« Nous n’avons pas – si j’en crois mes collègues qui ont fait l’évaluation – de partenaires qui font K8S [Kubernetes, ndlr] et FPGA dans le cloud. »
Chargé de promouvoir la mission et les valeurs de Qwant, Tristan Nitot a ainsi répondu à un twitteur qui s’interrogeait sur la décision de louer des capacités à Microsoft plutôt qu’à une entreprise française ou européenne.
Un test a eu lieu avec OVH, qui propose depuis peu K8S et expérimente le FPGA. Mais les résultats « n’ont pas été probants ».
Microsoft était déjà partenaire de Qwant pour la régie publicitaire. Il fournit aussi sa technologie pour compléter certains résultats de recherche (notamment sur les images, où les capacités de stockage sont importantes).
S’y ajoute désormais de la location de serveurs, exclusivement pour la partie indexation*. Objectif : référencer 80 milliards de pages en plus des 20 milliards déjà indexées, dans un contexte de croissance des requêtes (leur volume double chaque année).
* La vie privée n’est donc pas menacée par cet accord, insiste Tristan Nitot. Seules des données issues du web, et donc publiques, seront traitées par les algorithmes de Qwant qui tourneront sur les serveurs loués à Microsoft.
Photo d’illustration © Alain Mbouche / Qwant
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