Après une première expérience avec la tablette Slate 7 actuellement commercialisée pour 149 euros TTC, HP passe une deuxième fois par la case Android et explore le facteur de forme convertible, en l’objet du SlateBook x2.
Au carrefour de l’ordinateur portable et de la tablette numérique, la multinationale américaine renoue avec « l’ADN hybride » dont elle se revendique.
Fraîchement débarquée sur le marché des Chromebooks avec le modèle Pavilion 14, la voici qui concrétise un peu plus sa nouvelle allégeance à Google.
Des atomes crochus mis en application par l’alliance du système d’exploitation Android (livré dans sa version 4.2.2 « Jelly Bean ») et de la plate-forme Nvidia Tegra 4, basée sur l’architecture microprocesseur ARM.
Il ne s’agit pas, avec ce produit, de monter au créneau face à l’offre abondante de terminaux sous Windows 8, mais plutôt de proposer une configuration alternative, moins onéreuse et tout aussi flexible.
Tablette par essence et PC portable improvisé par adjonction d’un clavier détachable, le SlateBook x2, à l’image des ardoises Transformer d’Asus, s’inscrit dans une logique de productivité.
La quête du rapport performance par watt idéal prend tout son sens et se matérialise avec cette dernière génération des SoC Nvidia, architecturée autour de 4 coeurs ARM Cortex-A15 à 1,5 GHz, d’une solution graphique à 72 coeurs et d’un modem 4G LTE.
Cette problématique était déjà d’actualité l’année passée, à l’heure d’officialiser le modèle Envy x2 (sous Windows 8, avec un processeur Intel Atom « Clover Trail »), dont le SlateBook x2 reprend de nombreux traits esthétiques et fonctionnels.
Pour 479,99 dollars HT – soit environ 445 euros TTC – à compter du mois d’août, le produit se positionne dans la fourchette de la Nexus 10 32 Go et de l’iPad 16 Go, avec lesquelles il rivalise notamment en termes de stockage (jusqu’à 64 Go de mémoire interne).
Mais aussi de taille d’écran (10,1 pouces, en 1920 x 1200 points), de connectique (2 ports USB 2.0, une sortie HDMI, un lecteur de cartes microSD) et très probablement d’autonomie.
Et pour cause : si l’essentiel de l’électronique est concentré dans la partie tablette, le clavier embarque une batterie supplémentaire.
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Crédit photos : HP
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