L’émergence des réseaux sociaux et des solutions unifiées de communication multicanal a redéfini le travail collaboratif en milieu professionnel. Mais les entreprises hésitent encore à franchir le pas.
La dernière étude du cabinet Markess en ce sens fait pourtant état d’un marché à 1 milliard d’euros sur l’exercice 2011.
Des 200 responsables interrogés à cette occasion, près de 90% ont déjà mis en place de telles solutions ou envisagent un déploiement sur les douze mois à venir.
Près des deux tiers estiment en tirer un gain significatif de productivité, jusque dans le cadre du télétravail (40% des sondés).
Quasi systématique à l’avènement d’Internet et des réseaux d’entreprise, le recours à des éditeurs tiers généralistes (IBM, Microsoft) s’efface au profit de leurs homologues spécialisés (Cisco, Oodrive) et des SSII.
Pour Didier Krainc, directeur général d’IDC, il convient d’impliquer dans cette profonde mutation des environnements de travail les plates-formes communautaires (40% de croissance à l’horizon 2015).
A l’instar du « Bring-your-own-Device » et de la consumérisation qui en découle, les réseaux sociaux influent sur les comportement du salarié ainsi que sur les actions collaboratives qu’il est à même d’entreprendre, fort d’un pouvoir décisionnaire accru.
Les recruteurs, parmi lesquels 60% reconnaissent impliquer Facebook et consorts dans leur processus de sélection de candidats, n’y sont plus insensibles. Seul un sondé sur cinq affirme ne pas y porter attention par pure conviction.
Mais alors que les systèmes d’agrégation et de stockage de l’information se diversifient dans leur évolution vers le dématérialisé, les infrastructures nécessaire à leur déploiement se multiplient et s’imposent comme un obstacle à la transversalité des communications.
La définition de politiques de confidentialité et de circuits de transmission de l’information induit notamment la délimitation de domaines de compétences et à cet égard, d’objectifs pour chaque projet de collaboration.
Entre téléphone, courriels, visioconférence, messagerie instantanée, agendas, workflows, il s’agit d’adapter l’organisation du travail et des ressources (choix des logiciels) aux usages ainsi qu’aux individus concernés. Un défi à relever pour les PME comme pour les grands comptes.
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