Entre Facebook et Twitter, les initiatives se suivent et se ressemblent en matière de transparence publicitaire.
Après s’être concentrés sur les annonceurs politiques, les deux groupes élargissent progressivement leurs démarches.
Du côté de Twitter, on lance officiellement un « centre de transparence » où sont regroupés tous les produits de publicité payante qui apparaissent sur le réseau social.
L’affichage se fait compte par compte, pour tous les formats diffusés sur les 7 derniers jours, à l’exception des vidéos in-stream.
Il n’est pas nécessaire d’être inscrit sur Twitter pour accéder à ces informations – qui incluent notamment le nombre de retweets et de mises en favoris – et signaler d’éventuelles publicités problématiques.
Les données sont plus précises pour les annonces à caractère politique. On peut notamment accéder aux budgets associés, aux sources de financement, ainsi qu’au public ciblé et à celui finalement touché. Autre particularité : les créas liées à des campagnes terminées restent accessibles.
Ne sont pour le moment concernées que les annonces diffusées dans le cadre d’élections fédérales aux États-Unis par des comptes certifiés au préalable.
L’ouverture à l’international se fera parallèlement à l’extension des lignes directrices qui ont vu le jour le mois dernier. Elles imposent aux annonceurs politiques de prouver leur identité et leur localisation aux États-Unis.
Facebook aussi avait instauré des lignes directrices au mois de mai. Depuis lors, sur le réseau social comme sur Instagram et Messenger, les annonces liées à des élections aux États-Unis doivent être clairement indiquées. La source de financement doit tout particulièrement être mentionnée.
Des options supplémentaires font aujourd’hui leur entrée sur les pages Facebook. Un onglet « Informations et publicités » permet à chaque utilisateur de voir les annonces diffusées, y compris celles auxquelles il n’est pas exposé.
Facebook fournit par ailleurs davantage d’informations sur les pages (date de création, historique des changements de nom récents…), qu’elles soient ou non à l’origine d’annonces publicitaires.
Comme sur Twitter, le système d’archives sera réservé aux publicités à contenu politique.
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