la tête et
du cou HPV-positifs, dans le cadre de la collaboration avec
Merck KGaA/Pfizer (communiqué du 19 septembre 2017).
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Premier patient traité dans l’essai clinique de Phase 1 b/2
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TG1050 :
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Présentation au congrès de l’AASLD Liver Meeting 2017
des premières données de TG1050 indiquant une induction d’une
réponse immunitaire robuste et spécifique chez des patients
atteints d’hépatite B chronique (communiqué du 17 octobre 2017).
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Présentation au congrès de l’AASLD Liver Meeting 2017
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Nouveaux virus oncolytiques – Plateforme Invir.IOTM :
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Publication dans Cancer Research de données confirmant le
potentiel de la nouvelle génération de virus oncolytiques armés de
Transgene (communiqué du 24 juillet 2017) ; -
Présentation de Invir.IOTM, plateforme intégrée sur
laquelle repose la nouvelle génération de virus oncolytiques
multifonctionnels (communiqué du 21 septembre 2017) ; -
Accord de collaboration entre Transgene et Randox pour développer
une nouvelle génération de virus oncolytiques exprimant les
anticorps issus du développement de Randox, grâce à la plateforme
Invir.IOTM (communiqué du 2 octobre 2017).
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Publication dans Cancer Research de données confirmant le
À propos de Transgene
Transgene (Euronext : TNG), qui fait partie de l’Institut Mérieux, est
une société de biotechnologie qui conçoit et développe des produits
d’immunothérapie ciblée contre les cancers et les maladies infectieuses.
Ces produits utilisent des vecteurs viraux pour détruire directement ou
indirectement les cellules infectées ou cancéreuses.
Les principaux produits en développement clinique de Transgene sont :
TG4010, un vaccin thérapeutique contre le cancer du poumon non à petites
cellules, Pexa-Vec, un virus oncolytique contre le cancer du foie et
TG4001, un vaccin thérapeutique contre les cancers positifs au HPV. La
Société a également plusieurs autres programmes en recherche et en
développement clinique, dont TG1050 (hépatite B chronique) et TG6002
(tumeurs solides).
Transgene est basée à Strasbourg et a des activités opérationnelles à
Lyon et une joint-venture en Chine. Plus d’informations sur www.transgene.fr.
Suivez-nous sur Twitter : @TransgeneSA
Déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des informations et/ou déclarations
prospectives de Transgene concernant sa situation financière, y compris
sa consommation de trésorerie. Bien que la Société considère que ces
informations et projections sont fondées sur des hypothèses
raisonnables, elles peuvent être remises en cause par un certain nombre
d’aléas et d’incertitudes, de sorte que les résultats effectifs
pourraient différer significativement de ceux anticipés et pourraient
avoir un impact négatif significatif sur les activités de la Société,
ses perspectives, sa situation financière, ses résultats ou ses
développements. La capacité de la Société à commercialiser ses produits
est soumise notamment, mais pas exclusivement, aux facteurs suivants :
la reproduction chez l’homme de résultats précliniques positifs ; la
réussite d’essais cliniques, la capacité à obtenir des financements
et/ou des partenariats pour le développement et la commercialisation des
produits, et l’obtention des autorisations réglementaires de mise sur le
marché. Pour une description des risques et incertitudes de nature à
affecter les résultats, la situation financière, les performances ou les
réalisations de la Société et ainsi à entraîner une variation par
rapport aux déclarations prospectives, veuillez-vous référer à la
section « Facteurs de Risque » du Document de Référence, disponible sur
les sites internet de l’AMF (www.amf-france.org)
et de la Société (www.transgene.fr).
Contacts
Transgene
Lucie Larguier, +33 (0)3 88 27 91 04
Directeur
Communication Corporate
& Relations Investisseurs
investorrelations@transgene.fr
ou
Relations
Médias :
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