La confidentialité numérique dans les lieux publics passe par les codes QR, tout du moins au dire de Google, instigateur d’un système de connexion sécurisée impliquant l’usage d’un smartphone pour initialiser une session sur un poste de travail fixe.
Le concept, qui requiert l’installation préalable d’une application compatible comme il en existe toutefois par dizaines sur les marchés applicatifs des différents OS mobiles, ne concerne a fortiori que les possesseurs de terminaux dotés d’un capteur photographique.
L’ouverture, sur un ordinateur partagé, d’une page dédiée, génère un code unique que l’utilisateur scanne, pour renseigner sur son téléphone mobile, à l’abri des regards indiscrets, l’identifiant et le mot de passe associés à son compte Google.
Les serveurs de la firme de Mountain View procèdent alors à une ultime vérification et transfèrent les informations ainsi fournies vers la machine cible.
Un tel subterfuge contourne notamment les mémorisations inopinées, par le navigateur Web, des données confidentielles insérées dans le formulaire de connexion.
Par ailleurs, la menace logiciels espions et autres keyloggers matériels (dispositifs destinés à enregistrer la frappe clavier) s’estompe, au même titre que les regards indiscrets.
Comme le laisse entendre PCWorld, il convient d’adopter en amont quelques résolutions sécuritaires qui régiront ces échanges numériques.
L’on prendra soin de réaliser l’ensemble de ces opérations en mode HTTP sécurisé, préférentiellement à l’appui d’un réseau 3G et non un Wi-Fi ouvert aux quatre vents. En dernier lieu, la fermeture de session s’impose.
Les codes QR, qui poussent désormais à tout bout de rue, tel du chiendent, n’ont intégré la culture populaire qu’au prix d’une invasion de longue haleine.
Il leur a fallu plusieurs années pour prendre racine et rendre de fiers services, notamment à Wikipedia, qui les a déployés dans le cadre de son projet QRPedia, censé fournir aux détenteurs de smartphones des contenus automatiquement transposés vers leur langue d’usage.
En parallèle, ces coqueluches des chaînes de restauration rapide et du métro parisien, en véritables Gremlins des temps modernes, ont laissé transparaître toute leur ambivalence, jusqu’à s’inventer de sombres desseins, dont celui d’installer des malwares à foison.
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