Ils seraient plus d’un demi-million d’internautes à consulter Twitter sans être connectés ou sans disposer de compte.
Comment monétiser cette audience ? C’est l’une des questions que se pose actuellement le réseau social.
Il avait d’abord été question de placer de la publicité au sein des tweets intégrés dans des pages Web ou repris par des applications tierces.
La démarche pourrait être moins directe, selon le Wall Street Journal : Twitter inclurait des contenus publicitaires sur les profils de ses membres ainsi que sur la page qui s’ouvre lorsqu’un utilisateur non connecté clique sur un tweet pour visualiser les réponses et commentaires associés.
Ces pubs seraient visibles quelle que soit l’origine du trafic ; y compris, donc, les messageries électroniques.
D’après le COO Adam Bain, cette audience représente une manne de plus d’un milliard de dollars, quand bien même un utilisateur non connecté vaut moins (2,50 dollars en moyenne) qu’un twittos clairement identifié (4 dollars).
Le déploiement sera progressif, avec un focus initial sur le desktop, « où évoluent beaucoup d’utilisateurs non connectés », toujours selon Adam Bain.
Des doutes subsistent toutefois sur la qualité du ciblage : aucun tweet à disposition, aucune liste d’abonnements ou d’abonnés…
Mais Twitter est formelle : la page d’origine de l’internaute suffit à apporter de nombreux éléments de contexte. Par exemple, s’il s’agit de la biographie d’un acteur, on pourra lui montrer une publicité pour son dernier film.
Le format vidéo devrait être exploité en priorité, dans un premier temps avec une sélection d’annonceurs aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Japon et en Australie. L’accent sera mis sur le « call-to-action », à travers des boutons qui inciteront les utilisateurs à cliquer.
Ce n’est pas la première fois que Twitter regarde au-delà de son réseau social sur le volet publicitaire. Illustration avec cette fonctionnalité lancée en début d’année et qui permet aux annonceurs de cibler des segments d’audience précis en fonction de leurs habitudes, à partir de signaux détectés sur les réseaux de partenaires comme Axciom et Datalogix.
Crédit photo : Butterfly Hunter – Shutterstock.com
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