L’horizon du rachat de Skype par Microsoft s’éclaircit sur le front des autorités nationales de régulation économique.
Cette opération de croissance externe, menée par le groupe de Steve Ballmer, avait été annoncée le 10 mai pour un montant de 8,5 milliards de dollars.
Les États-Unis ont déjà autorisé l’opération en juin dernier.
Le 7 octobre, c’est au tour de la Commission européenne de faire la même chose.
« L’opération n’entraverait pas de façon significative le jeu d’une concurrence effective dans l’Espace économique européen (EEE) ou une partie substantielle de celui-ci« , considère l’exécutif européen par communiqué.
Si Skype vient compléter l’offre Microsoft Windows Live dans le domaine des communications vidéo, le secteur est suffisamment concurrentiel pour ne pas être affecté par le rapprochement.
Le marché en expansion peut compter sur « de nombreux fournisseurs, parmi lesquels Google« , considère la Commission européenne.
Skype ne vise pas non plus sur les mêmes cibles que Lync, l’offre de communication unifiée en entreprise de Microsoft (Cisco est davantage en frontal sur ce terrain).
Brad Smith, Vice-président exécutif de Microsoft, se montre satisfait : « Nous sommes impatients de compléter rapidement les dernières étapes nécessaires pour finaliser l’acquisition. »
Selon l’AFP, d’autres autorités doivent encore donner leur accord, en particulier la Russie.
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