Salesforce.com veut aussi tirer profit des réseaux sociaux

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Avec la sortie de « Salesforce to Salesforce », le prestataire e-CRM offre à ses utilisateurs une plate-forme complète de partage des données.

Salesforce.com a présenté une nouvelle fonction qui permet à ses clients de constituer un réseau sur son service d’entreprise hébergé. « Salesforce to Salesforce » permet aux utilisateurs de partager des données de Force.com, le framework utilisé comme plate-forme pour les services d’entreprise hébergés de Salesforce.com

Le service a vocation à remplacer les tâches qui impliquaient un partage de documents, par exemple l’extraction des données d’une feuille de calcul ou le partage d’informations client.

L’interface permet aux entreprises de choisir les données accessibles et de spécifier les partenaires autorisés à transférer leurs données à d’autres utilisateurs de Salesforce.com.

Si Salesforce to Salesforce n’est autre qu’une application d’entreprise, le service trouve ses origines dans le domaine des réseaux sociaux grand public.

La fonction s’inspire de plates-formes comme Facebook et LinkedIn, qui permettent aux utilisateurs de choisir les informations de profil que l’on souhaite diffuser à son réseau.

Toutes les applications Salesforce.com utilisant la même base de code, le prestataire estime que cela facilitera les échanges de données entre des applications différentes. Il ne sera plus nécessaire de convertir ou de traduire leurs fichiers ou documents.

« Salesforce est la seule société à offrir ce service car nous avons passé huit ans à développer cette plate-forme robuste », explique Bruce Francis, directeur de la stratégie chez Salesforce.com. « Nous avons atteint un niveau où chacun dispose de ces noeuds. Nous avons atteint une masse critique, et c’est là que la magie opère. »

Au cours des dernières années, Salesforce.com est passé d’un service de gestion des ressources client pour PME à une plate-forme logicielle d’entreprise complète entièrement hébergée en ligne.

La société espère attirer plus d’un million de clients d’ici la fin décembre. « Nous sommes épatés d’en être arrivés là », ajoute Bruce Francis. « Cela a réellement captivé l’industrie du logiciel. »

Salesforce.com a présenté une nouvelle fonction qui permet à ses clients de constituer un réseau sur son service d’entreprise hébergé. « Salesforce to Salesforce » permet aux utilisateurs de partager des données de Force.com, le framework utilisé comme plate-forme pour les services d’entreprise hébergés de Salesforce.com

Le service a vocation à remplacer les tâches qui impliquaient un partage de documents, par exemple l’extraction des données d’une feuille de calcul ou le partage d’informations client.

L’interface permet aux entreprises de choisir les données accessibles et de spécifier les partenaires autorisés à transférer leurs données à d’autres utilisateurs de Salesforce.com.

Si Salesforce to Salesforce n’est autre qu’une application d’entreprise, le service trouve ses origines dans le domaine des réseaux sociaux grand public.

La fonction s’inspire de plates-formes comme Facebook et LinkedIn, qui permettent aux utilisateurs de choisir les informations de profil que l’on souhaite diffuser à son réseau.

Toutes les applications Salesforce.com utilisant la même base de code, le prestataire estime que cela facilitera les échanges de données entre des applications différentes. Il ne sera plus nécessaire de convertir ou de traduire leurs fichiers ou documents.

« Salesforce est la seule société à offrir ce service car nous avons passé huit ans à développer cette plate-forme robuste », explique Bruce Francis, directeur de la stratégie chez Salesforce.com. « Nous avons atteint un niveau où chacun dispose de ces noeuds. Nous avons atteint une masse critique, et c’est là que la magie opère. »

Au cours des dernières années, Salesforce.com est passé d’un service de gestion des ressources client pour PME à une plate-forme logicielle d’entreprise complète entièrement hébergée en ligne.

La société espère attirer plus d’un million de clients d’ici la fin décembre. « Nous sommes épatés d’en être arrivés là », ajoute Bruce Francis. « Cela a réellement captivé l’industrie du logiciel. »