Sagemcom enrichit son écosystème de numérisation Demat’Box
A son écosystème de numérisation Demat’Box, Sagemcom adjoint le Demat-Store, un coffre-fort numérique accessible via un navigateur Web ultra-sécurisé fourni sur une clé USB cryptée.
Déployée en octobre dernier, la Demat’Box de Sagemcom, véritable écosystème autonome de numérisation directement connecté au cloud sans dépendre d’un poste de travail, s’enrichit d’une clé USB sécurisée, liée à un coffre-fort numérique dénommé Demat-Store.
Cet ensemble articulé autour d’un scanner proscrit l’archivage sur site et lui substitue la transmission instantanée des données (acquises au format PDF), par HTTPS, à destination d’un espace de stockage hébergé à distance, dans le cloud de Sagemcom, pour une durée de 30 ans, sans nécessité d’un abonnement.
Libérée de tout intermédiaire sinon une connexion Internet et un routeur configuré au préalable, la Demat’Box se suffit à elle-même, reliée au réseau par Ethernet (100 Mbits/s) ou Wi-Fi 802.11n avec cryptage WPS.
D’autres constructeurs tels le déchu Kodak et l’ambitieux Canon lui préfèrent des solutions dépendantes d’un terminal maître et jouent l’universalité en y intégrant le logiciel, pour plus de souplesse dans l’exercice de la mobilité, en contrepartie d’exigences matérielles supérieures.
Au regard de la cadence affichée (20 pages par minute en recto / verso noir et blanc à 200 dpi) et d’un prix public conseillé à 297 euros TTC, la Demat’Box se destine aux entreprises dont les volumes de numérisation s’élèvent à quelques milliers de documents par jour.
Dernière plus-value en date, l’adjonction du Demat-Store, allié à cette clé USB qui intègre un navigateur Internet, en l’occurrence DS Browser, canal ultra-sécurisé de navigation anonyme, sans cookies ni historique rémanent stocké sur le disque dur du poste client.
Destiné « aux particuliers comme aux entreprises« , l’ensemble fait l’objet d’une distribution restreinte aux trois partenaires commerciaux que sont Demat-Store, Primobox et Yooz.
Unique acteur sur un tel marché à ses balbutiements, Sagemcom n’a pas souhaité communiquer les conclusions initiales de ce concept dont il se revendique l’instigateur.