« Apporter la réservation full online au secteur de l’événementiel » : ainsi Privateaser présente-t-il sa vision dans le cadre de ses offres d’emploi.
La start-up basée à Paris prépare une vague de recrutements à la suite d’une levée de fonds sans précédent : 3 millions d’euros, avec le concours du fonds ISAI, monté par des personnalités du Web comme Pierre Kosciusko-Morizet, Tariq Krim et Stéphane Treppoz.
Un premier financement était intervenu en mars 2015 : quelques mois après le démarrage de la phase commerciale, le fonds d’amorçage Kerala Ventures (Doctolib, Hopwork, Clickon, Admo.tv…) et Yvan Wibaux (cofondateur d’Evaneos, spécialiste des voyages sur mesure) avaient injecté 300 000 euros.
À l’époque, Privateaser se concentrait sur la réservation et la privatisation de bars dans la capitale. Un an plus tard, lors d’un deuxième tour de table (500 000 euros avec les mêmes investisseurs), la jeune pousse avait étendu le périmètre de son offre en incluant restaurants et salles de location, tout en ayant développé une approche BtoB. Elle envisageait alors une expansion à Londres et à Madrid.
On en est finalement resté au marché français, avec deux villes ouvertes depuis lors : Bordeaux et Toulouse. Le catalogue y est encore limité, avec moins d’une vingtaine d’établissements référencés, toutes catégories confondues. On en trouve en revanche près d’un millier sur Paris et ses environs.
Le moteur de recherche permet un filtrage par date, nombre d’invités, format (repas assis, conférence, cocktail…), horaires d’ouverture, type de paiement souhaité, disponibilité d’une offre spéciale négociée par Privateaser, type de restauration (planches et tapas, cocktail dînatoire, gâteaux d’anniversaire proposés…) et services (karaoké, matériel de projection, terrasse, baby-foot…).
Le penchant BtoB est décliné sous l’angle des afterworks, des pots de départ, des séminaires ou encore des lancements de produits. Il a, d’après Stratégies, séduit un demi-millier d’entreprises, pour un cumul de 600 000 participants aux événements organisés depuis l’ouverture de la plate-forme il y a un peu plus de deux ans.
Après six mois passés au sein de l’incubateur de Centrale Paris, dont sont issus ses trois cofondateurs, la SAS avait déménagé au Welcome City Lab pour rejoindre sa deuxième promotion. Son modèle économique repose aujourd’hui sur le prélèvement d’une commission auprès des établissements partenaires. Touléco évoque 10 % de chaque transaction, ce qui aurait permis de dégager un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros en 2015.
* Nicolas Furlani est président. Raphaël Kolm et Alexandre Paepegaey sont codirecteurs généraux. Le premier est à l’origine de Career Opener, portail Web à destination des grandes écoles et des universités. Le second a fait un passage chez Withings dans le cadre de la création de son bureau américain.
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