SFR et Orange s’allient pour le déploiement de la fibre optique

Mobilité

Orange et SFR viennent de trouver un accord sur le mode de déploiement de la fibre optique dans les années à venir en France.

Cela peut paraître surprenant: les opérateurs historiques SFR (propriétaire de Neuf Cegetel) et Orange viennent de se mettre d’accord sur les nouvelles modalités de déploiement de la fibre optique jusque dans les immeubles. Ainsi, comme le révèle le quotidien La Tribune, Orange et SFR ont décidé que les syndics choisiront l’opérateur qui aura le droit d’installer la fibre optique dans l’immeuble. Ensuite, l’heureux élu devra ouvrir son réseau aux autres opérateurs. Chaque foyer pourra choisir librement le fournisseur qui lui convient.

Cet accord concerne environ une quinzaine d’agglomérations. Celles-ci correspondent aux zones établies où SFR et Orange ont déjà annoncé des projets d’installation de réseaux de fibres optiques. Cette alliance intervient quelques jours après la recommandation de Bruxelles qui visaient directement les opérateurs historiques en Europe. La Commission européenne souhaite en effet ardemment que ceux-ci partagent leurs réseaux de fibres optiques avec leurs concurrents. Un bon moyen, selon Bruxelles, pour stimuler les investissements et renforcer la concurrence.

Le problème de l’emplacement du point de mutualisation résolu

Par ailleurs l’accord entre les deux opérateurs leur a aussi permis de trouver un terrain d’entente concernant l’emplacement du point de mutualisation, c’est-à-dire l’endroit où les opérateurs pourront venir se connecter au réseau de fibre optique de l’immeuble.  Cet emplacement se trouvera « le plus près possible des logements selon des critères opérationnels pragmatiques en fonction de la taille et du type de logement, et en tenant compte des contraintes d’accessibilité et d’occupation du domaine public ».

Mais l’opérateur Free ne voit pas l’accord de ses deux principaux concurrents d’un très bon oeil. Sa réaction ne s’est pas fait attendre. Maxime Lombardini, le directeur général d’Iliad/Free, le dénonce vivement et le juge « en contradiction » avec la loi de modernisation de l’économie. Et d’ajouter : « Cet accord ne garantit ni la concurrence, ni le libre accès des foyers aux différentes offres [… ] ».

France Telecom ralentit le déploiement de son réseau

Cela peut paraître surprenant: les opérateurs historiques SFR (propriétaire de Neuf Cegetel) et Orange viennent de se mettre d’accord sur les nouvelles modalités de déploiement de la fibre optique jusque dans les immeubles. Ainsi, comme le révèle le quotidien La Tribune, Orange et SFR ont décidé que les syndics choisiront l’opérateur qui aura le droit d’installer la fibre optique dans l’immeuble. Ensuite, l’heureux élu devra ouvrir son réseau aux autres opérateurs. Chaque foyer pourra choisir librement le fournisseur qui lui convient.

Cet accord concerne environ une quinzaine d’agglomérations. Celles-ci correspondent aux zones établies où SFR et Orange ont déjà annoncé des projets d’installation de réseaux de fibres optiques. Cette alliance intervient quelques jours après la recommandation de Bruxelles qui visaient directement les opérateurs historiques en Europe. La Commission européenne souhaite en effet ardemment que ceux-ci partagent leurs réseaux de fibres optiques avec leurs concurrents. Un bon moyen, selon Bruxelles, pour stimuler les investissements et renforcer la concurrence.

Le problème de l’emplacement du point de mutualisation résolu

Par ailleurs l’accord entre les deux opérateurs leur a aussi permis de trouver un terrain d’entente concernant l’emplacement du point de mutualisation, c’est-à-dire l’endroit où les opérateurs pourront venir se connecter au réseau de fibre optique de l’immeuble.  Cet emplacement se trouvera « le plus près possible des logements selon des critères opérationnels pragmatiques en fonction de la taille et du type de logement, et en tenant compte des contraintes d’accessibilité et d’occupation du domaine public ».

Mais l’opérateur Free ne voit pas l’accord de ses deux principaux concurrents d’un très bon oeil. Sa réaction ne s’est pas fait attendre. Maxime Lombardini, le directeur général d’Iliad/Free, le dénonce vivement et le juge « en contradiction » avec la loi de modernisation de l’économie. Et d’ajouter : « Cet accord ne garantit ni la concurrence, ni le libre accès des foyers aux différentes offres [… ] ».

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