Primes de licenciement : les ex-salariés de Microsoft ne rembourseront pas le trop-perçu
Face aux critiques, l’éditeur ne réclamera pas à ses anciens employés de rembourser les sommes versées en trop avec leur prime de licenciement.
Microsoft est revenu sur sa décision très controversée d’exiger le remboursement du trop-perçu des primes de licenciement de certains de ses employés. L’éditeur de logiciels a été vertement critiqué pour avoir réclamé à 25 anciens salariés le remboursement du trop-perçu sur leurs indemnités de licenciement, suite à une erreur commise par la direction des ressources humaines.
Mais aujourd’hui, la firme de Redmond revient sur sa décision d’exiger le remboursement des trop-perçus : « La semaine dernière, 25 anciens employés de Microsoft ont été informés qu’ils avaient perçu des indemnités de licenciement supérieures à celles normalement prévues par l’entreprise. Il s’agit d’une erreur de notre part. Nous aurions dû gérer cette situation de façon plus réfléchie. Nous tenons à informer les personnes concernées que nous ne leur réclamerons aucun remboursement. », a précisé l’éditeur dans un communiqué. D’autres collaborateurs licenciés ayant touché moins que prévu seront par ailleurs remboursés.
Microsoft avait annoncé la suppression de 5 000 postes en janvier dernier. Environ 1 400 salariés ont déjà été effectivement licenciés. Une seconde vague de licenciements touchant 4 000 emplois se poursuivra ces 18 prochains mois.
Microsoft est revenu sur sa décision très controversée d’exiger le remboursement du trop-perçu des primes de licenciement de certains de ses employés. L’éditeur de logiciels a été vertement critiqué pour avoir réclamé à 25 anciens salariés le remboursement du trop-perçu sur leurs indemnités de licenciement, suite à une erreur commise par la direction des ressources humaines.
Mais aujourd’hui, la firme de Redmond revient sur sa décision d’exiger le remboursement des trop-perçus : « La semaine dernière, 25 anciens employés de Microsoft ont été informés qu’ils avaient perçu des indemnités de licenciement supérieures à celles normalement prévues par l’entreprise. Il s’agit d’une erreur de notre part. Nous aurions dû gérer cette situation de façon plus réfléchie. Nous tenons à informer les personnes concernées que nous ne leur réclamerons aucun remboursement. », a précisé l’éditeur dans un communiqué. D’autres collaborateurs licenciés ayant touché moins que prévu seront par ailleurs remboursés.
Microsoft avait annoncé la suppression de 5 000 postes en janvier dernier. Environ 1 400 salariés ont déjà été effectivement licenciés. Une seconde vague de licenciements touchant 4 000 emplois se poursuivra ces 18 prochains mois.