Samsung veut démontrer que le nouveau Galaxy S3 a sa place en entreprise.
Le fabricant leader mondial de téléphones mobiles considère que sa gamme phare de smartphones sous Android est en mesure de répondre aux enjeux de la mobilité du salarié.
Son exploitation s’inscrirait même de fait dans la problématique du BYOD (combinaison des terminaux professionnels et personnels dans l’enceinte des entreprises).
A cet égard, le voici gratifié d’une certification Samsung Approved For Enterprise (SAFE) déjà propre au Galaxy Note.
Sécurité, accessibilité, collaboration…le fabricant high-tech coréen livre à satiété les bénéfices du S3 en milieu professionnel. Tout du moins sur le papier.
De telles prétentions impliquent de tirer parti, en première instance, des capacités natives d’Android et des services Google en la matière : agenda, listes de contacts, synchronisation, visualisation des courriels en HTML, notifications, etc.
Et d’y adjoindre dans un deuxième temps des composantes maison (sauvegarde de données, reprise des téléchargements, définition d’actions automatisées…), dont certaines élaborées en partenariat avec des éditeurs tels Afaria, AirWatch, Juniper ou Sybase.
Avec en toile de fond la fragmentation d’Android, Samsung met un SDK (kit d’interface de programmation) à disposition des partenaires de l’écosystème de développement.
Ces derniers ont notamment contribué à monter tout un écosystème de gestion centralisée pour les terminaux mobiles (Mobile Device Management ou MDM en anglais).
C’est le cas de SAP, éditeur de logiciels d’origine allemande pour les entreprises (ERP, CRM…), qui considère que toute application professionnelle devrait disposer d’une déclinaison mobile.
La sécurité s’impose comme le premier des soucis.
Témoin les multiples options de chiffrement de la mémoire interne et des médias de stockage amovibles en AES-256.
Est également assurée, non sans rappeler BlackBerry Enterprise Server, la connectivité aux principaux systèmes de réseaux virtuels privés (VPN), de Cisco, F5 et Juniper.
Dans cette lignée, l’IT manager peut contrôler en temps réel l’installation d’applications tierces et orchestrer le déploiement uniformisé de logiciels « over-the-air », soit sans fil, par le réseau mobile.
Le smartphone lui-même est pilotable à distance : extinction ou mise en veille, désactivation des connexions sans fil ou de la webcam, restriction de la consommation data, récupération expresse de données… le tout via une interface centralisée.
Assez pour détrôner BlackBerry Enterprise Server, qui s’est récemment ouvert à Android ?
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