SFR a une belle carte à jouer en distribuant en avant-première le Google Nexus 4, à partir du 18 décembre, à point pour les fêtes de fin d’année.
L’opérateur télécoms filiale du groupe Vivendi va faire de ce smartphone le produit d’appel par excellence pour ses offres haut débit en réseau « Dual Carrier » (DC-HSDPA+), avec 42 Mbit/s en débit descendant et 60% de la population couverts.
Sur le principe du subventionnement, le Nexus 4 s’affichera à 1 euro symbolique, moyennant toutefois la souscription d’une formule Carré 6 Go, pour 89,99 euros TTC par mois, avec engagement de deux ans (soit 2160,76 euros sur la période, mobile compris).
Des réductions sont applicables dans le cadre des formules multi-packs incluant l’Internet fixe.
Autre possibilité, opter pour un Carré 4 Go à 69,99 euros mensuels et un Nexus 4 à 29,90 euros. Ce qui porte l’investissement à 1709,66 euros sur les 24 mois.
Dernier palier, un Carré 2 Go à 49,99 euros et un téléphone à 179,90 euros, ce qui revient à 1379,66 euros, toujours sur deux ans.
Au-delà des considérations tarifaires, SFR mise sur l’attrait du Nexus 4. Le nouveau fleuron de Google suscite la convoitise.
Après un passage éclair à la mi-novembre sur le Play Store (les stocks se sont écoulés en moins d’une heure), il n’est plus réapparu, encore marqué en réapprovisionnement à l’heure actuelle.
Les premiers retours des quelques acquéreurs qui ont pu mettre la main sur un exemplaire encensent le produit comme la véritable rampe de lancement de Google sur le marché des smartphones.
Depuis la dernière escarmouche menée l’année passée avec le Nexus Prime (que SFR avait déjà eu en avant-première le 16 décembre 2011), les ambitions ont bien évolué.
La configuration aussi. Si le Nexus Prime, premier terminal à embarquer en standard Android 4.0 « Ice Cream Sandwich » intègre un processeur TI OMAP 4460 bicoeur à 1,2 GHz, le Nexus 4 passe au quadricoeur, avec un CPU Qualcomm Snapdragon S4 Pro à 1,5 GHz.
La capacité de mémoire vive passe de 1 à 2 Go. L’OS Android est implémenté en version 4.2 « Jelly Bean », avec notamment un clavier virtuel retravaillé, des sessions d’utilisateurs et la fonctionnalité Photo Sphere, de capture et panorama.
La recharge sans fil par induction (via un socle dédié) complète le tableau, doublée d’une compatibilité Miracast, standard de diffusion sans fil de l’image et du son.
A noter que le terminal dispose d’un modem 4G, activable, mais incompatible avec les fréquences françaises. SFR, qui a déployé commercialement son réseau de nouvelle génération à Lyon (et bientôt Montpellier), ne pourra pas avancer cet argument.
——– A voir aussi ——–
Quiz ITespresso.fr : incollable sur les véritables fonctions des smartphones ?
Crédit photos : Google
Deux offres de cybersécurité portées par ITrust et Docaposte intègrent des suites collaboratives. Présentation.
Les dernières migrations de Windows 10 vers Windows 11 vont accélérer l'adoption des PC IA. Mais des…
L’IA générative excelle dans plusieurs cas d’usage, notamment dans l’analyse, la recherche et la synthèse…
Trop tôt pour envisager d'acquérir un PC Copilot+ ? Les roadmaps d'Intel et d'AMD peuvent…
Dévoilés lors du CES 2025, les PC Copilot+ au format convertible restent encore limitée dans…
Les fonctionnalités de Gemini sont intégrées dans la suite bureautique Google Workspace. Conséquence : les…