Un rapport publié à la veille de la Journée mondiale du diabète
appelle à une approche cohérente à l’échelle de la région pour
s’attaquer à la charge sans cesse croissante du diabète
BRUXELLES–(BUSINESS WIRE)–Un nouveau rapport publié aujourd’hui et intitulé Diabetes in the
Gulf: The policy challenge (Le diabète dans le Golfe : l’enjeu
politique) appelle les décideurs politiques de la région du Golfe à
faire davantage d’efforts pour s’attaquer au défi sans cesse croissant
du diabète. Le rapport, développé par l’Economist Intelligence Unit
(EIU) et sponsorisé par Janssen, souligne une brusque hausse de la
prévalence du diabète et les coûts économiques croissants associés, et
appelle à une approche cohérente à l’échelle de la région pour
s’attaquer au problème.
Le diabète est une bombe à retardement dans la région du Golfe. Des
données de la Fédération Internationale du Diabète (FID) montrent que la
prévalence de la maladie a atteint 23,9 % de la population adulte en
Arabie saoudite, 23,1 % au Koweït et 19,8 % au Qatar, soit plus du
double de la moyenne mondiale qui est de 8,3 %. Le surpoids et
l’obésité, découlant de la hausse de la prospérité économique, sont
responsables de l’épidémie de diabète dans cette région, jusqu’à 75 %
des adultes et jusqu’à 40 % des moins de 18 ans étant en surpoids ou
obèses.
En conséquence, la charge financière du diabète dans la région est
élevée et pourrait potentiellement augmenter encore. Le rapport précise
que 16,8 milliards de dollars ont été dépensés pour les soins liés au
diabète en 2014, selon des estimations de l’IDF, et que ce chiffre
pourrait atteindre 24,7 milliards de dollars d’ici 2035. Par ailleurs,
alors que les personnes développent le diabète à un âge plus jeune, un
nombre croissant de patients vivent avec la maladie un plus grand nombre
d’années, ce qui augmente sensiblement les coûts par personne des soins
aux patients.
Avec des investissements dans le secteur de la santé compris entre 2,2
et 4,9 % du PIB dans la région du Golfe en 2012, bien en dessous de la
moyenne de l’OCDE de 8,9 % du PIB, il existe un potentiel significatif
d’augmentation des niveaux d’investissement dans les soins de santé dans
cette région. Cependant, il est important de noter qu’il n’est pas
seulement question de la somme d’argent dépensée pour traiter le
diabète, mais aussi de la manière dont cet argent est investi. Le
rapport souligne que, bien que plusieurs initiatives soient en cours de
mise en œuvre dans la région du Golfe, y compris celles ciblant des
aspects spécifiques de la maladie comme le dépistage, la réponse n’est
pas appliquée uniformément dans l’ensemble de la région.
« Notre étude a révélé un certain nombre d’opportunités pour aider à
combattre l’augmentation du diabète dans la région du Golfe », a déclaré
Martin Koehring, rédacteur du rapport à l’EIU. « Du renforcement des
soins de santé primaires à l’introduction d’une nouvelle législation
stricte et à l’engagement des dirigeants communautaires, les décideurs
politiques doivent adopter des pratiques régionales pour s’attaquer à la
charge croissante du diabète dans le Golfe. »
« La hausse du diabète dans la région du Golfe est un problème majeur de
santé publique et représente un risque important pour le développement
futur », a déclaré Jane Griffiths, présidente du groupe Janssen pour
l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. « Janssen s’engage à investir
dans des initiatives locales et régionales pour aider à s’attaquer à la
charge du diabète dans la région. Nous espérons que ce rapport offrira
des perspectives précieuses sur la charge de la maladie et encouragera
le changement dans la manière dont les décideurs politiques combattent
la maladie. »
Le rapport Diabetes in the Gulf: The policy challenge peut être
consulté en ligne sur le site : http://www.janssen-emea.com/node/1379
-FIN-
NOTES À L’ATTENTION DES RÉDACTEURS
À propos du rapport Diabetes in the Gulf: The policy challenge
Diabetes in the Gulf: The policy challenge est un rapport de
l’Economist Intelligence Unit, sponsorisé par Janssen. Il évalue la
situation actuelle et l’impact potentiel du diabète dans les six États
du Conseil de coopération du Golfe (Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar, Arabie
saoudite et Émirats arabes unis) ; il passe en revue les approches
actuelles pour s’attaquer à la maladie dans la région et explore
d’autres opportunités possibles pour aider à combattre le diabète. La
forme de diabète étudiée dans ce rapport est le diabète de type 2.
En juillet-août 2015, l’Economist Intelligence Unit (EIU) a réalisé 18
interviews avec des experts du diabète dans la région du Golfe, dont des
décideurs politiques, des conseillers en politiques, des universitaires
et des praticiens de la santé. Les aperçus tirés de ces interviews
approfondies apparaissent tout au long du rapport.
À propos de l’Economist Intelligence Unit
L’Economist Intelligence Unit (EIU) est le chef de file en matière de
veille économique mondiale. C’est la division B2B de The Economist
Group, qui publie le journal The Economist. L’EIU aide les dirigeants à
prendre de meilleures décisions en fournissant des analyses fiables,
impartiales et opportunes sur les stratégies commerciales et les
tendances de marché à l’échelle mondiale. Pour tout complément
d’information, rendez-vous sur www.eiu.com
ou www.twitter.com/theeiu.
À propos de Janssen
Les sociétés pharmaceutiques Janssen du groupe Johnson & Johnson
s’emploient à répondre aux besoins médicaux non satisfaits les plus
importants de notre époque dans des domaines tels que l’oncologie (par
ex. le myélome multiple et le cancer de la prostate), l’immunologie (par
ex. le psoriasis), les neurosciences (par ex. la schizophrénie, la
démence et la douleur), les maladies infectieuses (par ex. le SIDA/VIH,
l’hépatite C et la tuberculose) ainsi que les maladies cardiovasculaires
et métaboliques (par ex. le diabète). Pour tout complément
d’information, veuillez consulter le site www.janssen.com.
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