Petite curiosité à découvrir sur le smartphone Galaxy Beam de Samsung : il embarque un vidéoprojecteur.
Epais de 12,5 millimètres, ce smartphone tutoie les 150 grammes sur la balance. Il paie tout naturellement le tribut d’une telle plus-value matérielle qui constitue une première sur le segment.
A l’heure où verdit plus que jamais la téléphonie mobile, l’interaction multimédia prend tout son sens et avec elle, la déportation d’affichage sans fil entre écrans connectés, qui prend place à petit trot au sein des foyers comme des entreprises.
En parallèle, les projecteurs autonomes, au prix d’une déclinaison au format de poche et d’une remise au goût du jour moyennant des entrées numériques, redorent progressivement leur blason.
A l’appui du Beam, Samsung prétend tirer le meilleur des deux mondes pour ratisser large et adresser un considérable spectre de consommateurs.
Du particulier lambda en quête de commodité dans la visualisation de ses diaporamas photo, jusqu’au professionnel sur le qui-vive, soucieux d’emporter partout avec lui ses présentations PowerPoint, le coeur de cible potentiel ne se verra vraisemblablement restreint qu’à l’usage.
Il ne subsiste toutefois guère de doute quant à l’éclectisme des activités collaboratives qui découlent d’une telle conception inédite du smartphone.
Cependant, la réalité d’une fiche technique peu aguicheuse exhausse et confronte, aux sommets de l’incohérence, une luminosité à 15 cd/m² et, aux antipodes, les déclarations rassurantes du constructeur à ce sujet.
Pourtant, à moins de croire à une coquille malvenue, projeter « même en plein jour » à une quinzaine de lumens relève de l’exploit.
Estimée à 1,4 mètre (distance focale non mentionnée, à l’instar de certaines caractéristiques tel le contraste), la surface d’affichage peine à compenser le sentiment mitigé que génère cette implémentation perfectible à plus d’un titre.
Fruit d’une entreprise sans précédent, ambassadeur d’une intrigante union entre téléphones mobiles et vidéoprojecteurs, le Galaxy Beam affiche d’ailleurs en cette singularité son seul véritable argument.
Articulé autour d’un processeur double coeur à 1 GHz et d’un OS Android Gingebread 2.3, le reste de la configuration brille en effet par sa banalité, de l’ordre du milieu de gamme pur et dur.
En tête de liste, un écran TFT de 4 pouces en 800 x 480, 8 Go de mémoire interne, un capteur photographique à 5 mégapixels (720p) et une connectivité sans fil ponctuée d’un module 3G HSPA à 14,4 Mbit/s… le tout pendu aux services d’une généreuse batterie à 2000 mAh.
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