Après un galop d’essai sur son marché domestique, Alcatel One Touch élargit le périmètre de sa première offensive sur le segment des tabphones.
La division téléphonie mobile du groupe chinois TCL (fabricant de produits électroniques grand public, à ne pas confondre avec Alcatel-Lucent) s’apprête à commercialiser, en France, sa nouvelle tête d’affiche : l’Idol X, annoncé à 299 euros TTC hors éventuelle subvention opérateur.
Positionnement tarifaire agressif pour ce terminal dont la finesse est l’argument premier : 6,9 mm, à comparer aux 7,6 mm de l’iPhone et aux 7,9 mm du Samsung Galaxy S4.
Officialisé en février dernier lors du Mobile World Congress, cet Idol X tient tête, sur certains aspects, aux ténors du marché. Notamment avec son écran IPS de 5 pouces en Full HD 1080p, ses 2 Go de mémoire vive et son optique de 13 mégapixels.
La quête du rapport qualité-prix entraîne néanmoins quelques concessions technologiques.
Illustration avec l’architecture microprocesseur quadricoeur, non documentée par Alcatel One Touch, mais que des photographies ont révélé être un SoC MediaTek MT6589T, basé sur des puces ARM… de génération Cortex-A7.
Autre point noir sur la fiche technique : une autonomie de batterie annoncée à 7 heures.
Côté communications sans fil, pas de 4G, ni de NFC, mais du Wi-Fi 802.11n, le Bluetooth 4.0 et le support de la 3G HSDPA à 42 Mbit/s… pour un DAS respectable de 0,584 W/kg.
La France devra par ailleurs tirer une croix sur le modèle double SIM (référence X6040D) pourvu de 16 Go d’espace de mémoire interne. Seule sera distribuée la version X6040, qui offre 8 Go d’espace, dont 2,5 Go occupés par Android 4.2 « Jelly Bean ».
Il est toujours question d’une éventuellement commercialisation en marque blanche chez Orange, comme c’est le cas pour le One Touch Idol, connu sous l’appellation « San Remo ».
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Crédit photos : Alcatel
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