Google devait réagir face à la polémique sur la diffusion de publicité associée à du contenu indésirable.
Pour marquer le coup, la branche britannique de l’agence publicitaire Havas a décidé d’interrompre les campagnes de ses clients annonceurs sur les services du groupe Internet incluant YouTube.
En qualité de Chief Business Officer chez Google, Philipp Schindler exprime ses excuses aux marques offensées, dans une contribution blog en date du 21 mars.
« Nous avons des règles strictes pour déterminer où les publicités diffusées sur le réseau Google doivent apparaître. Et, dans la grande majorité des cas, les dispositions et les outils fonctionnent comme prévu. Mais, quelque fois, cela ne marche pas correctement », évoque le représentant du groupe Internet à qui on a filé la patate chaude.
Pour tenter d’apaiser la tension avec les annonceurs, Google annonce qu’il va adopter « une position plus ferme concernant les contenus haineux, offensants ou insultants ».
Le groupe Internet va également fournir aux annonceurs et aux agences médias des nouveaux modules de contrôles pour gérer la diffusion de la publicité sur le réseau Google et au-delà. Cela commence par les paramètres par défaut qui vont d’emblée exclure des sites Web aux contenus prêtant à polémique.
Libre aux annonceurs de se manifester en mode opt-in pour élargir le spectre de difffusion. Il sera également possible d’éluder plus rapidement des sites Web spécifiques ou des catégories thématiques en cas de diffusion de campagnes sur les plateformes AdWords for Video et Google Display Network.
Tertio, de nouveaux modules de contrôle vont faciliter les démarches des marques qui souhaitent écarter « du contenu représentant un risque plus important » et qui veulent affiner l’exposition de leurs publicités.
Selon The Guardian, le cercle de contestation s’étend : 250 firmes ou institutions ont annoncé leur intention de suspendre leur campagne sur Google et YouTube. Avec des marques prestigieuses dans le lot comme la BBC, L’Oréal, HSBC, Royal Bank of Scotland, Lloyds, Audi, Channel 4 et…The Guardian.
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